Bon, aujourd’hui j’ai repris le travail, ma jambe n’est pas complètement guéri mais c’est en bonne voix, faut dire que je fais ce qu’il faut pour. Je suis allé a l’infirmerie y a a peu près deux semaines pour me faire soigné, puis j’ai du y retourner de temps a autres pour qu’elle vérifie que les blessures que Daeron m’a rouverte se soigne bien.

Je fais en sorte de me soigné cette fois, pas envie que Nathou s’en veuille plus alors je lui ai pas dit pour Daeron se soir là. Le truc c’est que si je ne veux pas qu’il sache, je me retrouve obliger de le lui cacher et qu’avec l’atèle plus le bandage ça n’a rien de facile. Enfin bon, aujourd’hui j’ai put retirer l’atèle, ne me reste plus que la bande et les pansements ce qui m’as bien arrangé pour bosser je dois l’admettre et puis, je suis pressé que ça se termine, je n’ai plus l’occasion de faire ce que je fais habituellement a cause de ça et c’est chiant.

Bref, ce soir je suis rentré après ma journée reprise et je me sens fatigué, j’ai pensé a aller voir Nathou mais je ne lui ai pas parlé lus que nécessaire de ce qui s’était passer la dernière fois puis, il est tôt, j’imagine qu’il doit être a la serre. J sais qu’il adore cet endroit alors je vais pas lui faire écouter son temps là bas, après tout j’aime bien le voir heureux, c’est presque aussi plaisant que voir Ryan à genoux. Je suis donc rentré a la chambre ou j’ai pris une longue douche, j’ai remis mon bandage vite fais bien fait puis mon jogging comme dab et je suis parti m’allonger.

C’est chiant quand le taf commence en milieux de nuit mais au moins il se termine en milieux d’aprèm, ou en fin d’aprèm, en fait j’ai pas vraiment idée de l’heure qu’il est là. Enfin bon, j’étais parti pour m’allonger, les cheveux encore mouillé mais j’ai entendu taper à la porte, alors du coup je suis parti ouvrir, un chouille dans le gaz a cause des anti-douleurs mais assez conscient pour reconnaître la petite bouille devant ma porte.

Deux semaines étaient passées depuis cette fameuse nuit où Angel avait ramené Yami dans ma chambre. Il ne m'avait presque rien expliqué à ce moment-là, et le lendemain il était l'avait raccompagné pour qu'elle complète son inscription. Et puis plus rien. Plus aucune nouvelle de mon démon. Dans un premier temps, je ne m'étais pas inquiété. Je me disais simplement qu'il devait être occupé, et j'attendais patiemment qu'il se manifeste. Mais les jours passaient, et je ne le voyais pas revenir vers moi, et c'est là qu'a débuté ma descente aux enfer. Je ne savais pas ce qu'il se passait, et comme à mon habitude quand c'est à son sujet, je me suis mit à m'inquiéter. J'ai même cru qu'il lui était arrivé quelque chose de grave, et que personne n'avait prit la peine de m'en informer. J'ai même pensé que le pire lui était arrivé ! Seulement, je l'avais croisé dans l'école plusieurs fois, il avait l'air bien, j'avais essayé de le rejoindre, mais il était partit à toute vitesse en sens inverse. C'est là que j'ai comprit : il m'évitait !

Une semaine était déjà passée avant que je ne comprenne ça, une semaine au cours de laquelle j'avais déjà accumulé beaucoup de stress et de frustration. Mais cette révélation m'avait tout simplement anéantit, parce qu'elle me conduisait à d'autres pensées. Angel ne voulait probablement plus de moi. J'étais un fardeau pour lui. Je n'avais été qu'un jouet pour lui. Je me sentais mal, terriblement mal. Tout d'abord j'ai commencé par ne plus pouvoir dormir tant j'étais inquiet, puis j'avais continuellement cette boule dans l'estomac qui me coupait l'appétit, et puis vu mon état, je ne faisais plus grand chose de mes journées. Je me traînais en classe tel un zombi, les nerfs à fleur de peau, je fondais en larme à la moindre remarque.

Aujourd'hui encore ma journée a été désastreuse, je n'ai fait qu'errer dans un état de semi-conscience, somnolant en classe, j'ai à peine picoré mon assiette à midi, juste de quoi m'empêcher de m’effondrer. À la serre, je m'étais assit dans un coin par terre. Mes plantes avaient essayé de me consoler, mais même elles ne parvenaient plus à m'arracher le moindre sourire. Et j'en ai eu assez de cette situation. Je ne pouvais pas continuer comme ça indéfiniment ! J'aurais pu aller voir Angel à n'importe quel moment, lui demander des explications, le bloquer dans un coin jusqu'à ce qu'il m'ait avoué clairement pourquoi il m'évitait, mais j'avais eu peur. J'avais eu trop peur de sa réponse. Maintenant je me rendais compte qu'il fallait bien que j'y aille, parce que je me rendais trop malade, et que tant pis si ça risquait de me faire mal, tant pis si mes pires craintes devaient s'avérer exacte, je méritais de le savoir.

Je m'étais donc rendu à sa chambre. À chaque pas que je faisais, je me mettais à espérer un peu plus fort qu'il ne soit pas là, comme ça je pourrais continuer de m'imaginer que rien ne s'était passé que tout était encore pour le mieux dans le meilleur des mondes. Après un instant encore d'hésitation, j'ai frappé à la porte, et mon cœur s'est mit à battre tellement fort quand elle s'ouvrit que mon corps tremblait, et mes jambes menaçaient de céder. Je relevais mon visage creusé de cernes vers mon démon, il m'avait tellement manqué que j'avais beaucoup de mal à ravaler mes larmes. Je baissais ensuite rapidement la tête, me cachant derrière mes cheveux. Je ne voulais pas qu'il me voit comme ça. Je lui demandais finalement d'une voix tremblante :

« Je peux entrer ? »

J’avoue que je m’attendais un peu a voir Aurélia débarqué ou quelqu’un qui cherchais un gardien compétant mais pas vraiment a lui et puis surtout, je m’attendais pas a ce que mon doudou soit dans cet état. C’est vrai je ne suis pas retourné le voir depuis prés de deux semaines mais a le trouver dans cet état j’aurais presque l’impression qu’on vient de lui faire du mal. M’enfin, je ne le quitte pas des yeux et son petit air plein fatigue et de larme m’intrigue.

- Quel question …

Je me pousse pour lui faire signe d’être quand il le demande avec un regard un peu inquiet. Qu’es ce qui a bien put lui arriver a ma petite fée, je ferme la porte et m’approche de lui en douceur.

-Tu as l’air épuisé

J’aime pas le voir comme sa et je glisse ma main sous son menton en douceur pour le relever et regarder son beau visage bien trop étrange a mon gout. Je suis pas trop habituer à prendre soin de quelqu’un mais c’est bien le seul visage sur lequel je n’ai pas envie de voir ce genre d’expression. Je lui désigne le lit de l’autre main en gardent appuis sur ma jambe non bander et en essayant de faire abstraction de la fatigue, je veux savoir ce qui va pas et prendre soin de mon nathou moi.

- Tu devrais t’asseoir, t’as l’air au bord de l’évanouissement.

Angel était là, il était juste là en face de moi, comme si rien du tout ça ne s'était passé, comme si ces deux semaines d'angoisse n'avaient jamais existé. Il se dégage du passage, m'indiquant que je pouvais entrer. Mes jambes tremblaient, mais je faisais de mon mieux pour ne pas m'effondrer au milieu de la pièce. Ce n'étais pas la fatigue, mais bien la peur qui me mettait dans cet état. Je me plante au centre de la chambre, les yeux rivés vers le sol. Je voulais le voir, j'avais tellement envie de le voir, et tellement peur de croiser son regard en même temps.

Il me fait remarquer que j'ai l'air épuisé, moi j'aurais plutôt dit à demi mort. Quand je le sens approcher, j'ai à la fois envie de me jeter dans ses bras et de m'enfuir en courant. J'ai l'impression de revenir à notre première rencontre. Non, en fait, j'en viens même à penser que j'ai fait le mauvais choix à notre première rencontre. Sa main me fait sursauter lorsqu'elle atteint mon menton, et je ne proteste pas quand il me fait relever la tête, j'ancre simplement mon regard dans le sien. Mes yeux sont rouges, et je sais que je dois avoir un regard affolé, triste, désespéré. Il me conseille de m'asseoir, et c'en est trop pour moi. Sa voix, et sa douceur sont exactement comme d'habitude, et ça me fait finalement fondre en larme.

Je baisse immédiatement la tête en laissant mes cheveux cacher mon visage. J'ai l'impression que tout se brise en moi, et je ne suis plus certain de rien. Je suis juste fatigué, au point de ne même plus être certain de tout ce que j'ai vécu ces derniers jours.

« Tu n'es pas venu me voir...je t'attendais, j'ai eu peur... ! »

Je me mets à sangloter tellement violemment que mes épaules tressautent, et essuie nerveusement mes yeux inlassablement. Je renifle, m'étouffant un peu alors que je peine à reprendre la parole.

« J'ai même cru ...qu'il t'était arrivé quelque chose ! »

Je relève les yeux vers lui, avec un regard plein d'espoir. Qu'il se moque de moi, qu'il me gronde, je m'en fiche totalement, pourvu qu'il me dise que j'ai tord ! Je veux qu'il me prenne dans ses bras, je ne veux plus jamais les quitter !

« Si j'ai fait quelque chose de mal, dis-le moi ! Me laisse pas comme ça ! »

Mes mains s'étaient accrochées à mon haut au niveau de mon cœur. Il me faisait tellement mal !

Oula, j’ai l’impression de revenir en arrière là. Nathou planter debout façon piqué qui regarde le sol fixement incapable de lever les yeux ou de dire quoi que se soit et surtout, il sursaute quand je pose la main sur son épaule. Y avait longtemps tiens, manquerai que le mouvement de recule et les joues façon tomate et on y est, je m’en demanderais presque ce qui lui arrive a mon Nathou mais là j’ai pas vraiment les idées super claire alors le retrouver dans cet état maintenant m’arrange pas.

Je n’aime pas le voir comme ça, on dirait presque qu’un drame est arrivé et quand il se met a pleuré ca commence vraiment a me perturbé. Je sais que mon Nathou est très sensible et qu’il peut risquer sa vie juste pour une fleure alors plus rien ne m’étonne vraiment de ce coté là mais j’avoue que je m’inquiète quand même là. On c’est fait un retour en arrière assez flippant et je sais même pas pourquoi il pleur mais ça m’a l’air assez grave, je voudrais le prendre dans mes bras mais avant il se met a parlé et j’essaie un peu de faire le tri … j’suis dans l’gaz c’est pas vraiment chose facile.

Alors, de ce que j’retiens, c’est a cause du temps que j’ai pris a l’écart qu’il est comme ça, je sais plus trop comment réagir là. J’aurais envie de rigoler et de le serré fort contre moi pour le rassuré sur ce qui l’inquiète mais en même temps qu’il puisse se mettre dans un tel état m’inquiète un peu. Je réalise juste là qu’en fait ma p’tite fée n’as aucune idée de l’importance qu’il peut avoir pour moi et c’est un peu perturbant.

Je le regarde faire un peu surpris et d’un coup j’suis content d’avoir fermé la porte, je sais pas trop pourquoi mais je sens qu’il y aurait eut d’autres rumeurs sur moi avec ça et très franchement j’ai ma dose là. M’enfin, c’est un peu le moment d’agir quand même, je passe la main sur sa joue pour chasser ses larmes plus en douceur qu’il ne le fait depuis tout à l’heure.

-Ne pleure jamais pour moi Nath.

Je le regarde avec un mélange de tendresse, pasque c’est juste adorable et sa me donne envie de le croqué tout entier et d’interrogation, pasque je commence vraiment à me demander ce qu’il imagine là.

- Quel place, tu penses avoir dans ma vie ?

J’suis plus vraiment sur là, puis j’aimerais connaître son point de vue alors avant d faire quoi que ce soit d’autre qui lui ferais rejeter la question ou me répondre n’importe quoi, je veux savoir. A mon avis, dans cet état il me répondra pour de vrais, du coup avant toute chose, je veux savoir ce qu’il en pense pour de vrais, au fond de lui je veux savoir qui il crois être pour moi.

Sa main vient sur ma joue, comme une caresse. J'ai l'impression que ma peau me brûle quand il me touche. Je veux juste m'enfouir dans ses bras, qu'on en finisse avec ces doutes, mais il ne me répond toujours pas, et je continue de m'inquiéter. Je ne sais pas à quoi il pense, je n'ai pas la moindre idée d'à quoi il peut bien réfléchir.

Ne jamais pleurer pour lui. Ça sonne comme le genre de type qui veut dire "Hey au fait ! Je suis un parfait connard, je me fous totalement de toi, alors t'avise pas de tomber amoureux." Mais même si c'était le cas, c'était déjà trop tard, mes pensées étaient constamment tournées vers lui, je ne voulais plus me passer de lui ! Et pourtant, son regard me faisait garder espoir. J'attendais, je guettais le moment le moment où il me dirait que je me suis encore imaginé n'importe quoi. Il se moquerait un peu de moi, et me serrerait contre lui.

Sa question me prit de court. Je relevais vers lui un regard choqué, et pendant un instant je restais calme avant que mes sanglots ne reviennent à l'assaut, plus violents encore. J'en avais aucune idée, moi ! Et le pire c'est que je me rendais compte que je ne connaissais pas Angel tant que ça, et ça me faisait tellement mal. Je voulais apprendre à le connaître plus, et j'avais peur qu'il soit déjà trop tard. Je me sentais un peu comme si ma réponse risquait de tout faire basculer, mais tout était embrouillé dans ma tête et je n'arrivais pas à réfléchir.

« Je...Je sais pas...je pensais compter pour toi, même juste un peu...mais ces deux dernières semaines, je me suis mit à douter... »

Je me sentais mal. Tellement mal que j'avais envie de m'enfouir sous terre. Juste m'éloigner, me rouler en boule dans un coin. J'avais à nouveau baissé la tête, les épaules courbées, je tirais nerveusement sur mon tee-shirt.

« Tu m'as jamais rien dit, mais j'étais content comme on était...Est ce que...je compte vraiment pour toi ? »

Je peux facilement voir qu’il a pas aimer la question, même si je sais pas trop pourquoi, après tout c’est la personne qui compte le plus pour moi dans ce monde ou un autre alors je ne comprend pas pourquoi il s’inquiète à se point. Enfin bon, ma question semble avoir calmé ses pleures, ce qui n’est pas plus mal, il a l’air perdu mais ses sanglots ont fait une petit pause.

Malheureusement, pause qui est et reste de courte durée, voilà qu’il se remet dans un état pas possible, pire encore que celui qu’il avait jusque là et me répond à peu près ceux à quoi je m’attendais. Voilà pourquoi il s’énerve, en fait il a aucune idée du pourquoi et encre moins de ce qu’il est pour moi, je sais j’aurais du lui dire donc c’est ma faute mais en même temps quel idée de se mettre dans un état pareil.

Je lui ai déjà montré tellement de fois qu’il est plus qu’important pour moi, j’ai même laisser un cours d’éducation sexuelle se faire avec une jambe en vrac pour pas le voir a demi à poil devant toute une classe. Puis j’ai laissé ma jambe dans sa serre et je suis parti voir une Hidden pour qu’elle ramène ses copines à la vie… Je sais plus vraiment comment lui montré moi à force. D’ailleurs je me demande si elle l’a fait déjà ou si la serre est encore dans son salle état d’avant.

-Nathaël…

C’est pas le moment j’suis crevé et sous médoc pour ma jambe, parait que le fait de l’avoir blesser dans la serre était déjà dangereux mais qu’avoir rouvert mes blessures dans le jardin était pas non plus particulièrement malin. Mais bon, pas grave, faut que je rassure mon amant, j’aime pas le voir comme sa, alors je glisse doucement ma main sur la sienne qui triture encore son haut

- Ma vie entière est attaché a la tienne. Tu es l’être le plus important à mes yeux, maintenant et à jamais

Puis, ne quittant pas sa main, je l’ai ramené a mon cœur, j’ai glissé ma seconde main sur sa joue pour venir l’embrasser tendrement et posé mon front contre le sien. Comme ça au moins j’suis sur qu’il va comprendre.

-Je ne veux que toi et personne d’autre. Si tu ne me crois pas contente toi juste d’écouté mon vieux cœur de démon qui ne bat que pour tes jolis yeux et ton beau sourire.

J’ai reculé ma tête, avec un sourire toujours amusé de son ignorance et puis j’ai fini tranquillement de mettre les choses au point.

-Je veux être la seule personne à mérité tes larmes, la seule qui ne les fera pas coulé. Alors, ne pleur plus jamais pour moi.

J'étais toujours secoué de sanglots, et je gardais les yeux obstinément fermés, comme si ça allait me protéger de la potentielle grosse claque que j'allais me prendre. J'avais l'impression que si il me repoussait j'allais en mourir. J'entends mon prénom murmuré, ce qui me fait me crisper un peu plus d'appréhension, et sa main vint se poser en douceur sur la mienne. Je relâche légèrement mon emprise sur mon haut quand je l'entends reprendre la parole.

Je m'étais tout simplement laissé faire lorsqu'il avait porté ma main sur son cœur, et avait relevé lentement les yeux vers son visage. Je sentis une caresse sur ma joue alors que je le voyais s'approcher. Mes lèvres purent enfin rencontrer les siennes, et tout mon corps se mit comme à brûler. Il posa sont front contre le mien, et je restais figé, mon regard fixé dans le sien. Mes yeux coulaient encore, mais j'avais tout simplement arrêté de respirer. Mon cœur battait à toute allure alors que je sentais le sien pulser sous ma main.

Je l'écoutais parler sans rien dire. Quand il eu finit, il me fallu encore un instant pour mettre de l'ordre dans mes pensées. Je crois que j'aurais vraiment pu m'évanouir à ce moment-là, vu comme mon cœur battait furieusement. Je me suis mit à sourire alors que mes sanglots reprenaient, bien que beaucoup moins intenses qu'un instant plus tôt. J'ai passé mes bras encore blessés derrière sa nuque et me suis rapproché de lui. Je n'en attendais pas tant. Je ne m'étais même jamais imaginé pouvoir compter autant pour lui ! J'étais tellement heureux ! Je ne pouvais pas pas m'empêcher de pleurer en rigolant.

« Pardon ! Pardon, j'y arrive pas... !...je t'aime ! »

Je m'accrochais à son cou, refusant de m'éloigner plus de lui. Je dévorais ses lèvres sans plus être en mesure de réfléchir à quoi que ce soit, répétant inlassablement des 'je t'aime' entre chaque baiser.

Bon, il à écouté, c’est déjà ça, par contre le fait qu’il ne dise rien ne m’arrange qu’à moitié, je ne sais pas trop si il le prend comme je voudrais qu’il le prenne ou s’il est encore entrain de se monté la tête. Puis mes cachetons ne m’adent pas vraiment mais bon, j’espère que cette fois le message est passé. Je sais qu’il ne me quitte pas des yeux et j’adore ça, j’aime sentir ses beaux yeux sur moi alors qu’il c’est légèrement calmé, j’imagine que c’est qu’il aime ce qu’il entend et sa me soulage quelque part.

Voilà qu’il se remet a pleuré… nan mais non sérieux, j’ai pas envie qu’il pleure moi, m’enfin il passe les bras autour de mon coup et la suite me plais bien, il ne semble plus triste, seulement ravi de savoir alors tant mieux, si sa peut lui évité de se remettre dans un état pareil chaque fois. J’aime entendre son rire et je passe mes deux bras autour de sa taille, restant légèrement pencher pour qu’il n’ai pas a trop pousser. Puis voilà pleins de tendres baisés et des pardons avec des je t’aime, décidément, j’aime bien moi quand il se fait des films mon Nathou. Même s’il pleure entre temps, il suffit de quelques mots et sa repart.

-Viens t’asseoir…

Je l’ai ramené jusqu’à mon lit sans lui laisser vraiment le choix, non mais quel idée de se mettre dans un tel état au lieu de venir me voir directement. J’aime bien moi la cascade de ‘je t’aime’, je la trouverais presque amusante et fini par le faire asseoir sur moi directement, sans faire vraiment cas de ma jambe, elle est presque guérit je n’ai donc pas besoin d’y faire vraiment très attention.

-La prochaine fois que tu doute, parle moi, tout simplement.

Je le serrais tendrement contre moi, pas envie de le lâcher, je suis content qu’il soit venu. J’ai quand même fini par mettre fin a son attaque bisou pour m’allonger en le gardent tout contre moi, j’ai tout le loisir de profité de son délicieux parfum et de ses bras, j’aime sa chaleur et c’est dans ses moments que j’ai juste envie de nous enfermé dans une bulle qu’on ne pourra plus quitter.

-Ou mieux, la prochaine fois, ne doute pas de moi, dis toi que quoi qu’il puisse se passé, toute mon monde tourne autour de toi, Nathaël.

Ses bras s'étaient refermés sur moi, et à nouveau, je m'étais sentit complet. Je voulais maintenant oublier ces deux semaines d'horreur, et me consacrer uniquement à cet instant avec mon démon. Il me dit de venir m'asseoir, et c'est vrai que ça serait pas un luxe, vu que mes jambes tremblaient encore. Je me laisse donc emmener, et suis plus que satisfait de me retrouver installé sur lui. Il me dit de venir lui en parler si jamais je doute encore, et j'enfouis mon visage dans son cou alors que mon sourire ne quitte pas mes lèvres. Je me mets à frotter ma joue contre sa peau douce, tel un chat.

« Voui ! »

Pour sûr, la prochaine fois, j'arrêterai de me prendre la tête dans mon coin au point de me rendre malade, et je viendrais le voir. Même, si jamais cette situation venait à se reproduire, après tout ce qu'il m'a dit, je pense que j'aurais un peu plus confiance, et je pourrais l'attendre un peu plus patiemment !

Je me mets à déposer une multitude de baisers au creux de son cou, sans spécialement me rendre compte de ce que je faisais. J'étais juste heureux, j'étais dans ses bras, et je ressentais à nouveau cette douce chaleur qui m'avait tant manqué. Sa dernière remarque me fit rire à nouveau, et je ne pu pas m'empêcher de revenir chercher ses lèvres. Mes mains étaient posées sur son torse, et mes doigts le parcouraient doucement. Une chaleur qui commençait à se faire familière montait en moi, et le temps que j'en prenne conscience, il était trop tard, mon corps avait déjà commencé à se réveiller. Mes baisers se faisaient plus passionnés au fur et à mesures, et je m'étais au final redressé toujours installé sur lui, les joues rougies. J'étais un peu mal à l'aise de m'emballer comme ça, mais j'étais tellement heureux...

« Angel...j'ai envie de toi... »

Nathou s’était simplement laisser guider, il avait encore une fois rendu les armes et s’était laisser emporter sagement vers le lit, il s’était installer sur les jambes de son démon et continuait de tremblé même en étant assis. Bien sur ce genre de détail ne pouvait échapper a son amant qui s’inquiétait de le voir si épuisé pour une simple absence de quelques jours.

Angel ne put s’empêcher de sourire en sentent son amant qui se frottais tout contre lui comme un petit chaton qui réclamerais des caresses, Nathou et ca lumière lui avait manqué, s’était la seule que le démon n’avait jamais détesté, la seule source de lumière dont il ne pourrait se passé même s’il le voulait vraiment.

Bon, il acceptait de parlé, ce qui était une bonne chose, le démon glissât doucement les mains d’une caresse dans le dos de son amant, passant sous ses vêtements, il voulait avoir plus de contact avec son Nathou et fit presque surprise de la suite. Pour une fois que se n’était pas lui qui provoquais se genre de moment, il savourât chaque baisé ferment les yeux en caressant tendrement la peau délicate de Nathou.

Après un petit rire adorable, Nathou revenais embrasser son démon qui le serrât tendrement contre lui laissant aux mains de son amant tout loisir de le parcourir alors qu’il sentait toute cette chaleur qu’il n’avait plus eut l’occasion de ressentir monté en lui. D’ailleurs, il n’y avait pas qu’en lui que la chaleur commençait a monté visiblement, puisque son tendre doudou se redressât sur lui montrant des joues toutes rouges et en descendent un tout petit peu plus bas, s’était une toute autre partie de sa personne, que le démon aimait tout autant que le reste soit dit en passant, qui s’était éveiller et avait commencer a montré des signes de réactions.

Le gardien aurait presque été surpris des mots qui quittèrent les lèvres de son amant, mais même si ca ne faisait pas parti des choses que le doudou avait des facilités à dire, cette fois s’était visible et c’est ce qui le fit sourire.

-Ne me regarde pas comme ça…

Avait il soufflé avant de se redresser lui-même et de venir dévorer le cou de son Nathou de baisés enflammés. Puis il revint glisser les mains sous le haut de son amant et lui murmuré a l’oreille :

-Je risquerais de te dévoré tout entier.

Avant de soulever son haut pour le lui enlever. Le démon revint voler les lèvres de son amant le serrant un peu plus contre lui.

-Tes désirs sont des ordres mon Nathou.

Les mains de mon démon qui étaient venues s'infiltrer sous mon haut ne m'aidaient en rien à me calmer. Ses caresses me provoquaient de délicieux frissons que je ne parvenais pas à réprimer. Après mes aveux, j'étais resté assit sur lui, mes mains posées sur son torse en attendant une réaction. Il me souffla de ne pas le regarder de cette manière, et ça me provoqua une bouffée de chaleur. Il s'était redressé pour venir s'en prendre à mon cou, et je le laissais totalement faire en penchant la tête sur le côté. Ses mains ensuite revinrent à l'attaque sous mon haut, et la phrase qu'il acheva me déclencha comme un frétillement dans le ventre.

Mon haut disparu bien vite de mes épaules, mais il ne me manquait pas le moins du monde, et sitôt disparut, j'eus le plaisir de sentir mon torse à nu contre le sien. Je me sentis serré contre lui pour mon plus grand bonheur, et ma bouche se fit prendre en otage. Un léger gémissement m'échappa, et même si ce qu'il me disait était vulgaire, je devais bien avouer que ça m'excitait assez. Mes désirs comme il disait, étaient à la fois confus et parfaitement clair. Mes hanches s'étaient mises à remuer d'elles mêmes pour me frotter contre lui. Je sentais l'envie et l'impatience monter en moi alors que je m'accrochais à lui, mes baisers se faisant enflammés. Son corps m'avait manqué, et je n'aurais jamais cru pouvoir me retrouver dans un tel état de frustration. Ou pas au bout de deux semaines en tout cas.

J'avais sortit ma langue caresser ses lèvres un instant, avant de finalement enfouir mon visage dans son cou pendant que mes frottements se faisaient plus insistants. Je ne pouvais pas me contrôler au point d'avoir envie de gémir de ce que je me faisais tout seul. L'une de mes mains était partie s'emmêler dans ses cheveux tandis que l'autre s'accrochait à l'épaule où j'avais posé mon menton. J'avais envie qu'il s'occupe de moi sans plus attendre. Je voulais le sentir en moi aussi rapidement que possible, et cette pensée me faisait rougir.

« S'il te plais... ! »

Le plaisir de sentir Nathou tout contre lui, Angel n’avait plus les idées claires à cet instant et avoir Nathou serré tout contre lui ne lui faisait que du bien, s’était bien plus efficace que les médicaments et bien mois contraignant et puis, tant pis s’il devait forcer, a se moment précis, il n’avait qu’une envie, être tranquille avec son tendre amant et ne plus entendre que lui, ne plus sentir que ses frissons et gémissements en oubliant tout ce temps qu’ils venaient de passer loin l’un de l’autre.

Le démon n’avait envie de rien d’autre que de lui faire plaisir, le faire sourire et lui rendre toute la joie qu’il n’avait pas eut ses derniers jours. Si il n’exprimait pas ses désirs, rien n’était plus clair pour Angel, voilà que Nathou se mettais à bouger sur lui venant frotter leurs deux intimités et faire monté un peu plus encore le désir que son compagnon avait déjà en lui. Les baisés se faisaient plus intense et les deux amants mêlaient leurs langue dans une étreint qui commençait à peine à se réchauffer et allait prendre en ampleur très rapidement.

Angel ne put s’empêcher de sourire, Nathou se retrouvait dans le même état qu’il avait lui-même subit quelques temps plus tôt. Donc, la limite sans activité physique poussé chez Nathou s’était deux petites semaines, l’air de rien, s’était bon a savoir pour Angel qui était ravi de constater à quel point leurs corps étaient compatibles.

D’ailleurs, si Nathou ne diminuait pas le rythme, la compatibilité risquait d’être très vite éprouver par le démon, là pour le coup avoir son amant en pleine activité sur son bassin ne l’aidais pas vraiment a agir avec calme et délicatesse et c’est sans ses deux qualités qu’il le fit allonger sur le lit venant dévoré son cou de fiévreux baisés et mordillements alors que ses mains s’attelaient a lui retiré le reste de ses vêtements. Angel ‘avait pas vraiment la patience des humains et en tant que démon, ses réflexes avaient plutôt tendance à vitre vif, il faisait au mieux pour ne pas l’être trop avec Nathou en générale mais sa petite supplication ne pouvait pas tomber dans l’oreille d’un sourd.

Après que les vêtements du doudou aient volé, le démon s’attelât à parcourir l’ensemble de son corps de ses lèvres, déposent ça et là des baisés et des mordillements en caressant de ses mains cette peau délicate et brûlante qu’il aimait tellement. Il ne mit pas longtemps a concentré son jeu de lèvres sur les parties intéressantes de son tendre amant et a jouer avec. Angel le pris en bouche et jouât de ses doigts, le démon fit tout pour entretenir la flamme de son doux Nathou.

J'avais recommencé à embrasser son épaule tout en caressant ses cheveux du bout des doigts. Je sentais qu'Angel était amusé par mes réactions, mais je n'avais pas le moindre contrôle sur ce que je faisais. Ou plutôt, je n'avais pas envie de me contrôler. Pour une fois, je voulais me laisser aller totalement. À peine lui avais-je demandé de faire quelque chose qu'il avait déjà décidé de prendre les devants.

« Ah ! »

Je m'étais soudain retrouvé allongé sur le lit, et un léger cri de surprise m'avait échappé face à sa brusquerie. D'ailleurs, j'oubliais totalement ce geste en le sentant plonger dans mon cou. Mes bras se refermèrent autour de lui, caressant son dos, dessinant le contour de ses omoplates. Je me sentais me faire déshabiller, et j'en étais bien content. J'avais soulevé mon bassin, autant pour l'aider à me débarrasser de mon pantalon que pour venir sentir encore son désir contre le mien.

Ses mains et sa bouche parcouraient tout mon corps, m'arrachant frissons et soupires. Je l'avais d'abord regardé faire, puis mes yeux s'étaient fermés d'eux même alors que je continuais de m'accrocher à lui, caressant sa peau qui était à ma portée. Je sentis ses attentions se faire plus précises en atteignant une certaine zone de mon corps, ce qui me fit me cambrer en relâchant un long gémissement. J'avais l'impression d'être enfiévré en le sentant faire, et je m'étais mit à trembler. Un gémissement plus fort résonna dans la chambre, dans lequel paraissait un mot sans que je ne m'en sois réellement rendu compte.

« Encore...! »

Je me tordais de plaisir sous ses attentions. J'avais chaud, mes mains tremblantes s'étaient accrochées à sa chevelure. Je haletais sans pouvoir m'arrêter d'exprimer vocalement mon bien être. De temps à autre, mon bassin bougeait par à-coups, comme un réflexe, qui me faisait sentir encore plus ses traitements, et me sentir en mieux. Mes mains étaient ensuite remontées sur mon visage, pas pour le cacher, mais parce que j'avais chaud, tellement chaud ! Je frottais mon visage alors que mes gémissements sonnaient d'une façon obscène qui me faisait rougir plus encore. Je finis par interpeller mon démon, et tendre les bras vers lui. Je le voulais contre moi, dans moi...

« Viens ! »

Le démon était ravi des petits cris, il était déjà très chaud après le petit jeu de son amant mais se sentais transporté par chaque réactions. M’enfin bon, le beau doudou se contentât de câliner son démon qui aimais sentir ses bras sur lui, ses gestes et sa tendresse que Nathou ne réservait qu’a lui, s’était un plaisir, un pure et simple plaisir de le voir réagir sous chaque gestes.

Le démon poursuivit donc son chemin prenant grand soin de son amant et de son plaisir, faisant en sorte de rester tendre plus que n’importe quoi d’autre. Il s’appliquât sur la partie intéressée et le long gémissement de son bel amant lui tirant des frissons, Angel laissât faire d’ailleurs, il poursuivit son jeu s’appliquant a varié du petit jeu de langue à la pure et simple prise en bouche juste pour pousser un peu plus la résistance de son amant alors qu’il jouait toujours de la main plus bas.

Le but du jeu là, s’était voir combien de temps nathou pourrait tenir, lui qui était toujours si rouge et réserver se mettais à en réclamé. S’était vraiment le moment le plus amusant que le démon ai put imaginer pour le coup et il se fit un plaisir pure et simple de pratiqué encore et encore laissant sa main libre parcourir le corps de son amant, elle se glissât jusqu’aux lèvres de se dernier venant humidifier ses doigts qui s’attelèrent ensuite a préparé un minimum au moins Nathou. La suite par contre fut une surprise, s’était cette fois la proie qui réclamais d’être dévoré là, sur l’instant et peu importe qu’il ne soit pas bien préparé, a priori, il avait juste envie que l’union se fasse.

Le démon hésitât un moment, c’est vrais que l’envie ne lui manquait pas de s’occupé tout de suite de la fusion mais sans avoir pris le temps de préparé correctement son doudou, il risquait de douiller et genre pas qu’un peu. Angel revint finalement embrasser son amant de toute sa passion se contentent du coup d’obéir, il soulevât le bassin de la fée, retirant au passage son vêtement, juste assez pour qu’il ne soit pas une gêne et vint le prendre en douceur.

Le gardien ne voulait pas vraiment lui faire mal, seulement lui obéir alors il se contentât de la préparation qu’il avait faite et entamât l’union avec délicatesse, enfin le plus possible sachant qu’il était déjà bien prêt. Puis ne laissant pas pour autant à son amant un temps pour s’adapter, il ne tardât pas à se lancer directement dans le vif du sujet entament un vas et viens lent puis plus rapide en dévorant le cou de Nathou de baisés.

Je ne me sentais plus capable d'attendre. Je m'étais laissé faire docilement quand ses doigts étaient venus se glisser dans ma bouche, mais je ne lui avait pas laissé le temps d'approfondir correctement les choses. Je ne me savais pas capable d'une telle impatience, mais après toute la peur de le perdre que j'avais eu, je n'avais pas envie de me retenir. Je le sentis hésiter pendant un moment, ce qui me frustra au plus haut point. Je m'apprêtais à le réclamer à nouveau, mais il me céda finalement, et vint m'embrasser, m'arrachant un nouveau gémissement excité.

Il s'empara de mes hanches, les ramenant vers lui, et enfin je le sentis s'insérer en moi. D'abord je sentis une douleur qui me coupa le souffle en me faisant grimacer. Bien sûr, je savais que ça allait se passer comme ça quand je lui avais demandé, mais c'était une douleur que je pouvais surmonter, juste pour pouvoir me dire qu'après tout se temps il était à nouveau là avec moi. Angel ne me laissa pas vraiment le temps de me reprendre avant de se mettre à bouger, ce qui me faisait me crisper un peu, mais j'avais tellement envie que très rapidement, la douleur laissa place au plaisir.

Je m'accrochais à lui alors qu'un long gémissement m'échappait. Sa bouche dans mon cou me procurait des frissons qui secouaient mon corps tout entier. Je me sentais enfiévré, les yeux fermés, je laissais ma tête reposer en arrière sur le lit. Je sentais que mes joues étaient rouges, j'avais chaud, mais je ne pouvais pas envisager un seul instant de m'éloigner de mon démon. Je penchais finalement la tête sur le côté à la recherche de ses lèvres, mes mains s'accrochant à ses épaules.

Le démon avait simplement cédé a la demande de son amant et le gémissement qu’il avait perçu a se moment l’avait régalé comme plus depuis des jours déjà. Voilà un moment qu’il n’avait plus passé de temps l’n dans l’autre et cette soirée était des plus importantes, elle soulignait tous les dires du gardien qui ne prenais pas pour autant le temps de faire les choses en douceur. Puisque pour une fois Nathou réclamais de la force, c’est avec force que son amant l’avait pris et avait lancé l’échange poursuivant ses vas et viens.

Même si l’expérience changeait des précédentes, le démon fit en sorte de s’appliqué, il n’avait pas laissé a son amant le temps de s’habituer mais prenait grand soin de fusionner avec lui au plus proche possible. Le gardien continuait de dévoré le cou de son tendre doudou d’ardents baisés et mordillements. Il se crispait le pauvre doudou, s’était une sensation absolument délicieuse pour le démon, rien à redire nathou était toujours le même doudou, il restait doué dans toute sa candeur.

Le démon ne quittât la peau délicate du doudou que pour venir reprendre ses lèvres, prenant au passage le temps d’admiré son délicat visage, rougit par des pensées qu’il jugeait a tous les coups impures. C’est seulement après avoir de nouveau volé ses lèvres pour mêler leurs langues dans une danse enflammée, qu’Angel réentrepris de s’occupé de la zone légèrement trop délaissé a son goût et s’en revint la caresser de l’une de ses mains.

Lorsque mes lèvres purent enfin atteindre les siennes, je ne pu réprimer un soupire de soulagement. Je laissais ma langue aller jouer avec sa semblable, ignorant les gémissements qui m'échappaient. Je  sentis sa main dériver sur moi, et mon dos se cambra doucement, parcouru de frissons. Mes doigts s'emmêlaient dans ses cheveux, tandis que l'une de mes jambes étaient remontée s'accrocher autour de sa taille.

Angel n'étais pas aussi doux qu'il l'avait été nos précédentes fois, et malgré que ce soit moi qui le lui ai demandé, j'avais un peu de mal à suivre le rythme qu'il m'imposait. Seulement, en le sentant bouger en moi, j'oubliais toute la douleur que j'avais pu ressentir, j'oubliais à quel point j'avais pu me sentir seul ces derniers jours, voir même de toute mon existence. J'avais la sensation que jamais il ne m'abandonnerait, qu'avec lui je n'avais plus à avoir peur. Je me sentais en sécurité dans ses bras. Je me sentais comblé.

Je ne tardais pas à haleter, tressautant sous ses assauts, j'avais de plus en plus de mal à trouver de l'air, mes gémissements n'aidant pas beaucoup. Je n'arrivais pas vraiment à me concentrer sur ce que je faisais, et de temps à autre, le prénom de mon démon apparaissait parmi mes soupirs. Mes yeux restaient fermés quoi que j'y fasse, tout mon corps frémissait au moindre de ses gestes, et je sentais la tête qui me tournait sous tout ce plaisir. Mes mains se crispèrent sur lui, et qu'importe à quel point j'essayais de me retenir pour prolonger encore ce moment, je finis par venir dans un grand cri de plaisir.

C’est seulement en retrouvent la proximité qu’ils n’avaient plus depuis déjà quelques jours que le gardien pris conscience du manque ressenti sans Nathou. C’est vrais qu’a force de passer toutes leurs soirées ensemble il avait pris gout a sa présence et c’est seulement après l’avoir retrouvé que l’impression de manque pris enfin tout son sens.

Même si au fond s’était nathou qui l’avait demandé, sa n’empêchait pas Angel de limiter un minimum la force mise dans ses mouvements. Pas que l’idée d’y aller pleinement et de ne plus faire qu’un avec son amant ne lui plaisait pas, s’était surtout ne pas casser le Nathou qui semblait si fragile qui le tracassait bien plus encore. Enfin bon, cette fois il ne se crispait pas ni ne cherchais à dissimuler ses gémissements qui se faisaient comme toujours pure plaisir pour son démon. Inutile de dire qu’ils ne faisaient que donner un coup de fouet a sa passion, il passât sa main libre le long de la jambe que son tendre amant avait attacher à a sa taille et ne perdit ses lèvres que pour lui laisser l’occasion d’accorder son rythme a celui qu’il avait réclamé.

Angel ne ratais pas une miette du beau visage de son doudou toujours aussi adorable qu’un peu plus tôt et se fit tout une joie de le voir lâcher prise si vite mais pas question d’en faire autant. Le son si doux d’un nathou qui se laissait aller a l’achèvement de l’union avait tout autant manqué que tout ses petits détails a son démon qui poursuivait le jeu quelques temps encore ralentissant le rythme par moment puis l’accélérant de nouveau mais en arrêtant jamais de le travailler au corps, sèment sur lui d’ardents baisés et de délicieux soupirs.

C’est seulement après un nouveau moment de plaisir plus intense que l’union vint à s’achever et que le démon se laissât à son tour aller. Angel s’en retournât simplement s’allonger aux cotés de son amant retrouvent peu à peu son souffle.

Les caresses de mon démon me faisaient frissonner. Étourdit par l'orgasme, je n'arrivais plus à penser à quoi que ce soit. Je me rendais tout juste compte de ce qui se passait, tout ce que je sentais, c'était qu'il continuait de se mouvoir en moi, augmentant toujours plus mon plaisir. Les baisers qu'il vint déposer sur mon corps me faisaient sursauter bien malgré moi, et même si je venais juste de toucher le ciel, j'étais déjà à nouveau excité. C'était bizarre, j'avais à la fois envie de le tenir contre moi pour qu'il continue, et de le repousser pour qu'il s'arrête. C'était trop ! Trop d'un coup ! Angel alternait le rythme, me rendant fou de plaisir. J'arrivais à peine à trouver de l'air, et ma tête n'arrêtait pas de tourner sur la matelas.

J'en pouvais plus ! Ma tête était complètement vide, je ne me rendais plus compte de tous les cris qui sortaient de ma bouche, du prénom de mon démon que je n'arrêtais pas de répéter. Ça en devenait presque douloureux ! De toutes mes petites forces, je le serrais contre moi alors que je venais une seconde fois, et lorsque mon esprit redevint clair, ce fut pour admirer mon Angel qui me rejoignait dans le plaisir.

Je me suis ensuite retrouvé étalé en étoile de mer sur le lit, les yeux fermés à essayer de retrouver mon souffle. J'étais mort ! Je ne m'étais jamais senti aussi fatigué ! Puis au bout d'un moment, un frisson me fit me rendre compte que je commençais à avoir froid, mais un sourire se dessina peu à peu sur mes lèvres. C'est vrai que j'étais largement comblé pour le coup ! Mon envie de câlins se fit plus forte que ma fatigue, alors je me traînais tant bien que mal me blottir tout contre lui. J'allais nicher mon visage dans son cou, y déposant une multitude de baiser. Je sentais au creux de mes reins une certaine douleur qui montrait bien qu'on y était peut être allé un peu fort, mais je ne regrettais rien du tout.

Qui résisterait a une telle demande, cette fois le démon s’était contenter d’obéir on amant y allant pleinement sans s’arrêter malgré le fait qu’il ait déjà touché le ciel, il s’était appliqué bien sur à le rendre heureux et surtout avait pris plaisir à poursuivre l’union jusqu’à n’en plus tenir, jusqu'à avoir repousser son amant vers les portes du pallier suivant, pas besoin de rester au 7 ème ciel quand atteindre les étages de dessus pouvait être si simple et c’est pleinement satisfait et certain d’avoir su rendre son doudou heureux que le démon avait terminer leurs union.

Impossible après ca, d’oublier les doux sons qui avaient quitté les lèvres de Nathou, mêlant cris et supplication, puis ses efforts pour que rien ne s’arrête, tout avait un gout de miel qui ne quittait pas le démon qui s’était enfin rallonger. Même les médicaments n’avaient pas su empêcher l’union, rien n’aurait put a vrais dire, après tant de temps de manque, lorsqu’enfin sa blessure venait de guérir, il en aurait profité quitte a devoir recommencer le traitement a zéro.

Plus vraiment la force de faire grand-chose, le gardien se contentais d’observer le petit doudou tout près et il fut ravi de voir son visage après ça. Il fallut quand même un petit moment avant que Nathou ne revienne se blottir à Angel qui sourit en le voyant faire. Venir chercher la chaleur d’une créature a la nature et au sang froid, pas sure que ce soit la meilleurs idée qu’il puisse avoir mais pour nathou, rien n’empêchait de remonter les couvertures. Bon, si, la fatigue en soit n’aidait pas mais a part ca, rien d’autre.

Puis, les baisés que Nathou s’acharnais à déposer dans le cou de son démon tirèrent un sourire amuser à celui-ci qui au final se servit de sa queue démoniaque pour remonter les couvertures qui avaient dégagé pendent la relation, il prit soin de serré son amant tout contre lui et de bien le couvrir venant déposer un baisé sur son front avant de se laisser aller à comater, sentant de plus en plus l’effet des cachets sur lui.

-Dors bien Nathou

Les bras de mon démon se refermèrent sur moi, et la couverture remonta sur nous, nous enfermant dans un doux cocon chaleureux. J'eus le droit d'admirer un peu son sourire, puis un dernier baiser sur mon front avant que mes yeux ne commencent à se fermer d'eux-mêmes. Son murmure me fait sourire, et je lui souffle un bonne nuit déjà endormit avant de sombrer totalement dans les bras de Morphée.

Je dois dire que cette nuit-là a été parmi les plus agréables de toute ma vie. J'étais bien installé, tout me paraissait doux, et puis j'ai fait de beaux rêves ! J'ai rêvé d'Angel, et puis de gâteaux... séparément. Parce que je n'ai aucune pensée malsaine avec de la nourriture ! Je me suis réveillé au petit matin à cause d'une envie pressante de me rendre aux toilettes. J'ai très péniblement ouvert les yeux, me suis extirpé à grands regrets des bras de mon démon tout en faisant très attention à ne pas le réveiller, et là, une douleur atroce s'est installée au creux de mes reins. Je me suis retrouvé plié en deux à serrer les dents, et ai eu toutes les difficultés du monde à aller me soulager.

Je n'ai ensuite pas prêté la moindre attention à l'heure, ni à ce que j'aurais du faire dans la journée, je suis revenu me coucher contre mon démon. Je ne me comporte pas comme ça d'habitude, mais je peux bien faire une exception, rien qu'aujourd'hui. Utilisant la couverture comme bouillotte, je me suis rendormit un peu plus péniblement. Je me suis remit à rêver de gâteaux, bonbons, et tout pleins de bonnes choses sucrées. J'avais beau être endormit, ça me mettait vraiment l'eau à la bouche. Je crois même qu'à un moment je me suis mit à parler en dormant, parce que j'arrivais pas à choisir entre un saint honoré et un fraisier. Au final, j'avais tout mangé ! Ça avait l'air tellement réel dans mon rêve, que je me suis réveillé une nouvelle fois, pour entendre mon ventre gargouiller bruyamment alors que je n'avais même pas ouvert les yeux.

Le démon n’avait pas mis bien longtemps à trouver se sommeil après que son amant soit venue se blottir tout contre lui. I avait perdu conscience avant même que le murmure de la fée ne l’atteigne, enfin bon ca ne l’avait pas empêcher de le serrer tout contre lui avec une infinie tendresse en prenant soin de ne pas lui faire de mal et surtout profitant de sa présence après le manque qu’avait engendré sa période de guérison.

Après ca, les deux amants passèrent une douce nuit, enfin jusqu’à ce que Nathou ne se décide à se lever. Au début, Angel n’avait pas réagit, toujours assommé par les médocs, il avait juste quitté le sommeil profond pour la somnolence, puis le temps qui passait sans que le doudou ne revienne fini par réveiller le démon qui put finalement le voire reprendre sa place avec de petites grimages qui l’aurait presque fait rire. Puis le doudou revint se blottir à lui, son petit corps tout froid reprenant place auprès de son amant qui ne s’était pas rendormi mais le serra tout de même tout contre lui, l’observant.

Il fallut a peine quelques minutes a la fée pour retrouver le sommeil, quelques courtes minutes pendent lesquelles son démon ne l’avait pas quitté des yeux, un tendre sourire sur le visage et l’amusement de toutes ses grimaces en tête. Puis, au moment ou le sommeil allait reprendre le dessus, Nathaël se mis a parlé et cette fois, Angel ne put s’empêcher de rire doucement, là s’était vraiment un tue l’amour mais un parfait moment pour gagatisé, ce que bien sur, la fée aurait détesté vu que ca le ramenait au range de petite chose adorable mais là, y avait vraiment de quoi.

A se moment, Nathou avait commencé à rêver de gâteau et le démon riait doucement en l’entendant parler de tout manger. Il fini par se lever gardent Nathou coucouner dans les couvertures pour qu’il n’ai pas froid et ne remarque pas son absence, puis en coup de vent, le démon parti chercher de quoi faire plaisir a l’amant qu’il avait tellement blesser en a peine quelques jours. Puis en revenant, le démon mis en place un beau plateau plein de douceur qui avait fait parti du rêve de Nathou et se remis à rire doucement alors que le ventre de son amant semblait en avoir pris conscience avant lui.

-Aller, il est temps que tu te réveille Nathou

Tout en douceur, le démon revint s’asseoir près de Nath et glissât la main dans ses cheveux pour dégager son joli visage et venir déposer un tendre baiser sur ses lèvres.

-C’est fou comme tes rêves son romantique mon doudou

À peine je commençais à reprendre conscience, le bruit de protestation de mon estomac se faisait entendre. J'étais encore totalement étourdit par le sommeil, alors je ne me rendis pas vraiment compte que j'étais en train de gargouiller devant mon démon, sinon j'aurais trouvé a trop gênant. La première chose dont je me rendis compte, c'est que j'étais bien installé, au chaud, enroulé dans la couverture, puis une voix si familière m'appela doucement, me disant de me réveiller. Alors j'ouvrais très lentement les yeux, battant les cils pendant que la main de mon démon passait dans mes cheveux. Puis, ce furent ses lèvres qui vinrent rencontrer les miennes, et sans m'en rendre compte, je poussais un léger soupir de bien être.

Je commençais à me frotter les yeux, l'écoutant me parler de mes rêves, mais pour le moment, je ne comprenais pas qu'est ce qu'il pouvait me raconter. J'avais voulu m'étirer, mais ça, c'était avant de me rappeler les résultats de notre activité de la veille, qui me firent me crisper en posant une main au creux de mes reins. La douleur me réveillant un peu mieux, les mots d'Angel prirent soudain du sens, et je me mis à rougir en relevant les yeux vers lui. Je réfléchis une seconde en me demandant ce qu'il avait bien pu entendre. Il me semblait bien avoir parlé en dormant, mais je crois que ce n'était que pour mes rêves de nourriture. Du moins j'espère, je ne veux pas qu'il m'entende quand je rêve de lui ! Je suppose donc qu'il avait pu observer toute ma gourmandise de cette manière, je baisse les yeux sans que ces rougeurs ne quittent mes joues, et commence à triturer un bout de drap.

« C'est parce que j'ai faim... »

J'avais très envie d'aller me blottir dans ses bras, mais l'idée de devoir me traîner jusqu'à lui ne m'enchantait pas vraiment. Je me préparais donc psychologiquement à la douleur, et c'est là que je remarquais le plateau posé juste à côté, et toutes les bonnes choses disposées dessus qui semblaient m'appeler. Là, mes yeux s'illuminèrent, et je dû passer mes bras autour de mon ventre pour essayer de restreindre au mieux une nouvelle protestation.

Nathou avait au moins le mérite d’être obéissant, ce qui était presque aussi drôle que les mots qu’il prononçait. Le doudou avait cette façon bien a lui de faire les choses et c’est tout en douceur qu’il avait commence à s’éveiller alors qu’Angel lui avait simplement demandé de le faire. Le baiser plutôt tendre du matin avait simplement reçu un soupire d’aise en guise de réponse et bien sur cette réaction fit simplement sourire son amant qui était ravi des retrouvailles.

Le nathou au réveil ressemblait beaucoup a un enfant fatigué qui s frotte les yeux et s’étire avec une toute petite bouille mais après l’activité nocturne qu’ils avaient eu, rien de bien étonnant a ce genre de réaction. Bien sur, la patience était une vertu que la fée avait le don d’apporter au démon, c’est pour cette raison d’ailleurs qu’il restât sagement assis près de lui et se décidât après quelques secondes a déposer le plateau près d’eux sans pour autant l’imposer a son doudou. Puis ce fut le tour d’une réaction qui fit grandir encore le sourire d’Ange, après l’avoir réclamé, Nathou semblait avoir quelques difficultés a soutenir le rythme qu’ils avaient emprunter la veille.

Le démon vit les mains de son amant se poser sur ses reins comme si c pouvait changer quelque chose a la douleur qu’il devait ressentir, de quoi bien rire en soit mais bien sur Nathaël l’aurait mal pris et le démon aurait une fois de plus du s’excuser puis ca, ca ne faisait pas partie des choses qu’il appréciait de faire. Une fois de plus, Nathou baissât la tête en rougissant, il semblait avoir mis quelques minutes a réagir et fit quand même doucement rire son démon, surtout quand il cru important de préciser que s’était a cause de son appétit. En même temps, après la soirée de la veille, rien de plus normal que d’avoir faim.

-J’avais cru comprendre

Le démon fit glisser le plateau plus bas, se re-glissant dans le lit en gardent le jogging qu’il avait enfilé. Il vint s’asseoir derrière son amant glissant une jambe de chaque coté de lui, puis bien sur avec tendresse, Angel vint déposer quelques baisés sur le cou du doudou en murmurant

-Ça ne me dérange pas…

Bien sur, il parlait du petit bruit et vint déposer les mains sur le ventre de son tendre amant avant de rapprocher le plateau sur eux. Le gardiens remontât la couverture de ses mains et se servit de sa queue démoniaque pour ramener déposer le plateau sur les jambes de Nathou. Avant de quitter son cou pour prendre appuis sur le mur derrière et de sourire.

-Même si j’aurais préféré faire partie de tes rêves !