Petit cadeau juste pour toiOn va se baigner ? ou on reste là ?
Enfin rentrées... on sort ?
Enfin … après un séjour beaucoup trop long, nous avons tous fini par retourner à l’école, et en plus, le bon coté de la chose, c’est que les vacances ne sont pas terminées. Bien sur, en rentrant, j’ai passé les deux premières nuits dans le lit de mon frère, bien nicher auprès de lui… retrouvent à la fois le calme et la sensation de chaleur qu’il est le seul à m’offrir, enfin, qu’il était seul a m’offrir.
Cette expérience n’aura pas été inutile au fond, je n’ai plus aucune envie de ma familiarisé a la musique de se monde « grâce » a elle. Le professeur de cette matière est un crétin incapable de comprendre qu’à un moment ou un autre, il faut savoir se taire pour rester en vie et j’ai beau n’en avoir aucune preuve, je suis certaine a 97% que je ne suis pas la seule à avoir eut envie de lui arracher les yeux et de les lui enfoncer au fond de lui.
Enfin bref, ce matin, après avoir petit déjeuner avec Lenno, j’ai décidé qu’il était temps de sortir de notre cocon. J’ai été a ma chambre, pris une bonne douche bien chaude, j’ai attaché mes cheveux en deux couettes et pris un maillot de bain deux pièces noir. J’ai mis un shorty et une veste noire, puis, j’ai passé une paire de bottines et suis partie pour rendre visite à Erato. Il y a trop longtemps que nous ne nous sommes pas vu, elle me manque un peu. En plus, elle a eut la chance de passer ses vacances avec Lenno, elle doit avoir des tas de choses a me raconté !
J’ai été jusqu’à chez elle, frapper a la porte de sa jolie maison après avoir passée son jardin… mais … je n’ai eut aucune réponse…
-Erato ?
Je n’avais pas envie de partir moi … je voulais voir Erato. J’ai hésité un peu, suis restée quelques minutes dehors, puis finalement, je suis juste entrée dans sa maison, elle ne sera pas fâchée je pense, je n’avais pas envie d’attendre comme ça dehors, je suis sure qu’elle n’aimerait pas non plus. Et puis, rien ne me dit qu’elle n’est pas couchée. En entrant, j’ai put profiter du parfum de la douce Erato et en ai souris, elle sent bon … j’aime sentir son odeur comme ça partout. Je suis allée jusqu’à sa cuisine, mais elle n’était pas là, alors, je suis allée a sa grande salle de bain, mais encore une fois, personne, donc, j’ai fini par la chambre, vide elle aussi…
J’aurais put être triste, mais non, elle finira bien par revenir. Je me suis assise sur son lit, respirant son odeur avec plaisir et ai attendu un moment.
*le temps est long quand on s’ennuis …*
La preuve, c’est qu’en un rien de temps, je me suis allongée … et puis … je ne sais pas vraiment pour la suite, je suppose que j’ai fini par m’endormir en l’attendant.
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Sujet: Re: Une baignaaaaaaa*baille*de ? Ven 23 Sep - 15:53
Hum, elle s'était endormi là ? Ça arrivait de plus en plus souvent. Bâillant longuement, elle se redressa lentement, examinant son coin de bois avec une sorte de passivité étrange. Elle ne savait pas exactement ce qui lui avait fait quitter son rêve mais soit, puisqu'il fallait se lever, elle l'admettait sans rechigner. Elle passa une main dans ses cheveux de plus en plus longs. Hum... Une coupe s'imposerait bientôt. Elle mit enfin pied à terre et récupéra sa lyre avant de prendre le chemin de sa demeure.
Erato avançait avec un manque de dynamisme flagrant, elle avait dû mal à quitter le songe qu'elle avait fait. Pourtant, elle était l'une des premières à savoir qu'il ne fallait pas s'accrocher au monde onirique mais ce matin-là... Elle avait envie. Aussi, elle ne remarqua pas de suite que quelqu'un s'était introduit chez elle. En fait, elle ne le nota que quand elle entra dans sa chambre après une bonne douche. A peine enroulée dans une serviette, une tasse de café au lait à la main, elle vit une splendeur sur son lit.
Une nouvelle représentation de Vénus... Sauf qu'elle n'était pas nue...
Hébétée, la Muse fit quelques pas vers son lit, repoussant les quelques voilures qui l'entourait tout en posant sa tasse sur la table de chevet, délicatement. Contemplant le visage de celle qui la hantait la nuit quand elle aurait simplement dû être... une possible compagne d'un soir. Posant un genou sur le matelas, Erato se pencha ensuite sur la nymphe endormie avec la profonde envie de l'embrasser. Quand s'était-elle rendormi pour que ce qu'elle veuille tant soit ainsi à sa portée ? Presque offert...
Elle se pencha encore, sentit sur ses lèvres le souffle chaud de Tara. C'était impossible, comment la Kitsune serait-elle arrivée sur son lit ? Pourquoi ? Et surtout dans cette tenue. Pas qu'elle était si déshabillée... Mais désirable, c'était certain. Elle se retint de frôler ces lèvres roses si tentantes, inspirant profondément l'odeur de la belle bleue. Cela ne pouvait pas être un rêve. Elle ne connaissait pas encore par cœur l'odeur de la jeune fille, elle ne saurait la reproduire dans ses songes, même les plus réalistes.
Aussi, Erato se redressa malgré son envie de clouer son invitée surprise sur le lit pour la dévorer à son aise et préféra poser une main un peu tremblante sur son épaule pour la secouer gentiment.
-Tara ? Tara ? Réveille-toi...
Ce fut le moment que choisit sa serviette pour lâcher et tomber à terre, la laissant nue devant la Kitsune. La Muse se mit à rosir mais sans chercher à se cacher, ce serait complètement ridicule. Tara avait dit qu'elle ne se moquerait pas de sa cicatrice. Et elle n'avait aucun moyen de voir qu'elle était un peu humide... Elle sortait de la douche après tout ! Elle s'assit juste plus confortablement tout en ramassant sa serviette, la déposa sur ses cuisses, cachant sa toison tout aussi blanche que ses cheveux.
-Bonjour, mignonne petite Kitsune. Bien dormi sur mon lit ?
Erato esquissa un sourire en coin, elle était adorable. Mais pas seulement, malheureusement.
-Contente de te voir mais que fais-tu ici ?
Elle attrapa une des mèches de cheveux de Tara, l'entortillant entre ses doigts. Hésitant sur ses prochaines paroles mais qui au final ne lui coûterait pas tant. La jolie bleue savait l'affection qu'elle lui portait. Peut-être pas son intensité mais elle avait plus que conscience de son existence.
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J’imagine que je me suis endormie, ou alors s’était tout le reste qui n’était qu’un rêve. En l’espace d’un instant, je me retrouvais dans ma forêt, bercée par l’odeur familière la plus douce que je pouvais sentir. Seule au milieu des arbres, tous plus hauts les uns que les autres. Lenno n’était pas là, il devait être à la chasse. Je me levais, constatait que j’avais ma forme animale comme toujours et me mis à courir, j’allais dans mon monde, heureuse de retrouver cet espace ou chacun a de l’instinct et ou personne ne tente de se suicider sous couvert d »une quelconque preuve d’autorité ou je ne sais quoi.
Puis là, au centre d’un étrange jardin, l’odeur se fit plus présente. Je reprenais forme humaine en voyant une ombre se dessiner au loin et avançais. Manque de logique évident, je suis plus dangereuse sous forme animal … je suis certaine qu’il m’a fais perdre une partie de mon dressage ce vampire idiot… il pourrait bien se mettre ses idées au fesses et faire des lardons avec.
Je m’arrêtais à quelque mètre, percevant mon nom, il semblait prononcer par l’être face a moi. Il me fallut bien trois minutes pour réalisé qu’il s’agissait d’Erato et aller me nicher dans ses bras. Elle m’avait manqué la jolie muse … mais que faisait-elle chez moi ? Elle aussi avait changé de monde ? J’aurais voulu lui demander mais lorsque j’ai relevé la tête vers elle, ses lèvres étaient toutes proches des miennes et je n’ai pas eut le temps de prononcer un mot qu’une sensation encore plus bizarre finissait par percé ma bulle.
Lorsque j’ai repris conscience, Erato état toujours près de moi, mais je n’étais plus chez moi … Je baillais doucement en passant la main devant mes lèvres et me frottais les yeux avant de la regarder. -Bonjour.
Eu moins, elle elle était encore là, avec moi. Je me suis assise sur le lit, constatant que j’avais bien fait un rêve et ai souris à ma muse. -Très …
J’entends bien qu’Erato veut savoir ce que je fais chez elle, c’est normal, j’empiète sur son territoire après tout, mais même si je saurais facilement lui répondre … je ne peux pas m’empêcher de pensé a la Erato de mon rêve. Elle doit être toute seule maintenant et puis … il allait se passé quoi exactement, si j’étais restée dans ses bras, il se serait passé quoi ? -Je…
Zut, je me suis fait perdre le fil toute seule. -J’avais envie de te voir.
J’ai souris quand elle a dit que je lui manquais. -Tu me manquais aussi, alors je voulais t’invité à venir te baigner avec moi.
Ça me revient. Tiens, c’est rare qu’Erato ne se cache pas, elle est toute naturelle devant moi cette fois. -Mais tu n’étais pas là, alors je suis venue t’attendre.
Je me suis approchée un peu plus, et suis venue poser la tête contre la serviette sur ses jambes, me rallongeant près d’elle. -Comme il y avait ton odeur partout et qu’il fait bien chaud, j’ai du m’endormir.
Je suis bien, tout contre la vrai Erato aussi.
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Sujet: Re: Une baignaaaaaaa*baille*de ? Sam 24 Sep - 14:59
Même sa façon de se réveiller était mignonne. La Muse se considérait comme définitivement fichue. Pourquoi ça ne pouvait pas être une envie passagère comme toutes les autres envies ? Ou filles... La folie devait la guetter, tout simplement. Surtout que la belle bleue ne disait rien qui pourrait l'aider à se calmer. Elle se retint de serrer fortement sa serviette inutilement. Cela ne l'aiderait, elle préféra se mettre à respirer plus profondément, plus lentement.
-Alors me voilà. Je m'étais endormi dans mon coin de forêt en composant. C'est pour cela que j'arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Euh... Je veux dire par là que j'arrive sans prévenir.
Baigner ? Comme aller à la plage et finir dans l'eau de mer ? Erato était surprise. Mais pas parce que Tara lui proposait une sortie mais plus parce que celle-ci ne devrait pas le faire en fait. Elle était mannequin, ne devait-elle pas éviter de bronzer ? Un peu perdue, la Muse continua l'observer tout en se disant qu'elle aurait dû aller enfiler quelques vêtements. Cette serviette n'était définitivement pas suffisante.
Et encore plus quand Tara posa la tête sur ses cuisses, sur le mince tissu éponge qui cachait sa féminité ! Erato rencontra un nouveau pic de rougissement alors qu'elle posait délicatement sa main sur le crâne de la jeune fille. Elle priait pour que celle-ci ne remarque rien. Détourner la conversation, vite ! Trouver quelque chose ! N'importe quoi ! Euh, non, pas n'importe quoi, elle risquait de dire un truc sur le sexe et ce serait forcément déplacé.
-Donc tu aimes mon odeur ?
Hum, non, mauvais départ. Elle ne devait pas aller par là alors que Tara avait sa tête près de son entrejambe. Elle ne pouvait pas bouger les cuisses sans déloger la Kitsune en plus. Et elle ne le voulait pas tellement.
-Non, plutôt, ne devrais-tu pas ne pas aller à la plage ? Parce que normalement, tu n'es pas sensé bronzer... A moins que tu ne laisses le mannequinat.
Ce qui la désolerait un peu quand même. Elle aimait beaucoup ses photos... Cela lui aurait presque donné l'envie de se lancer dans ce domaine. De la photo, hein. Pour être la paparazzi la suivrait. Hum, que ses pensées étaient malsaines. Mais elle ne s'arrangerait pas, elle était trop vieille pour cela. Elle n'avait aucune idée de quel âge elle avait réellement d'ailleurs... Argh, elle était dingue, c'était fait. Que Tara lui rende son cerveau en se mettant un sac en papier sur la tête !
En fait non.
-Je devrais aller m'habiller.
Erato enleva ses doigts des cheveux bleus de la Kitsune, inspirant encore à fond.
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Il y avait longtemps que je n’étais pas restée juste avec Erato, pourtant, ça n’étais pas faute de l’avoir voulu, surtout sur l’île avec l’autre espèce de vampire en chaleur qui avait manqué de claques dans son enfances mais risquait très vite de les recevoir maintenant. Si j’avais pu … je lui aurais arraché la tête, il a d’ailleurs de la chance que mon frère n’en sache rien … bien que je doute que Lenno se salisse avec ce genre de créatures ignorantes et sans intérêt.
A peine installée, j’avais cru sentir Erato se tendre, mais quelques secondes après, ses doigts me caressaient les cheveux et je souriais en fermant les yeux. -Comme un neveu sur la soupe ?
Ça doit être marrant à voir ça… Quoi que …. L’explication ne colle pas du tout avec la phrase en réalité. -Tu avais peur que je ne comprenne pas ?
J’ai rigolé et poser la main sur la jambe d’Erato pour qu’elle se détende un peu, je sens ses muscles tout tendus … elle c’est peut être fait mal en forêt. -Mis tu n’as pas a prévenir, tu es dans ta maison quand même, c’est comme si je prévenais chaque fois que je m’apprête à manger un bout de viande.
Je devrais ? Nooon Lenno me l’aurais dit, je ne dois pas … -J’aurais plutôt du te prévenir.
Je lui demanderais quand même. -Désolé.
Par prudence. -Oui, j’aime ton odeur, elle me rappel la maison.
La sécurité de ma maison, sa chaleur, la douceur de Lenno aussi, j’adore quand Erato est toute douce, d’autant que je sais qu’elle elle pourrait ne pas l’être, contrairement a d’autres. -Puisque tu en parles…
J’ai le droit de poser ce genre de question a d’autres gens ? je ne suis plus certaine… -Tu as changé de savon ?
Tant pis. -Ton odeur est différente, c’est léger mais je le sens.
Je m suis redressée pour que ma muse puisse allée s’habillée et ait remis ma veste en place. -Non … normalement … je n’ai pas le droit …
C’est vrai qu’en règle général, ma peau doit être parfaite mais surtout sans marque de bronzage. -Je leur ferais comme à Lenno quand je fais quelque chose qu’il ne veut pas.
Ça marche bien en général sur les hommes … et certaines femmes aussi. -Je te montre ?
Erato est d’accord ! Ça c’est une bonne nouvelle ! -Oui ! on pourra pic niqué là bas, en plus, le soleil finira bien par se coucher, se sera bien de manger a ce moment là, tranquille toute les deux.
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Sujet: Re: Une baignaaaaaaa*baille*de ? Dim 2 Oct - 13:54
Neveu ? Avait-elle dit neveu ? Si c'était le cas, Tara lui emmêlait les pinceaux encore plus qu'elle ne l'aurait songé. En même temps, la situation était plutôt difficile à supporter. Elle ne pouvait décemment pas plaquer la Kitsune sur son lit pour la découvrir mais elle devait supporter de voir la tête de celle-ci si proche de sa féminité. Si elle n'avait pas tant de siècles - ou de millénaires - en bagages, elle aurait eu un mal fou à se contrôler.
En fait, la vraie question qu'elle se posait c'était pourquoi elle se retenait ?
Et la réponse était simple : parce qu'elle aimait beaucoup la belle bleue qui la regardait.
-Je sais bien que tu n'es pas encore habituée aux expressions idiomatiques. Ça me rappelle quelqu'un... Même si lui les comprend, mais il passe son temps à les déformer.
Bon sang, Tara ne l'aidait pas là en mettant sa main ainsi sur elle. Merci à la serviette d'être là. Merci, merci, merci.
-Ne t'en fais pas pour cela, tu es ici chez toi, tu peux venir quand tu veux, d'accord ?
Changer de... Erato inspira à fond pour ne pas rougir, se faisant presque altière du coup. Elle n'allait pas laisser voir son trouble plus que cela et surtout, elle ne laisserait pas la Kitsune deviner d'où venait le souci. Si elle n'avait pas reconnu l'odeur elle-même tant mieux ou tant pis. En fait, cela éviterait juste une longue conversation gênant sur les désirs de la Muse et vu le programme qui suivait, cela valait mieux. Sinon, elle ne verrait pas Tara en maillot de bain. Et cela, pas question.
-Je m'en doutais, répondit-elle en éludant la question de l'odeur.-Je ne vais pas te dire de ne pas le faire, de toute façon, tu as le droit de vivre un peu. Et je pense que tu perdras rapidement le bronzage.
Erato s'était levé souplement après une dernière caresse dans les cheveux de Tara et alla donc enfiler un maillot de bain une pièce coloré - rouge et gris argent - qui cacherait donc son ventre mais qui restait tout de même agréable à regarder. Avant d'enfiler une robe d'été blanche et d'attraper sa brosse tout en mettant des sandales, se retournant vers la Kitsune qui disait quelque chose de curieux. Donc tout en faisant s'occupant de sa chevelure, elle interrogea Tara du regard.
-Eh bien oui, montre moi comment tu les fais craquer ces vilains.
Cela lui ferait une munition contre le frère. L'enthousiasme de la petite la fit sourire aussi. Elle hocha la tête tout en déposant sa brosse pour attacher ses cheveux blonds-blancs avec une pince en forme d'oiseau. Elle vérifia dans le miroir l'image qu'elle donnait, d'accord avec le résultat et alla dans la salle de bains pour revenir avec un sac de plage où elle venait de glisser deux serviettes, un brumisateur et de la crème solaire. Elle rajouta les lunettes de soleil.
-Par contre, il faut y aller préparer. Nous allons rapidement faire des sandwiches. Il doit me rester du poulet froid dans le frigidaire, il va bien servir du coup. Viens.
Avec un sourire en coin, elle se dirigea vers la cuisine avec le sac et se mit au travail tout en demandant.
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Il faut dire que ce monde reste nouveau pour moi, les gens y sont étrange de mon point de vue, ils utilisent toutes sortes de mots sans leur donner un sens bien strictes et j’ai du mal a concevoir qu’ils puissent se comprendre eux même lorsqu’ils parlent comme ça. Tant de sens a une seule phrase … chez moi, on dit blanc pour dire blanc, pas pour parlé de gens, de choses, de couleur, de liquide … c’est perturbant même si je suppose qu’Erato n’en a pas conscience, tout est beaucoup plus facile dans mon monde. - Sans doute m’y ferais-je un jour.
Où je cesserais d’écouter ces parties de phrases, elles sont moins amusantes. -Vraiment ?
C’est cool, je pourrais venir voir Erato quand je veux. -Alors je viendrais te voir plus souvent !
Après les cours ou après les séances, d’ailleurs, il me semble qu’elle doit toujours venir a une de mes séances la jolie Erato non ?
J’ai regardé ma muse qui se levait et ais souris en l’entendant approuver. Si elle eut voir … J’ai ramené mes jambes et me suis assise dessus, baisser mes oreilles de renarde et me suis légèrement penchée en avant en baissant la tête et en croisant les bras sous ma poitrine, puis je lui ai lancé un regard triste et une petite moue avant d’achever ma démonstration d’un :
-Désolé…
Tout juste soufflé.
Puis je me suis levée et étiré en souriant.
-En général ça suffit, même si Lenno n’est pas particulièrement réceptif au gonflement de poitrine...
Par contre quand je baisse les oreilles ça marche tout seul avec lui. J’ai suivit Erato a la cuisine pour l’atelier préparation des sandwichs. J’ai aidé la jolie muse à le faire, faisant une grimace en pensant à l’île.
-S’était nul … j’ai été envoyé sur une île avec une espèce de chien suicidaire, je lui aurais bien arracher la langue … histoire qu’il comprenne la différence entre silence et bavardages inutiles.
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Sujet: Re: Une baignaaaaaaa*baille*de ? Mar 4 Oct - 15:50
Elle ne lui mentirait pas voyons. Et Tara devait bien le savoir vu la joie qu'elle laissa paraître en sachant qu'elle avait réellement le droit de venir chez la Muse autant qu'elle le souhaitait. Celle-ci devrait peut-être même préparer la chambre d'ami maintenant que c'était dit. Bien qu'elle doutait que la Kitsune se permette vraiment de s'installer ici, ne serait-ce qu'à cause de son aîné qui ne verrait sûrement pas d'un bon œil un tel rapprochement.
Même si pouvoir le mettre sous le nez de monsieur-je-fais-le-nudiste-en-pleine-forêt serait tout de même jouissif. Elle n'oubliait pas qu'elle devait ménager ses relations avec le brun sous peine de voir des tensions trop vives apparaître. Elle n'avait toujours pas envie que Tara choisisse entre son frère et elle. Elle perdrait. Revenant à la réalité, elle fut à la fois touchée et profondément amusée par la tête que faisait la jolie bleue.
-En effet, difficile de te résister. Et c'est normal pour le gonflement de poitrine, ton frère n'est pas un animal incestueux. Cependant, tu as une très jolie poitrine, je te rassure.
Pas comme son père. Hum, ne pas penser à cet homme, elle allait s'énerver et Erato ne voulait pas s'énerver alors qu'elle passait un bon moment avec la jeune fille. Qu'elle aurait bien goûté à même son lit... Hum, ne pas repartir non plus sur ce genre de pensées, ça allait mal finir. Déjà qu'elle aurait pu être grillée plus tôt... Elle ne put se retenir tout de même de venir caresser une oreille délicatement.
Puis dans la cuisine, alors que Tara l'aidait, la Muse explosa de rire en l'entendant dire.
-Carrément ? Un chien suicidaire ? Le seul suicidaire que je connaisse ici, c'est Ambroise, le bibliothécaire.
Mettant peu à peu la nourriture dans le panier d'osier, elle réfléchissait. Qui pourrait dire trop de bêtises pour à ce point exaspérée la Kitsune ? Repassant les personnages haut en couleur qu'elle connaissait de l'établissement, son choix s'arrêta sur...
-Attends, tu parles de l'un des frères Ishirama ? L'un comme l'autre, ils ont le don d'énerver tout le monde par des remarques et des gestes malvenus. Même si le roux et cadet, Shintarô devient de plus en plus supportable. A son arrivée, beaucoup l'aurait décapité dès le premier jour.
Le panier prêt, Erato le vérifia pour être sûr, tendit le sac avec les serviettes à Tara ainsi que les paillasses pour s'allonger sur la plage. Elle attrapa le parasol de son côté et avec un sourire, elle invita la Kitsune à la suivre. Tout en se disant qu'elle devait être sage. Très sage. Trop sage. Tout en se disant que voir encore Tara toute mouillée n'allait pas arranger ses songes. Mais elle avait l'air tellement heureuse... Ce que l'on ne faisait pas pour les gens qu'on aime...
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Sujet: Une baignaaaaaaa*baille*de ? 
Mer 21 Sep - 22:13
