Ça faisait maintenant quelques jours que les directeurs d'Esperanza m'avaient contacté. Avant ça, je n'avais jamais entendu parler d'un tel établissement, j'ai été surprit de savoir qu'un tel truc existait. On se serait cru dans un film. Une école de monstre, sérieusement ! Mais pire que de savoir que ça existait, apprendre qu'on me proposait un poste, ça m'a laissé sur le cul. Sérieusement, moi ?! Après m'être fait viré de chez moi parce que je représentais un danger, on me demandait d'aller assurer la sécurité de l'école ?! Mais dans le fond, j'ai été ému. Parce que pour la première fois de ma vie, quelqu'un m'accordait sa confiance, et me laissait ma chance. Après des mois d'errance, on me proposait un toit. Alors j'ai accepté.
Aujourd'hui je dois me rendre sur la presque-île pour la première fois, et commencer mon service demain. Pas problème ! À part peut-être que personne n'a prit le soin de me dire où elle se trouvait ! Ils sont bien malins les mecs, ils me disent de trouver une île qui est pas sur les cartes, que personne connaît, mais surtout, je dois être à l'heure ! C'est en Espagne, démerde-toi ! Sérieusement, ils pouvaient pas me faire passer par leur foutu portail ? Naaaan, c'est trop fatiguant de t'envoyer le lien ! Bref, j'ai traversé la mer, et je me suis trouvé paumé sitôt arrivé au littoral du pays. J'allais pas non plus fouiller tout l'océan ! Au final, c'est un dauphin qui m'a renseigné, et j'ai pu m'en rapprocher. Je la voyais au loin, mais avant que je ne puisse l'atteindre mon estomac criait famine. Ça faisait plusieurs jours que je n'avais pas mangé, et comme j'étais large au niveau du temps, je décida de faire une petite halte dans une ville humaine près de là.
Je sortis donc de l'eau dans un endroit déserté, et me rhabilla avec les vêtement que j'emportais dans mon sac hermétique. Ouais, parce que je vais pas me balader à poil en ville non plus ! Sitôt ma transformation terminée, et mon habillage achevé, je partie d'un pas rapide vers la ville que j'avais aperçue. Je devais trouver quelqu'un sur qui me nourrir, puisque je n'avais pas d'argent pour me payer un repas humain. Je sentais ma tête qui tournait, et bien que ça me fasse pas mal chier, j'essayais de pas me faire remarquer et de trouver quelqu'un à l'écart. Je savais que j'avais plus vraiment la force d'utiliser mes pouvoirs. Et là, ça dérapa. Une bande de mioches s'était mit à se foutre de ma gueule parce que je marchais plus droit, et comme ils se sont mit à me suivre, ça m'a mit hors de moi. Je me suis mit à les traiter de tous les nom en italien, les adultes me regardaient avec des gros yeux choqués, un père qui parlait certainement ma langue s'est énervé, m'a poussé, et faible comme j'étais, j'ai fait trois pas en arrière, et j'ai fini le cul dans une fontaine. Là, je me suis évanouit, et en perdant le contrôle, mes écailles sont apparues.
Quand je me suis réveillé, j'étais dans une cellule. C'est quand même vachement la honte pour un type qui est sensé protéger les autres... ! Je me suis donc affalé contre un mur en attendant que quelqu'un vienne me voir. Je suis pas sûr d'avoir assez de force pour hypnotiser un humain, mais je trouverais bien un moyen de me nourrir et de sortir d'ici.
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Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mar 8 Juil - 0:37
e suis arrivé dans leurs trucs, y doit y avoir une ou deux semaines, en fait j’ai un peu perdu la notion du temps vous allez comprendre pourquoi. J’avais eut du mal à croire que les deux rêveurs n’avait vraiment fait et fut même étonner du résultat, s’était pas mal pour un chat de gouttière et un truc qui se rapproche de l’humain. Peur de rien, sa je leurs ai dit en face ! Du coup je me suis réveiller 3 jours après et je me suis retrouver coucher dans une chambre d’enfer, tout en noir avec pleins de formes sur les murs, presque pas de linière, un coin pour ma Nessa. En la quittant j’ai trouvé d’autres pièces encore plus glauque et dans le salon les deux zigotos qui prenaient le thé genre tout à fait normal voyons.
J’ai hésité un peu mais Nessa est venue s’enrouler autour de ma jambe, elle est remonté le long de mon pantalon, du coup je lui ai donné mon bras pour qu’elle puisse grimper. Puis je suis parti m’asseoir quand ils ont remarqué ma présence, pas a dire le coin ou on a pris le thé était trop cool et j’ai été ravi d’apprendre que sa deviendrais ma maison. Le truc c’est que je suis pas idiot, je viens de l’enfer quand même, je connais les règles du jeu et m’offrir une maison sa veut dire me demander un truc en échange et un truc pas forcement agréable. Quand ils m’ont expliqué en quoi sa consistait je dois l’avouer j’ai juste éclaté de rire en leurs disant que les puces du chat avaient du leurs attaqué le cerveau.
Du coup quand je me suis réveiller avec une migraine 6 jours plus tard, et que j’ai eut droit a un rebelote, avec les deux dans le salon j’ai as trop attendu j’leurs ai dit qu’il fallait arrêter de faire sa, l’air de rien sa en bouffe du temps s’bordel puis a force j’avais le besoin de sentir la peur qui se faisait sentir, traduction j’me faisais chier a mort et dormir c’et naze. Nessa pour sa part avait passé tout le temps où j’avais dormi à se faire chouchouter et la traitresse restait sur les genoux du poilu même quand je suis revenu. Bref, ils m’ont refait leurs ‘proposition’ qui me laissait un léger arrière gout de contrainte et que bien sur je déclinais une fois de plus. Puis ils m’ont rappelé la promesse que j’avais faite et m’on parler d’honneur démoniaque et tout ce bordel… je vis sous les lits et toute ma vie se résume dans un cri alors personnellement leurs honneur ils peuvent se le mettre ou j’pense.
Bon du coup rebelote et on dirait pas comme sa mais arriver au bout, avec une migraine pire qu’après 5 jours de cuite, j’ai fini par dire oui et ses saletés en on profité pour m’envoyé directement chercher un de leurs jouets dans la prison.
J’ai eu carte blanche, sa m’as vachement motivé quand même mais bon, avec la dégaine que j’ai quand je me balade sous forme semi humaine t’imagine même pas la galère pour me faire arrêter. Du coup j’ai décidé d’y aller carrément, après tout la méthode je me fais arrêter est moins amusante que je m’introduis dans une prison. J’ai attendu toute la journée et une fois la nuit tombe j’ai put m’amuser, j’ai pris ma forme la plus sombre et suis passé par les tout petit trous dans les murs pour m’infiltré. Nessa se débrouille toujours pour me rejoindre, mais cette fois je crois qu’elle a pris de l’avance puisqu’elle a trouvé le prisonnier avant moi et c’est planter devant sa cellule à regarder un des gardiens.
Une fois dans la place j’ai du chercher un peu, j’avais vu des espèces d’enceinte donc devait y avoir un coin pour passer des annonces et après un moment, trois placard et deux pièces utilisé pour des jeux pas très catho (ou je me suis un poil attarder pou foutre la trouille a couple) j’ai fini par trouver ! Et puisque par la même occase je suis tombé sur les plombs, s’aurait été dommage de me privé hein.
-Extinction des feux
J’ai mis une musique bien à moi dans leur truc bizarre, puis c’est parti pour le fun ! Je suis parti tranquillement promener dans les couloirs de ce qui devait devenir mon nouveau terrain de jeu et ai fermé toutes les issus des ‘prisons’ qui nous sont réserver. Puis après j’ai jouer un peu avec les gardes, j’ai chercher leurs plus grande peur, ce qui n’étais pas vraiment choquent, c’est qu’ils craignaient le plus ce qu’ils cherchaient a tout pris à enfermé. Du coup sa a pas été bien compliqué, il m’as suffit de créer deux pantins d’ombre d’une forme bien dégeulasse qui s’en prenait directement a eux pour faire faire un tour complet a leurs sang et puis, après faire sortir le même genre de bébête d’un peu partout n’avait pas non plus été trop long.
- C’est le moment de serré les fesses les gars
Donc après que les deux aient quitté temporairement (enfin je crois) ce monde, je suis descendu tranquillou les mains dans les poches en chantonnant les douces paroles de ma chanson. Une fois un bas, je me suis juste assis devant la cellule et j’ai regardé le mec emprisonner en me marrant à moitié.
-C’est plutôt mignon chez toi, j’aime beaucoup la déco mais le personnel est un peu mortel non ?
Il faisait déjà nuit, je commençais à somnoler, et la faim me tiraillait toujours. C'était douloureux, et je savais que si je restais comme ça, j'allais finir par crever. Comme personne semblait se décider à approcher de ma cellule, j'étais bien dans la merde. C'est une fin pourrie quand même. Enfin, j'économisais mes forces en ne bougeant pas, mais je guettais tout de même, au cas où un imprudent qui n'a pas le sens du danger vienne jouer les curieux. J'avais remarqué depuis un petit moment un serpent blanc qui s'était installé en face de ma cellule, immobile, mais j'en avais pas formalisé. En fait, j'y ai pas prêté plus d'attention.
J'en étais donc là, à faire le mort, quand je sentis un changement dans l'atmosphère. Quelque chose approchait. J'attendais sagement de discerner ce que c'était, quand soudain la lumière s’éteignit. Les humains se mirent à paniquer, ce qui me fit rire, mais je ne bougea pas de ma place. Je savais pas qui c'était qui provoquait tout ce bordel, mais ça venait vers moi. En prenant tout son temps, mais ça avançait quand même. Je patientais donc, en écoutant la musique qui sortait des enceintes du bâtiment, et les cris des humains visiblement terrorisés.
Enfin, un homme plutôt sexy, tout de noir vêtu, apparu devant mes barreaux. Il s'assit simplement en face de moi, et commença à se foutre de ma gueule, ce qui me fit en fait plutôt sourire. Je me remis debout, et vins m'appuyer sur les barreaux.
« N'est ce pas ? Tu devrais essayer, tu verras, on s'habitue très vite. »
Je reste planté un moment avant de me rendre compte qu'il n'avait pas l'intention de me faire sortir pour le moment. Probablement qu'il voulait m'emmerder un peu, mais j'ai pas que ça à foutre non plus ! En plus je risque de m'évanouir à tout moment. Alors je ressemble mes dernières forces et enclenche mon pouvoir.
« Tu sais ce que c'est une crise d’hypoglycémie ? C'est vachement désagréable, t'as froid, tu tremble, t'as plus de force, t'es même plus capable de mettre un pied devant l'autre, le pire c'est quand tu t'évanouis, parce que tu te sens faible. Et ma cellule est trop sèche à mon goût, j'aimerais pouvoir retourner à l'eau dès que possible. Merci, trop aimable. »
Pendant que je parlais, je l'avais fait se lever, récupérer la clef sur le mur, et lorsque je l'avais remercié, il me l'avait remit dans la main. Je le relâcha de mon emprise puisque je n'en avais plus besoin, et m'accrocha aux barreaux pour résister au vertige qui m'envahissait. Je me reprit rapidement, et ouvrit la porte pour sortir. Sans plus attendre, je m'avança dans ce foutu bâtiment qui m'avait fait perdre ma journée, et trouva des humains évanouis au sol.
« T'es sérieux ? Tu les as tous foutus hors service ! Tu pouvais pas penser aux autres un peu ?! »
Je me retournais ensuite vers lui, et le détailla un instant de haut en bas, les mains sur les hanches. Je l'attrapa par le col et le tira à moi pour plaquer ma bouche sur la sienne, aspirant un peu de son énergie. Ça ne l'affaiblira pas vraiment de toute façon. Je m'éloigne ensuite d'un pas en léchant mes lèvres. C'est pas assez, j'ai trop faim.
« Tu veux pas me baiser en vitesse ? Ça m'évitera d'avoir à me fatiguer à chercher un mec. »
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Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mar 8 Juil - 2:49
ssayer, c’est vrais, je suis presque sur que je pourrais vivre ici moi, si c’est bien fait c’est sombre lugubre et y a pleins de gens a qui faire peur. En plus y a des coquins dons sa ouvre de grandes possibilités de se coté là mais c’est pas trop mon truc d’être enfermer, je préfère largement qu’on me foutre la paix et pouvoir me balader en toute liberté ou bon me semble. Je l’avais regardé se lever et revenir vers la grille, non mais sérieux, c’est sa qu’on m’a envoyé chercher ? Une rouquine assez masculine mais féminine sur les bords qui se fait chopper par des mecs même pas capable de survivre face a de simples marionnettes ? La prochaine fois qu’on me propose un taf je dis non.
-Nan sa ira, ils n’arriveraient pas a me tenir enfermer moi, j’suis assez grand pour me sortir de ses trucs là tout seul.
Pui là il c’st passer un truc bizarre, je l’ai senti. Sa voix à commencer a résonner dans ma tête et après des jours a pioncer je sais reconnaître une perte de conscience mieux que personne. J’avais beau essayé de garder le contrôle, je sentais peu à peu sa voix qui s’infiltrait dans ma tête et s’était fatiguant de savoir qu’une fois de plus je risquais de me réveiller dans leurs appartement. Je ne sais pas trop ce qui c’est passer après sa mais je me souviens d’avoir murmuré
-Nessa…
Je n’ai pas eut le temps de plus. Cette sensation d’être ailleurs, de planer tout en sachant trop bien ce que j’étais entrain de faire me gonflait au plus haut point. Toi mon coco tu vas te faire tourner façon crêpe et j’ferais en sorte que tout l’enfer te passe dessus. Y en a marre d’être pris pour un jouet là on va changer un peu les règles…quand j’aurais de nouveau le contrôle de moi-même.
En commençant a émerger après qu’il ait fait joujou, j’avais toujours cette impression de flotter, je sentais Nessa qui s’enroulait peu a peu autour de ma jambe et remontais mais je n’arrivait pas vraiment a me remettre les idées en place, le con il m’as foutu le cerveau en vrac.
-Si tu avais a quel point j’m’en branle de l’hypoglycémie
A vrai dire, même quand il m’a embrassé je n’ai pas relevé mais manque de bol pour lui, moins j’ai d’énergie et moins j’ai de facilité à garer ma forme semi humaine. En gros, dès que ses lèvres ont effleuré les miennes et m’ont volé un tout petit peu d’énergie, mes cheveux on reprit leur teinte noire et mes yeux se sont refait d’argent. Nessa serrait toujours plus ma jambe, elle cherchait à le faire réagir et pas a dire sentir une douleur si proche d’une zone que j’aime tout particulièrement sa m’as beaucoup aidé a réaliser ce qui se passait, j’ai tapoté sa tête histoire qu’elle comprenne que j’étais de retour et ai attendu juste un petit peu. Pour info, j’ai pas répondu a son baisé, moi l’homme taré ne m’attire pas mais par contre j’ai profité de la proximité pour le ‘scanner’, j’ai rechercher au fond de lui sa plus grande peur, pendent que je cherchais ma réponse, je sais que es yeux se sont assombri mais je doute que mister je m’aime l’ai remarqué, il n’as pas vraiment l’air de savoir pensé a autre chose qu’a lui.
-Désolé, mon truc a moi, c’est les hommes, les vrais.
Nessa avait quitté ma jambe, elle s’était glisser derrière le monsieur si attaqué a la mer qu’il ne supportait pas l’idée de la voir se dessécher et après s’être enrouler a sa jambe en douceur commençât a serré.
-Mais puisque t’as l’air d’aimer souffrir, ca c’est cadeau.
Avant qu’il n’ait l’occasion de la faire lâcher, elle plantât ses crocs dans sa jambe. C’est vilain, je sais puisqu’une morsure fait l’effet d’une balle mais faut savoir jaugé son adversaire quand on veut donner dans la provoque. Vu l’impacte, sa devais pas faire que du bien mais il ne fallut pas bien longtemps pour que ma Nessa se sauve et qu’une bulle d’ombre prenne place autour de nous.
-choisit bien ton adversaire la prochaine fois.
C’est dans la bulle que je lui offris mon spectacle, la plus grande des craintes de monsieur matérialisée juste dans mon dos, ouai pasque la lumière de la lune c’est super fort quand t’es plonger dans le noir, donc elle est mieux dans mon dos. Enfin, je suis plutôt fier, mon illusion est parfaite… en même temps j’ai eut largement le temps de prendre des forces.
Je n'avais pas relevé sa remarque. Bien sûr que moi aussi je pouvais m'en sortir, en temps normal, en un coup j'aurais explosé leurs grilles. Mais là, j'étais affaiblit. Je trouvais que le mec était quand même super lent à réagir. Il lui avait fallu pas mal de temps à se remettre de mon hypnose, ce qui me fit penser qu'il n'avait pas une très forte volonté. J'ai déjà vu des humains s'en remettre instantanément.
Il dit qu'il s'en foutait de mon hypoglycémie. Ça je le sais, mais je m'en fous, j'avais juste besoin de raconter le premier truc qui me passait par la tête. Je remarquais que le serpent qui me regardait devant ma cellule était maintenant accroché à sa jambe. Donc c'était son animal de compagnie ? Après l'avoir embrassé, j'avais récupéré suffisamment d'énergie pour me tenir debout correctement. Je ne risquais plus de m'évanouir, mais j'étais pas encore au mieux de ma forme. Il refusa ma proposition, mais ça limite, je m'en foutais. Je pouvais me trouver n'importe qui maintenant que j'allais mieux.
Pendant un moment, je n'avais plus prêté attention à l'homme qui m'avait libéré, mais lorsqu'il avait parlé, j'avais sentis que quelque chose avait changé. Et ça me mit sur mes gardes. Je n'avais pas fait attention au serpent qui arriva sur ma jambe et me mordit avant que je n'eus le temps de l'attraper. Un éclair de douleur traversa toute ma jambe, me faisant pousser un gémissement de douleur. Ça n'était pas un serpent ordinaire, j'aurais du m'en douter. Ça fait un mal de chien, presque autant que la fois où je me suis fait transpercé la nageoire par un harpon ! Et ça ne s'arrêta pas là, le mec étant visiblement très rancunier. Le temps que j'arrive à me remettre debout, sans appuyer sur ma jambe blessée, je vis quelque chose m'envelopper, et soudain, je me retrouva ailleurs.
Je vis la mer. Celle où j'ai grandit, au large de la côte où se trouve la villa familiale. L'air est beau et pur, ma Sublime turquoise, magnifique, envoûtante. Elle brille de milles feux. Et soudain, elle se rétracte sous mes yeux, et j'assiste, impuissant, à sa disparition. Ma Magnifique se fait remplacer par une grande étendue de sable aride, sur laquelle se trouvait échoué les animaux marins. Le soleil lourd desséchait la flore aquatique, je voyais lutter les bêtes avec lesquelles j'avais si souvent nagé. J'entendais presque leur appelle au secours pendant que des charognes leur tournaient autour, là-haut dans le ciel, projetant leur ombre malveillante sur eux. J'appréhendais à chaque instant de voir l'un d'eux foncer sur l'un de mes compagnon pour l'achever. J'imaginais déjà leurs cadavres pourrissant au soleil.
Je pris ma tête entre mes mains, les yeux écarquillé sur l'horreur de ce spectacle. Un profond mal-être s'empara de moi, une terreur tellement grande que j'avais envie de m'exploser le crâne plutôt que de laisser ça continuer. Partout où je portais les yeux, tout n'était que désolation et sécheresse. Mort. J'étais paralysé, et ne me rendais même plus compte de la douleur de ma jambe. Ce n'était pas possible. Non, forcément, je savais que c'était une illusion, mais les larmes se mirent à couler le long de mes joues, et la haine grandissait en moi en même temps que la terreur. Ma gorge était tellement serrée que pas un son n'en sortait. Ce type, je le haïssais ! Je me mis à avancer, les bras en avant. Je devais toujours être là, je devais bien pouvoir sortir de cette illusion ! Mais quelque chose me bloquait le passage où que j'aille. J'étais restreint à un petit espace, condamné à regarder ce spectacle, impuissant. Je finis par tomber au sol, ramenant mes genoux contre mon torse. Je ne voulais plus rien voir, j'attendais juste que ça s'arrête, mais mes yeux ne s'arrêtaient pas de pleurer.
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Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mar 8 Juil - 12:14
’est chiant sa, après avoir dodo pendent des jours sans pouvoir jouer un tout petit jeu, j’avais du mal à reprendre, son pas forcement malin les bêtes avec poil et sans poil, comment je suis censé sortir leurs joujou de prison moi si ils m’empêchent de reprendre des forces. C’est la peur qui m’avait toujours apporté de l’énergie pas la sieste, sa c’est chiant on a rien à faire et on s’ennuis mais bon pas grave je passerais la dessus…pour cette fois. Puis franchement je sais pas trop si s’était de l’hypnose ou autre chose mais sa m’avais refais planer son truc et pas dans le bon sens du terme.
Ah les morsures de ma Nessa, à elle toute seule se serpent est un cauchemar, je crois que c’est pour sa que je l’aime, elle est terrible et capricieuse avec sa, une bonne bébête de l’enfer comme on en fait plus. Elle c’est éloigner juste assez pour être hors de porter mais ma douce n’as plus bougé, elle ne craint pas les peurs des autres, c’est l’avantage à l’avoir toujours gardé près de moi quand j’allais jouer, à force elle s’y est faite.
J’avais fini par me tourner après un moment, même si la lumière était gênante, fallait bien que je vois ce qu’il voyait et ce type a une imagination un peu particulière, quand certain on peur de monstres ou de personne en particulier, lui s’était tout un océan qu’il voyait dessécher, enfin quelque part s’était juste la preuve de son altruisme non ? Sa le rendrais presque touchant si des oiseaux étaient pas venu planer au dessus des créatures innocentes. Ca par contre je peux pas, c’est contre toutes les limites que je me suis fixé, c’est pour sa que je fissure la bulle, faire du mal a un animal sans défense c’est pas être un vilain croquemitaine, c’est être un connard de base avec deux neurones qui sont incompatibles.
Sa terreur me recharge, j’ai l’impression de m’éveiller à peine après le jeu des deux pourris, y a pas a dire cette peur ambiante me fais un bien fou, sa me motiverais presque à trouver d’autres jouets et à les faires mourir de peur. La fissure pris quelques secondes avant de faire imploser la bulle et l’illusion disparu en même temps que le spectacle d’horreur. Que même moi je ne supportais pas.
Ma pauvre Nessa, dire qu’elle a du voir sa, sa doit pas lui avoir plu, quoi que, elle vient de l’enfer, si sa se trouve si, en fait je réalise que j’ai peu être cultiver son coté sadique avec le temps, sa pourrait être intéressant a savoir. Mais pour le moment c’est pas le propos, on va laisser à ma pauvre victime le temps de s’en remettre quand même, c’est vrai que pour le coup sa a été violent, même moi je me sens secouer par son truc. Je vais lui chercher un truc à manger, les cuisines sont pas très loin mais bon, en attendent on va faire ce qu’il faut pour s’assuré qu’il remarche au moins jusqu'à la sortie. Ma Nessa ne bouge pas, je crois qu’elle le surveille, ou alors elle a pas envie de faire d’effort, pour ma part je n’ai fait qu’un aller retour dans les lieux lugubre.
Le hic avec sa c’est que si on traine trop ils vont venir relever les gardiens et se rendrons compte qu’on c’est pas tiré puis faudra tout recommencer et franchement j’ai la flemme. Je suis revenu vers lui, je sais pas trop, comment c’est dans sa tête mais j’ai pas grand mal a imaginer. Je lui ai tendu de quoi reprendre des forces, c’est pas vraiment un pardon mais disons que c’est ce qui s’en approche le plus. Je serais presque au maximum là, donc qu’il l’accepte ou pas j’m’en fou au moins c’est fait.
Je me sentais mal. L'illusion s'était dissipée, et je m'étais retrouvé dans la pièce sombre de la prison. Toujours assit par terre, je me sentais vidé. Non, en fait, je me sentais mort à l'intérieur. Une part de moi doutait, et allait même imaginer que ce que j'avais vu était la réalité. Voir la seule chose qui comptait pour moi, mon existence entière, ce que j'ai toujours cherché à protéger, disparaître, mourir, tout en étant impuissant, c'était beaucoup trop. Cette image allait me hanter, je le savais. Je tremblais, mais je gardais mon regard fixé droit devant moi, dans le vide. Je luttais intérieurement. C'est vrai que ça aurait été plus facile d'abandonner, de me laisser abattre, de me rouler en boule en pleurant, mais ce n'était pas mon genre. Je suis trop fier pour ça, et ma colère m'empêchait de me livrer au désespoir. Si quelqu'un s'en prend à ma Sublime, si il essaie de rendre cette illusion réelle, je donnerais volontiers ma vie pour l'arrêter.
Le temps que je me reprenne, l'enfoiré qui m'avait fait ça avait disparut. En me tournant, je m'étais retrouvé face au serpent blanc. Je me foutais de sa morsure, car la douleur s'était déjà dissipée, mais j'avais bien envie de l'écraser, juste par pure vengeance. Je me fous totalement de ce qui peut arriver aux animaux terrestres de toute façon. Je finis par me convaincre que c'était une mauvaise idée, ça aurait probablement blessé le type en noir, mais ça m'aurait apporter d'autres problèmes. Je me vengerais quand j'aurais retrouvé mes forces, et je lui ferais payer à lui directement.
Je m'étais finalement installé contre un mur, tendant les jambes et remettant mes cheveux en place. J'étais toujours perturbé, ça c'est sûr, mais j'étais à nouveau lucide sur ce qui se passait. Le mec aux illusions revint finalement vers moi et me tendit de la bouffe humaine, que je récupéra après lui avoir lancé un regard noir. J'aurais préféré me nourrir d'énergie directement, mais après ce petit choc, je n'étais pas d'humeur à faire le difficile. J’avalai donc en vitesse ce qu'il m'avait rapporté, sans cesser de le surveiller du regard, pour peu qu'il lui prenne l'envie de m'emmerder encore. Le serpent à la limite je m'en foutais. Ça fait mal, mais c'est pas ça qui va m'arrêter, et puis c'est passé tellement vite. Je finis par me remettre debout, droit et digne comme à mon habitude.
« T'es vachement rancunier. Je t'ai pas pompé jusqu'à l'os non plus. »
Je me mis à fouiller la pièce pour retrouver le sac avec lequel j'étais venu, dans lequel se trouvait mes maigres possessions, et surtout mes armes. Je ne possédais rien d'autre que trois tenues, ma lance et mes lames, elles avaient appartenu à mon père. Elles avaient une trop grande valeur à mes yeux. Sitôt retrouvé, je me retournais vers l'autre enfoiré, me faisant la promesse que si jamais il s'approche de l'eau, je ne noierais.
« C'est les directeurs qui t'envoient ? »
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Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mar 8 Juil - 16:45
l s’était simplement installer sur le sol, on aurait dis un gosse traumatisé, pauvre petit bouchon, faut dire qu’il avait du prendre cher quand même. Nessa pour sa par n’avait pas bougé, j’adorais la voir comme sa, elle avait cette façon de se faire passer pour une statue d’un gout étrange auprès des humains qui m’avait toujours fasciné. Cette bête est juste ma meilleure amie, c’est ma famille alors je suis fan de tout ce qu’elle fait même si j’apprécie juste moyennement quand elle me mord, c’est une expérience en plus après tout, s ne fait qu’augmenter ma résistance face à la douleur.
C’est fou ce que sn regard noir quand je lui ai donné de quoi manger m’as plus, je crois que s’il l’avait eut avant de faire le con il n’aurait même pas eut à demander pour que je m’amuse un peu plus avec lui. Il dévora rapidement tout ce que je lui avais ramené, a croire qu’il mourrait de faim, on nourrit peut être pas les prisonniers ici ? Mais parait qu’on les tortures et vu ce que j’ai trouvé dans les deux trois salles par lesquelles je sus passer, je suis pratiquement certain que c’est vrai. D’ailleurs autant le dire hein, ne sachant pas trop sur quoi j’allais tomber j’avais déposé en haut des escaliers quelques jouets, principalement des dagues mais y avait pas que sa, y avait des trucs zarbi dont je ne connaissais pas l’utilité mais que je me ferais un plaisir d’apprendre une fois rentré.
J’avais fais signe a Nessa de remonté, de toute façon on aurait du se tiré juste après qu’il ai manger donc autant qu’elle attende dehors, et étonnamment, cette fois elle avait simplement obéis au lieu de s’enrouler autour de ma jambe, genre j’aurais pas besoin de toi ma douce, merci …
Sa remarque me fit doucement rire tiens, moi rancunier ? Ouai on peut dire sa, je suis pas trop du genre a me laisser faire, la soumission c’est pas mon truc. Par contre, comme un réflexe quand j’avais entendu la suite je n’avais pas pu retenir :
-Pas encore !
Autant rigoler un peu, je lui avais tourné le dos mais ses pas résonnaient dans la pièce, j’étais donc conscient qu’il se déplaçait mais j’en avais pas grand-chose à faire. Une fois ma belle partie, je me retournais croisant les bras sur mon torse en l’observent, il avait l’air de chercher un truc mais tout ce qui était intéressant ici s’était dans une salle ou y avait écris jugement, là y avait des tables des jouets et pleins de truc rigolo.
-Nan …
J’adore quand il me regarde avec tellement de haine, sa m’en donnerais presque des frissons partout. Je m’approche de lui tranquillement, il est dans une cellule c’est un endroit pafait pour ce qui me trotte dans la tête et une fois assez proche, je glisse mes lèvres jusqu'à son oreille et lui murmure :
-C’est le père noël
Avant d’attacher sa main avec l’une des chaînes qui se trouvaient derrière et de bloqué l’autre avec un lien d’ombre, je récupère ce qui semblait avoir de la valeur pour lui et le dépose devant la grille de la cellule en continuant :
-Il m’a dit que t’étais pas sage
Puis après être allé chercher un jouet en haut des marches je reviens tranquillement et reprend une chaine qui pendais derrière lui pour pouvoir l’attacher et disciple mon lien d’ombre. Puis juste le temps de déchire un bout de mon haut pour en faire un semi bâillon et j’enchaine.
-Si tu réessaie ton petit jeu de tout a l’heure, je te bâillonne et je t’abandonne ici
Je l'avais entendu répondre à ma remarque, mais j'avais décidé de ne pas relever. J'avais pas vraiment envie de discuter avec lui de toute façon. Une fois mes affaires récupérées, j'avais hésité à remettre mes lames, mais je m'en suis abstenu, parce que traverser la moitié de la ville en pleine nuit armé, c'est pas très discret. Et ça me ferait vachement chier de perdre encore plus de temps en prison ou à me battre. Mes affaires avaient été déposées dans une autre cellule, que j'avais pu ouvrir avec la même clé que la mienne.
Lorsqu'il m'avait répondu négativement, je n'avais qu'haussé un sourcil. D'où venait-il alors ? Les élèves d'Esperanza ne devaient pas se risquer à ce genre de chose, et je supposais que seuls les gardiens devaient s'en occuper avec l'accord des directeurs. Est ce que a voulait dire qu'il y avait d'autres regroupement de monstres par ici ? Ils venaient spécialement pour délivrer ceux qui étaient capturés ? Il se rapprocha de moi sans que je ne bouge. J'étais presque dos au mur, et de toute façon il bloquait la sortie, ce qui ne m'empêchait pas de surveiller ses moindres gestes. J'avais pas confiance en lui, et si j'avais eu la force, je lui aurais explosé là tête ici-même contre le mur. Mais j'étais encore physiquement trop faible.
Sa dernière précision me troubla un instant, et je ne fus pas assez rapide pour le stopper. L'un de mes poignet se fit encercler d'une épaisse chaîne, et alors que je ramenais l'autre main pour tirer dessus, elle fut stoppé net dans sa course par une chose noire, mais tout aussi solide. Je me mis immédiatement à tirer dessus, et lorsque que je vis le type attraper mon sac, une rage folle s'empare de moi, et je me mets à tirer de plus belle en criant.
« Ne touche pas à ça ! »
Je regrettais. J'aurais du le tuer lorsque j'en avais eu l'occasion. Il disparut dans l'escalier, et j'en profita pour faire tout mon possible pour me libérer. J'avais essayé d'extirper ma main, mais c'était trop serré, et je m'étais mit à tirer, les deux jambes appuyées sur le mur qui s'était légèrement craquelé, mais rien n'y faisait. Je n'avais pas récupéré toute ma force, et ces prisons étaient fait justement pour contenir notre puissance. Ma rage violente se transforma en une glaciale. Je repensais à ce qu'il avait dit. Au départ, je pensais qu'il se foutait de ma gueule, mais lorsqu'il parla de père noël et d'être sage, ça fit 'tilt' dans ma tête. Y avait une histoire qu'on racontait aux petits quand ils étaient pas sages. Un truc du genre qu'un monstre viendra leur faire peur, et les manger. Là, je fis aussi le rapport avec les illusions. Il avait un nom ridicule, c'était quoi déjà ? Il me fallut un instant de plus pour me rappeler : un croquemitaine ! Ouais, mais ça m'avance à rien de savoir sa race.
Il revient ensuite, et s'amuse à remplacer la chaîne noire par une bien réelle et bien humaine. Mon autre poignet était en sang d'avoir trop tiré dessus, mais je m'en foutais. J'avais la haine, et c'était pas prêt de se calmer. Il vient ensuite pour me bâillonner en me disant que je n'avais pas intérêt à l'hypnotiser. Oh non, il n'avait pas à s'inquiéter pour ça, ça risquerait de gâcher mon plaisir quand je l'exploserais ! Je ne le quitte pas du regard, tremblant de colère. Une fois qu'il eut finit de me bâillonner, alors que j'avais eu bien du mal à me retenir de le mordre, j'avais finalement envoyé mon pied rencontrer sa figure. Par pure courtoisie bien sûr.
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mer 9 Juil - 15:31
aut pas se plaindre de se retrouver attacher ou emprisonner quand on est pas capable d’évité une action grosse comme une maison. Nan mais franchement l’attacher avait été aussi simple que m’introduire dans la prison, il aurait put se défendre un minimum après m’avoir volé de l’énergie un peu plus tôt. D’ailleurs, je me demande un peu se qu’il est, c’est vrai que peu de personnes peuvent faire ce qu’il a fait, les incubes ? Il est mignon et semble agir par contact sans quoi il m’aurait tué d’un regard mais s’il avait été un incube il se serait servit de leurs ondes bizarre pour me donner envie au lieu de me le demander.
Je connais pas énormément de race qui se nourrissent d’énergie comme sa. Les vampires mordes les sorciers peuvent la transféré… reste les poiscailles, sa expliquerais aussi la peur de voir l’océan se perdre. J’étais un peu occupé a réfléchir quand il s’était mis a briller que je devais pas toucher ses affaires, capricieux avec sa, je viens le sortir de sa merde et le voilà qui braille pour un oui ou pour un non.
-Ça va pète un coup, si j’avais voulu cassé tes jouets se serais déjà fait
Je sais ce qu’il est ! Un sac isotherme, c’est forcement un poiscaille, c’est les seuls qui peuvent vraiment en avoir besoin de tout ce que je connais et qui aspire l’énergie vitale. Ou alors c’est une race que je connais pas, après tout j’en ai pas rencontré des milliers des monstres, des centaines tout au plus.
En revenant je le voyais se débattre comme un petit animal piégé et sa me plais, j’aime cette sensation, cette haine mêler à la peur que je puisse vraiment faire une connerie du genre brisé ses jouets. Avec toutes ses bêtises voilà qu’il c’est ouvert le poigné, non mais a-t’on idée d’être aussi nunuche, franchement est ce que moi je m’amuse a e blesser, non ! Alors…
Le bâillon s’était temporaire bien sur, j’avais juste pas envie d’être hypnotisé pendent que je faisais ce que j’avais a faire. On avait encore un peu d temps avant la relève et puis même après, le temps qu’ils entre et qu’ils arrivent a rallumer les lumières ou une connerie du genre ils se seront fait prendre a la gorge par ma jolie Nessa, puisqu’on m’a donné carte blanche autant que j’en profite. J’aime se regard, je sais je l’ai déjà dit mais je m’en fou j’adore, il est tellement plaisant et voir, presque autant que les tremblements que je perçois, il boue déjà au point de ne pas pouvoir s’empêcher de bouger ?
J’avais vu venir un coup, surtout en étant si près mais j’avoue que je savais pas trop d’où il viendrais donc le coup de pieds dans la tronche bin j’ai pas trop put l’esquiver et me sui retrouver par terre une lèvre fendue.
-C’est pas très malin sa
J’ai pris le temps de me relever, après avoir nettoyé mon pantalon, je suis retourné tranquillement vers lui et sans la moindre colère mais avec un grand sourire sur le visage et toute la force disponible, je lui ai collé un revers.
-T’es vraiment con, p’tit poisson roux
Puis j’ai essuyé ma lève du sang qui la souillait et ai attrapé son beau visage d’une main le forcent à me regarder, tss et dire que j’aime quand sa se débats, dommage, en temps normal j’aurais put te tuer.
-Je devrais te laisser pourrir là, mais Nessa bouderais
J’ai fini par lâcher son visage et prendre le poigné qu’il s’était abimer le rapportant a mon visage sans réelle crainte, on est toujours dans e noir, et je suis toujours avec mes pleins pouvoirs. Sans compter que mon énergie est quasi intacte, ce qui n’est pas son cas. Je trouve cette blessure délicieuse, c’est une petite marque souvenir de sa rencontre avec la peur, j’aimerais qu’elle reste ancré a sa peau mais c’est bien trop superficiel pour sa, dommage. Enfin, sa m’empêche pas de passer doucement ma langue sur la blessure fraichement ouverte, le plaisir de l’avoir fait saigné, celui de m’approprier son sang ou juste le voir souffrir un peu plus, de toute façon pas besoin d’expliqué mon geste, c’est comme sa.
-Retiens toi ma grande, si tu me vide de mon énergie, on va se retrouver tout les deux bloqué ici et Nessa te tueras.
Je détache finalement son bâillon en faisant attention de ne pas me faire grignoter et soupire avant de venir lui offrir un bisé, le même qu’un peu plus tôt. Je sais pas trop comment fonctionne son pouvoir donc pour le moment je tâte le terrain après je joue, quand l’adversaire est au niveau.
J'avoue que sentir mon pied percuter à toute vitesse son visage m'avait fait un bien fou. Bien sûr, c'était loin de suffire pour me calmer, et ça n'arrangeait en rien ma situation, mais ça avait été si plaisant de le voir voler plus loin que j'en avais presque la trique. Surtout lorsque j'avais vu le sang couler sur son visage. Si j'avais eu toute ma force, il resterait plus rien de son joli minois. Il se relève en précisant que ce n'était pas malin comme action, mais je l'ignore me contentant de le regarder s'épousseter.
Il est revenu vers moi et m'en a collé une. Ma tête s'est tourné sur le choc, mais en fait j'avais presque envie de rire, c'était plutôt faible tout ça. Il m'insulta, et je fus assez surprit de connaître mon surnom. Ainsi donc, il savait ce que j'étais. On serait presque à égalité, si j'avais su son point faible. Le mien en revanche, n'est pas bien difficile à deviner en connaissant ma race, et ça m'agaçait.
Il attrape mon visage pour me faire le regarder en face. Si je n'avais pas eu le bâillon, je lui aurais bien craché dessus. Me laisser pourrir ? Avec tout le mal qu'il s'était donné pour venir me chercher, ce serait dommage. Nessa, je supposait que c'était le serpent, et je me doutais qu'il y tenait beaucoup. Si je le vois rôder près de la mer un jour, je le noierais. Il attrapa ensuite mon poignet blessé et le porta à son visage. La chaîne se tendit, m'empêchant de le frapper malgré mon envie insupportable de le faire. Sa langue se met à passer sur ma blessure, me faisant froncer un peu plus les sourcils. Dans le fond, ce genre de gestes ne me dérange pas, mais le fait que ça soit lui me dégoûte. J'essaie de griffer son visage, mais mes ongles ne font que frôler sa joue, ajoutant un peu plus à ma frustration.
Puis, lorsqu'il me parle de me retenir et qu'il détache mon bâillon, je me contente de le regarder avec appréhension, jusqu'à ce qu'il vienne de lui-même déposer sa bouche sur la mienne. Sérieusement ?! Quel intérêt après tout le scandale qu'il m'a fait ?! Ce geste ne fait que raviver ma colère, et je me mets à aspirer son énergie autant que c'est possible à travers un simple baiser. C'est à dire pas tant que ça au final. Je prends aussi un malin plaisir à triturer sa blessure pour le refaire saigner. Le goût de son sang ne m'apaise pas, mais ça m'amuse assez. Je finis par reculer la tête alors que l'énergie ne vient plus, le rapport n'étant pas assez approfondit pour que je le pompe plus. Je fais la grimace en crachant un peu de son sang que j'avais dans la bouche par terre.
« T'as un sale goût »
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mer 9 Juil - 20:11
rop mignon, Juste adorable cette mimique quand ma langue est venu chercher son sang. La chaîne était bien trop tendue pour qu’il me frappe et dans mon élément j’ai bien assez de force pour l’empêcher de le faire, surtout sachant que cette forme est ma véritable forme et qu’avec elle j’ai pleins pouvoir sur mes dons et ma force. Même s’il faut l’avouer il cogne dur le con, Il semble essayé de se défendre en me griffent comme une gamine mais n’as aucun effet, il ne me frôle à peine la joue et cette sensation est plutôt plaisante sur mon visage.
Je meurs pas non plus d’envi de l’embrasser mais constate qu’il ne met pas longtemps à prendre l’énergie que je lui prête. Je sais que ma force vitale m’échappe mais c’est tellement fin que sa n’est pas gênant et puis, on dit que je suis une créature rare, je suppose que sa doit aussi être vrai pour mon énergie qu’il goute alors autant qu’il en profite, aussi rare et précieuse qu’unique.
J’ai été obligé d’attendre qu’il ait fini mais au moins j’ai put penser à autre chose, genre la musique. Quand je sens qu’il s’amuse de ce qu’il m’as fait je peu pas m’en empêcher et mord sa lèvres sans la moindre douceur, juste histoire de lui rappeler que je ne suis pas quelqu’un de gentil mais le voir se battre comme sa me donne trop envie de le soumettre. De rappeler sa place au petit poisson, il n’as presque rien pris enfin c’est mon impression, faut dire que tant qu’il n’y aura qu’une faible lumière, la perte sera largement compensées, e suis né des ténèbres et être en elle me rend mon énergie à une vitesse sans égale.
Mon sang par contre c’est autre chose, il ne revient pas si vite lui alors voir l’autre con le cracher sur le sol me donne juste plus envie encore de lui tapé dessus et sa deviens difficile de se retenir. Mais je prends sur moi, cette fois ce il a été un peu trop loin et sa me décide à jouer, j’ai cru sentir un petit truc intéressent pendent le baiser un petit truc que je vis m’empresser de vérifier bien sur.
-C’est marrant sa, …
Je collais son corps entre le mur et le miens, venant glisser une de mes jambes entre les siennes pour l’éviter un nouveau coup.
-… Tu peux pas me voir, mon sang te dégoute et tu dis que j’ai mauvais goût …
Portant directement la main à la toute petite bosse que j’avais perçue sous son pantalon, j’allais directement murmurer à son oreille amusé de retrouver ce que j’avais bel et bien cru sentir en coup de vent plus tôt.
-Et pourtant t’es quand même excité et tu l’as été tout le temps du baisé donc pas seulement par le coup que tu m’as donné.
C’est le moment de jouer, et je suis le premier a m’amuser a ses jeux là, un lien d’ombre viens attraper ses mains après quelques secondes pour les ramener au mur et y réduire la liberté que lui offre les chaînes. Pendent se temps moi je m’amuse à glisser ma main dans son pantalon et à caresser cette part de lui qui semble tellement le chatouiller sans pour autant me taire se serais trop facile.
- Décidément, t’es pas très grand voyons si on peut arranger sa.
Lui avais je susurré en passant de sur a sous ses dessous pour poursuivre le jeu.
En réalité, j'avais menti. Son sang avait un goût totalement normal, je suis pas spécialiste à ce niveau, quant à son énergie, elle était plus raffinée que celle d'un humain basique, donc c'était plutôt agréable de m'en délecter. Mais je préfère encore crever que de le reconnaître ! Apparemment, il a pas apprécié que je joue avec sa blessure, puisqu'il m'a mordu plutôt brutalement. À vrai dire, je ne m'y étais pas vraiment attendu, donc j'avais eu du mal à retenir une gémissement alors que le goût de mon sang emplissait ma bouche. Qu'il abîme mon corps, passe encore, mais mon visage, j'apprécie pas !
J'avais remarqué à quel point ça l'avait énervé que je crache son sang. Et ça m'avait fait jubiler intérieurement. J'avais peut être pas vraiment conscience de la merde dans laquelle je m'enfonçais, mais j'avais envie de l'emmerder encore et encore. Je pouvais pas le supporter, et le moindre petit détail qui le contrariait me faisait plaisir. Je m'attendais à ce qu'il me frappe à nouveau, ce que j'attendais avec une certaine impatience, mais au lieu de ça, il m'annonça qu'il avait trouvé quelque chose de 'marrant' et ça me coupa dans mon élan.
Il se rapprocha de moi, agrandissant mon dégoût, jusqu'à ce que nos corps soient en contact. Sa jambe était entre les miennes, certainement pour m'intimider pour que je ne le frappe pas. En fait, il aurait fallu d'un geste bien calculé, et je lui aurais déboîté le genou. Seulement, il restait ce lien qui me tenait le poignet, et je ne pensais pas pouvoir l'arracher celui-là. Sa main se porta finalement à mon entre-jambe, me faisant légèrement sursauter. C'était donc de 'ça' qu'il voulait parler ! Je me mis à ricaner en entendant sa déduction.
« Te prends pas au sérieux. Te faire saigner, t'emmerder, manger, tout ça ça me fait bander ! Tu t'emballe vachement pour une demi-molle. »
Deux liens noirs virent tirer mes poignets en arrière, les bloquant contre le mur. Bien sûr, ça me contrariait, parce qui s'il ne l'avait pas fait, je me serais fait un plaisir de lui crever les yeux. Je sens sa main glisser dans mon pantalon et commencer à me caresser, mais je bronche pas, même si ça me foutais légèrement la gerbe. J'étais vraiment pas d'humeur à ça, et je crois bien que j'aurais pas pu me satisfaire autrement qu'en lui tapant dessus.
Il fit un commentaire que j’ignorai en le regardant froidement, alors qu'il m'empoignait maintenant. J'avais bien envie de lui mettre un coup de tête. Non, en fait, j'aurais pu le faire sans problème, et ça m'aurait bien fait rire, mais je le laissais faire, parce que s'il continue son petit jeu, et qu'il va un peu plus loin, je pourrais le pomper totalement. Je ne peux cependant pas m'empêcher de le provoquer.
« Ça va, tu t'amuse bien ? Si tu veux je t'aide avec la tienne. »
J'avais pas l'intention de le faire, mais c'était juste une petite pique pour l'emmerder.
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mer 9 Juil - 22:06
e prendre au sérieux ? Euh, bin je suis libre de mes mouvements, en position de force et moi je suis entré ici uniquement parce que j’en ai eu envie. Toi t’as été emmené ici par des humains tu t’es presque mis a pleuré parce que j’ai répondu a ton attaque et t’es attacher a un mur a ma merci voir a celle du premier humain qui va passer, si le cœur m’en dit pas. Par contre la demie molle me fais bien marré personnellement, j’y peu rien moi si t’es pas capable d’être un homme ne serais ce que quelques minutes, ils doivent s’être planté à la naissance si tu peu pas t’en servir.
Enfin sa m’empêche pas de continuer le travail, j’aime pas trop l’idée de te toucher mais j’adore celle que j’ai en tête, du coup sa contre balance un peu le dégout. Puis j’irais me laver les mains et sa passera. Son regard noir poser sur moi était un pure délice, j’aime quand tu déteste alors imagine a quel point je jubile là, te savoir complètement offert sans possibilité de faire autrement que comme sa de toute façon, sa me donnerais presque envie de jouer mas pas trop vite, chaque chose en son temps et le tiens n’est pas venu même si je sens que sa commence à prendre forme sous mes doigts, faut dire que je m’applique et que je sais y faire, c’est fou ce qu’on apprend en visitent des chambres différentes tous les soirs.
La dernière provocation me fait juste lever les yeux au ciel et secouer légèrement la tête. Puis je récupère de ma seconde main une lame que j’avais prise en haut de l’escalier et viens tranquillement découper son haut avec. Maintenant que tu commence à réagir, je vais pouvoir te pousser mon grand et je suis très, très douer a se jeu, je suis une allumeuse hors paire.
Une fois complètement découper et en ayant bien sur totalement ignoré tout ce qui venait de sa bouche, j’avais remis la dague dans ma poche temporairement bien sur et j’étais passé a une occupation un peu plus intéressante venant titiller son torse en même temps que sa virilité, morsure mordillement, léchouille baisé volage, tout y passait t surtout tout était bon pour l’embrasé un peu plus que je ne le savais déjà. Et puis, reprennent la dague, je l’avais doucement passé sur lui faisant couler son sang pour venir le chercher d’une longue caresse de ma langue sur lui avant de le cracher, petite vengeance pour laquelle je me fiit un devoir de lui faire un clin d’œil. Puis revenant de nouveau a ma torture, je parti jouer avec un de ses téton recommencent le même schéma que pour tout le reste de son torse et ceux jusqu'à le sentir complètement prêt a jouet et m’arrêter brusquement.
-En fait t’as raison, c’est pas marrant les demie molle
C’est totalement sur de mon effet, que je suis parti vers le lit un peu plus loi. J’ai retiré ma veste et l’ai déposé sur le lit pour ne pas toucher se truc autant que pour continuer de l’exciter et c’est tout en sensualité que j’ai retiré mon haut m’en faisant un coussin avant de m’allonger dans une position aguicheuse et de jouer avec ma dague.
Il n'avais répondu à aucune de mes provocations, et je dois avouer que j'en étais un peu déçu. C'était beaucoup moins amusant comme ça. Voir même carrément ennuyeux. Faut dire qu'y a plus intéressant que de se faire astiquer le manche par un type qu'on peut pas blairer. Il avait l'air de bien se marrer. Super, un sur deux ! Je le laisse faire joujou comme il veut, essayant de ne pas trop m'en préoccuper. J'espère surtout qu'il va se lasser vite, j'ai pas que ça à foutre non plus, et c'est pas comme si j'étais dans la position la plus confortable au monde. Évidemment, ma tête et mon corps sont légèrement en désaccord, mais je ne m'alarme pas. Bien que je commence légèrement à durcir, j'ai toujours les idées claires. Je le laisse faire comme il veut, et sitôt qu'il essayera de m'embrasser ou de me pénétrer d'une quelconque façon, je le pompe jusqu'à la moelle !
Pourtant mes plans furent déstabilisés lorsque je le vis sortir un couteau, et j'avoue que pendant un instant, j'eus vraiment peur qu'il me poignarde. Pourtant il se contenta simplement de découper mon haut. Je le regardais faire avec les yeux écarquillés, et me mis à le traiter de tous les noms en italien. Sérieusement ! J'ai presque pas de fringues, est-ce qu'il a la moindre idée d'à quel point je me suis fait chier à les conserver beaux en bonne état durant toute mon errance ?! J'étais de nouveau dans une colère noire, mais je n'osais pas trop bouger, de peur de me blesser sur la lame. Ça aurait con, quand même.
La dague disparut dans une de ses poches, et lui, sur mon torse. J'avoue que maintenant que je voyais plus sa sale tronche, je m'énervais un peu moins. Je restais tout de même crispé, alors que je sentais sa bouche et sa langue s'acharner sur moi. Je pouvais toujours mentir en disant que je n'aimais pas, ma réaction commençait à se faire sentir. Il était plutôt doué l'air de rien. Maintenant que je ne voyais plus son visage, je commençais à m'échauffer, et il ne pouvait que le remarquer étant donné qu'il avait la main dessus. Un éclair de douleur passa sur mon torse, et il me fallu un instant pour me rendre compte qu'il m'avait coupé, mais ce qui m'étonna vraiment, c'était mon amusement en le voyant cracher mon sang comme je l'avais fait avec le sien. Pourquoi ça m'amusait ? Aucune idée. La blessure était tellement légère que je ne la sentais pas vraiment, et c'est vrai que ce genre de chose pouvait m'allumer suivant le partenaire. Mais là, je supposais que c'était plutôt le fait de remarquer à quel point mon geste l'avait contrarié pour qu'il me le fasse subir.
Il repartit ensuite sur mon torse, et étonnamment, je me détendis. Je finis même par fermer les yeux et apprécier le traitement. En silence, parce que ça me tuerait de faire du bruit, mais oui, j'y prenais quand même un peu de plaisir. Mais il s'arrêta brusquement, me faisant rouvrir les yeux, et après une phrase stupide, il s'éloigna de moi. Pendant une fraction de seconde, je fus soulagé qu'il mette de la distance entre nous. Mais ça, c'était juste le temps que mon corps me rappelle à l'ordre en me signalant qu'il était pas d'accord. Ouais, j'étais frustré. Mais je n'ai rien dis.
Il partit s'installer sur un lit, juste en face de moi, et retira sa veste, puis son haut. Je ne le quittais pas des yeux, autant pour le surveiller, que parce qu'instinctivement, bah, j'avais envie. Avec la pose qu'il prit, je compris très bien qu'il me cherchait, mais je ne montrais rien. Ou tout du moins, je m'y appliquais. Je le regardais jouer avec une dague, et au fond de moi, j'avais peur qu'il me l'envoie dessus, mais il ne semblait pas en avoir l'intention. Je trouvais ça un peu stupide de me laisser en plan comme ça, parce que même si son torse était très agréable à regarder, ça suffirait pas, et mon excitation allait pas tarder à retomber. Alors je patientais sagement sans rien dire, profitant simplement du spectacle.
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Mer 9 Juil - 23:48
iens, de l’italien, c’est donc de là qu’il vient en fait sa n’as rien de vraiment étonnant mais sa m’amuse de savoir que le simple fait de découpé son t-shirt peu le rendre si fâcher. Si j’avais su je l’aurais fait plutôt puisque sa colère m’excite a un point inimaginable et m’évite d’avoir des haut le cœur en le sentent prendre en fermeté. Bizarrement, la tension présente dans tous son corps semblât s’être apaiser après que j’ai craché son sang se qui devrais m’arranger mais m’embête un peu, sa deviens moins marrant d’un coup si il aime simplement sa mais bon, je vais y arriver j’ai confiance en moi.
Par contre, il est assez doué pour se retenir, je n’ai pas entendu le moindre gémissement pourtant j’étais certain de l’effet que je lui faisais puisque je pouvais le sentir prendre forme sous mes doigts, tout son corps m’appelais je suis même presque sur que sa tête refusait ce que tout le reste hurlais et qu’au final elle s’était rendu prête à être complètement envahie mais rien, il se retenait de gémir, ce qui doit être aussi difficile que frustrant je suppose.
Enfin bon, le savoir complètement frustré et abandonner tout seul quand la chaleur dans l bas ventre commence a se faire violente s’était juste un stimulent parfait. Je savais qu’il ne me quittait pas des yeux et comptais bien en profité, d’abord en prenant place, puis en voyant qu’il se pensait sorti d’affaire je e put m’empêcher de sourire et de poser ma dague tout près de moi en m’allongeant sur le dos.
Je soupirais puis me décidait a en remettre une couche puisque la première n’avait pas suffit et doucement toujours emprunt de sensualité glissait la main dans mon propre pantalon jouant tout seul en douceur. Sachant qu’il avait put gouter à mon doitée je suppose qu’il s’imaginait facilement a ma place, a un détail près, les yeux fermé, je ne retenais pas le moindre bruit, tout sons qui souhaitais s’échapper de ma gore le pouvais et j’exagérais très largement le plaisir d’un simple jeu sachant trop bien ce que sa lui ferais. Qui connaît le principe d’un porno ?
Voilà, juste pour le petit poisson roux un porno en directe, juste de quoi m’assuré qu’il ne laisserais pas la pression redescendre au contraire moi je voulais qu’elle monte encore sans personne pour l’aider, qu’il se sente lui-même a quel point il pouvait être dur et pour sa, je n’hésitais même pas a faire en sorte que ses vêtements du bas descendent sur ses jambes, des liens d’ombres suffiraient a le mettre partiellement a nu et a révélé l’effet de mon petit jeu qui d’ailleurs commençait vraiment a m’amuser.
Il avait eu l'air un peu contrarié. Peut être que je ne faisais pas tout comme il l'aurait voulu, peut être que ça le faisait chier lui aussi finalement. Et bien, tant mieux ! Arrêtons nous là ! Je suis sûr que nous pouvons trouver des activités beaucoup plus intéressante....très loin l'un de l'autre. Sitôt cette prison quittée, je ne veux plus rien avoir à faire avec ce type ! Maintenant qu'il était loin de moi, mon corps commençait déjà à se calmer, et je n'aurais pas à attendre très longtemps avant que ma trique ne retombe. Après tout, il n'y avait que mon corps qui avait envie, une envie forcé, et puisqu'il ne semblait plus vouloir s'en occuper, et bien j'allais pouvoir me calmer.
Du moins, c'était ce que je pensais jusqu'à ce qu'il s'allonge totalement sur le dos. Au départ, j'ai cru qu'il allait s'endormir, et ça me faisait chier parce que d'ici peu de temps j'allais commencer à avoir des crampes aux bras et aux jambes. Puis, je remarqua sa main glisser dans ses vêtements restant, et je fus prit d'une bouffée de chaleur. Je m'en voulais de réagir comme ça bien sûr, mais c'était une réaction totalement naturelle après tout !
Je le regardais donc s'amuser tout seul, et bien malgré moi, c'est vrai que ça me rappelait les gestes qu'il avait eu avec moi. Mon excitation remonta rapidement. Bien vite suivit d'autre chose d'ailleurs. Et lorsque je l'entendis se mettre à gémir, ça me fit frémir. Oui, il fallait bien avouer que ce spectacle était beaucoup plus plaisant. Irrésistible même. Et cette fois, oui, j'avais clairement envie. Ça me foutait la rage, mais j'avais envie.
Inconsciemment, je m'étais crispé, et ma langue était venue se promener sur le coin de mes lèvres. J'étais attentif, ne perdant pas une miette de ce spectacle, alors qu'une petite voix me criait encore de détourner les yeux. Ma fierté. Sauf que j'ai tendance à ne pas l'écouter dans ce genre de moment. J'étais presque jaloux de sa liberté de mouvement. J'étais frustré. Je sursauta soudain en sentant quelque chose sur mes jambes, et en baissant les yeux je découvris des ombres, semblables à celles qui me retenaient, en train de me déshabiller. Je me débattis un moment, essayant de les en empêcher, mais rien y fit, et je me retrouva avec mes vêtements à mi-cuisse.
Je relevais ensuite les yeux vers le type en noir, pour remarquer qu'il me regardait. Ce qui ne me surprit pas, puisqu'il faisait tout ça pour m'emmerder. C'était juste une mise en scène. Mais une putain de mise en scène qui me foutait une trique d'enfer ! Mon corps tremblait légèrement, et je ne pouvais plus détourner le regard de ce qu'il faisait. J'avais une putain d'envie de me faire culbuter violemment ! Tellement que je m'en foutais presque que ça soit par lui ! Il s'attendait sans doute à ce que je dise quelque chose, mais je m'obstinais à me la fermer, même si ce que je voulais était clairement évident.
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Jeu 10 Juil - 1:47
h le plaisir de le savoir sur le point d’imploser, s’était d’une douceur sans égale et même les caresses qui touchaient à peine à ma zone d’amusement n’atteignaient pas se niveau, a lui tout seul il était tellement plus excitant que tout ce que je pouvais faire. Savoir qu’il doit être entrain de se battre contre ses pulsions animales sans même en avoir la plus petite raison, c’est vrais se serais tellement plus simple pour tout le monde s’il se laissait juste faire. Enfin tu me diras la chanson dont j’ai besoin devrais pas trop tarder à arriver, j’agirais a se moment là.
Je profite qu’elle ne soit pas encore la pour bien retenir ses traits et voir sa zone en dessous du pantalon, j’en aurais besoin pour ce que j’ai prévu juste après, bien sur je le fais sans tourner la tête, juste du coin de l’œil alors que mon visage exprime un plaisir largement feint. Je ne me dérangeais pas pour poursuivre les gémissements mais fini par stopper temporairement mon jeu me levant de mon ‘lit’ pour aller devant les barreaux qui furent rapidement couvert d’ombre.
-Mon jeu …
J’étais face à lui un sourire aux lèvres alors que le mur derrière moi s’apprêtait à me servir d’écran de projection.
-Mes règles…
C’est parti, ma chanson commençait déjà à se faire entendre alors que je fermais les yeux et qu’une image apparaissait sur l’écran. S’étais lui, nu, en entier, il allait pouvoir découvrir que j’ai énormément d’imagination. Pendent le moment relativement calme de la musique, son reflet se cachait juste alors que le mien finissait de s’approcher se plaçant juste derrière moi et m’imitant alors que je me lançais dans un striptease digne d’un professionnel, tout en sensualité et en sexytude. A un détail près, mon double lui gardait les yeux ouverts et fixé sur lui-même si je pouvais pas voir à travers ses yeux, je me doute que le spectacle devait en valoir la peine.
-Va falloir délier tes lèvres
Mon double allait jouer directement avec son reflet se frottent a lui avec sensualité alors que j’avais disparu dans les ombres et la période plus agit de la musique lui démontrât a quel point je pouvais avoir l’imagination fertile dans un nombre incalculable de nos double qui se mirent a apparaître dans des dizaines de positions différentes avant de disparaître dès que le moment de calme fut revenu. Je me glissais a ses coté en tenue d’Adam et vint murmurer a son oreille :
-Toujours pas ?
Même s’il avait été décidé a se moment là j’avoue que sa m’amusait bien trop pour que j’arrête, du coup je n’ai pas attendu sa réponse et suis reparti. J’aime mon corps réel et surtout la souplesse qu’il m’offre alors danser de manière aussi sexy que provocante n’as rien de bien compliqué sur cette musique et la torture des images revint faire son apparition dans toutes ses actions perçues tant de fois dans les chambres que j’avais put visité.
Je faisais de mon mieux pour paraître le plus impassible possible, même si je savais que je n'étais pas crédible. En même temps, qui est-ce que je pourrais duper avec le pantalon au milieux des jambes ?! Ma gorge néanmoins restait serrée, et pas un son n'en sortait. En même temps, j'étais loin d'être un débutant, et j'allais pas me mettre à gémir seulement en regardant un mec se branler, soyons logique ! En revanche, si j'avais eu une main libre, j'aurais été ravi de me prendre au jeu moi aussi !
Il se leva finalement et se rapprocha de moi. Ma tête était un peu trop embrouillée par l'envie pour que je ne méfie tout de suite, mais lorsque je vis l'écran se placer devant moi, je sentis un frisson glacé me parcourir le dos. J'avais très peur qu'il me montre encore ces horribles images, ça aurait été totalement tordu dans un moment pareil. Il m'annonça, en gros, que c'était lui qui dictait les règles, alors qu'une chanson qu'il semblait tout particulièrement affectionner commençait. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me retrouva face à...moi. À poil, précisons-le. Et l'air de rien, je fus prit d'une nouvelle bouffée de chaleur. Ouais, j'aime me regarder. Je suis mon fantasme numéro 1. Son double ensuite apparut, et les deux se mirent à se déshabiller en rythme avec la musique, le double me regardant fixement. Mon corps prenait feu sous ce regard, je commençais à avoir chaud.
Il me demandait de me lâcher, de faire du bruit, mais je m'obstinais, je serrais les dents. Je ne voulais pas lui offrir satisfaction...et dans le fond, je ne voulais pas que le spectacle se termine. Je ne voulais pas délier mes lèvres, non, mais je voulais bien qu'il vienne les occuper, en revanche. Je vis mon double et le sien commencer à jouer ensemble, faire tout ce dont je mourrais d'envie à ce moment précis. L'original par contre, je l'avais perdu de vue, bien trop concentré sur le ballet que les deux autres m'offraient. Et puis d'autre doubles apparurent, encore et encore. Partout où je regardais, il y en avais, tous dans des positions différentes. Et là, je dois reconnaître que j'avais de quoi devenir fou. Me voir me faire prendre de tellement de façon différentes, sans pouvoir le vivre en vrai, c'était insupportable ! Ils disparurent finalement aussi soudainement qu'ils étaient apparus, me laissant sur ma faim.
L'original apparut juste à côté de moi, et vint murmurer à mon oreille. Son souffle me fit frissonner, et je dus faire un grand effort pour ne pas émettre le moindre son. Je me contentais donc de déglutir bruyamment. Ce frôlement ne me suffisait pas, loin de là ! Je voulais qu'il vienne me toucher, plus encore que tout à l'heure. Je voulais qu'il me prenne. Je tenais bon, mais ma volonté s'effritait à une vitesse affolante. Mais sans plus attendre, il repartit, et se mit à danser de manière subjective. Des images revirent me hanter, je n'en pouvais plus, mais je n'arrivais pas à fermer les yeux.
Au bout d'un moment de cette torture, je ne pouvais juste plus le supporter. J'avais une insupportable envie de me toucher, je voulais me faire défoncer violemment l'arrière-train. J'en oubliais même presque ma colère envers ce type. Mon corps se faisait douloureux, et je ne pouvais plus m'empêcher de me tortiller, le souffle court.
« S'il...s'il te plais... ! »
Et s'il refusait encore de s'occuper de moi, je serais largement capable d'aller me taper tous les mecs évanouit de la prison !
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Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Jeu 10 Juil - 3:18
in voilà, il en avait fallut du temps avant que je le sente prêt à imploser. S’il est pas trop mignon quand il se bat contre lui-même, j’adore cette musique encore plus maintenant qu’elle m’est utile et je ne perd bien sur pas une miette de toute la détresse de ma cher proie. Maintenant sa va devenir intéressent. Pour toute réponse j’avais eut droit a un bruit venant de sa gorge mais rien de bien attrayant alors tant mieux, sa me permettais de retourner jouer, personnellement j’aurais put continuer un peu plus puisque mon esprit était occuper.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin et voilà qu’il finissait par se rendre. Un sourire vint se poser sur mes lèvres alors que je m’approchais doucement de lui et vint rapprocher mon visage du siens pour lui dire d’un ton provocateur :
-S’il me plait ?
Puis je me rapprochais venant approcher plus encore mon corps du sien, mon dada pour le moment s’était la torture et je prenais un malin plaisir a le provoqué je dois l’avouer mais ce que j’attends moi c’est une complète reddition. Je sais trop ce que je fais pour m’arrêter maintenant et puisque dans son état sa m’étonnerais beaucoup qu’il se défende, du coup autant que j’en profite pour m’amuser un peu avant de passer aux choses sérieuse. Je passais doucement ma main le long de l’un de ses bras en pussent un soupire dans son cou et lui murmure amuser
-Sa doit être vraiment douloureux à force, et pourtant je suis sur que tu adore
Après le soupire au creux de son coup, je commence a vraiment m’amuser et viens passer le long de son cou la ramenant a son oreille en collant mon corps au siens avant de sourire. Ce que j’attends précisément de lui et je suis certain qu’il l’a compris c’est la parfaite soumission alors de nouveau, je repris donc dans un nouveau murmure :
-Si s’était te l’entendre dire qui me plaisait ? Je veux t’entendre tout me dire.
J'avais finit par lui demander, pas d'une façon concrète, mais ça l'avait fait revenir vers lui. Son visage réapparu devant moi, provocateur. Je le voulais, à tel point que j'en tremblais. Je ne me rappelais que vaguement que j'étais sensé haïr ce type. J'étais tellement à bout que même ma colère était un lointain souvenir...auquel je n'avais plus accès. Je n'arrivais plus à penser à quoi que ce soit d'autre que mon corps en feu. Alors dans le meilleur déroulement des choses possible, j'allais me faire sauter, puis j'allais être libre de le détester à nouveau. L'un n'empêche pas l'autre de toute manière.
Son corps vint frôler le mien sans le toucher tout à fait. Sa main caressa mon bras, me faisant me crisper, et son soupire comme son souffle dans mon cou me firent frissonner. Sans que je m'en rende compte, j'avais fermé les yeux et penché légèrement la tête en arrière. Son murmure me troubla, mais je ne bougea pas. Oui, c'était douloureux. Oui, j'aimais ça, à condition d'être satisfait ensuite, sinon c'était de la torture pure et simple.
Cette fois, il colla son corps au mien, et je ne pu retenir un gémissement. C'était de ce genre de contact dont j'avais envie...que dis-je, besoin ! J'avais l'impression de devenir fou tellement j'avais envie de me faire troncher, et c'était la première fois que j'étais aussi frustré ! D'ordinaire je ne me refuse rien...on ne me refuse jamais rien ! Il me murmure ses attentes, mais je ne suis pas vraiment surprit. Je m'y attendais, il veut me rabaisser, m'humilier autant que possible. Il veut faire de moi son jouet. Mais je n'étais pas vraiment en état de résister. Je tremblais, et mon souffle était rapide et irrégulier. Le sentir contre moi sans qu'il ne fasse quoi que ce soit me faisait perdre la tête !
Je mis un instant à réfléchir à ce que je devais dire, et si je devais accepter. J'étais habituer à dire tout un tas de choses pas nettes pendant que je me fais baiser, mais ça n'a jamais été réellement sincère. De même, je n'ai jamais eu à supplier pour me faire défoncer, et c'était agaçant ! Un nouveau frisson me rappela à l'ordre, et je mis ma fierté de côté.
« J'en peux plus...je t'en prie...fais quelque chose ! J'ten prie... ! Je ferais ce que tu veux!»
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Jeu 10 Juil - 17:11
’étais en position de force et je comptais bien en profité, m’amuser un peu plus de sa détresse, de ce jeu si intéressent auquel il venait enfin de se joindre. Je sais trop a quel point il est fort mais le sentir trembler pour un simple contact m’amuse a un point que je ne saurais décrire. J’aime et j’adore sentir la peur chez mes proies mais disons que pour cette fois je me contenterais du désir ardent d’être satisfait une bonne fois pour toute.
Je prends un malin plaisir à sentir son corps qui se crispe sous mes doigts et mes caresses, cette torture m’amuse, lui qui se la jouait tant se trouve maintenant réduit à assouvir le plus petit de mes caprices et ils vont certainement être nombreux. J’avoue que cette situation m’amuse presque autant qu’elle m’enflamme, il était grand temps qu’il relâche ses lèvres, même si tout têtu qu'il est, il n’en fit rien avant le gémissement quand mon corps fini enfin par entré en contact avec le sien. J’ai comme l’impression que sa peau est brûlante, serais tu donc à se point ? Prouve-le.
Il se met a réfléchir a ma demande ce qui me laisse deviner qu’il n’est pas encore prêt, je le veux entièrement soumis pas avec une hésitation, pas la plus petite même pas quelques secondes, je veux qu’il se rende et agisse simplement sur un ordre, un mot. J’aime cette façon qu’il a de se battre même si j’aime encore plus détruire un a un tous ses espoirs de reprendre le dessus et le voir sombré dans le piège qu’il a lui-même créé.
Par contre son hésitation me fatigue alors la tête toujours poser contre son épaule, j’ai soufflé dans son cou. Sa semble être efficace puisqu’un nouveau frisson viens remplacer son hésitation et qu’il fini par les dire ses mots que j’attends. Il m’en prie, bin voilà, on y est, un nouveau sourire viens se loger sur mes lèvres alors que je fais de ses lèvres mon terrain de jeu. J’embrasse d’abord puis mordille la lèvre que j’avais déjà mordu plus tôt avant de commencer seulement a jouer un peu plus bas, ma main retournent s’afféré sur sa virilité que j’empoigne pleinement en lui susurrent :
-J’y compte bien
Bien sur que tu vas faire tout ce que je veux, tout ce qui pourras me passer par la tête tu le feras et ceux quoi que tu puisses vouloir ou pas mon grand, sa t’apprendras à me défier. Va falloir retenir ou est ta place et je compte bien me faire un plaisir de le faire renté dans ta tête, quelque soit le chemin que je devrais employer pour sa. Je m’en retourne à son torse m’occupent du pauvre téton que j’ai délaissé plus tôt tendis que ma main passe de son jouet pour adulte a ma future cible. Bin oui, après l’avoir fait tellement souffrir je peux bien quand même le préparé un minimum et m’y atèle, m’amusent de plusieurs doigts à embêter cette zone sensible.
- à toi de jouer, montre-moi ce que tu sais faire
Ma voix était calme et assez ferme, j’avais relâché ses chaines et m’étais reculer juste pour le laisser toucher terre et jouer à son tour, après tout autant que ses lèvres se rendent utiles aussi, puis de toute façon vu son état je ne risque pas grand chose.
Après ma supplication, je vois un grand sourire apparaître sur son visage. Je me doute bien d'à quel point ça l'amuse de me voir dans cet état, de me réduire à ça. Mais sa bouche rejoignit la mienne, me faisant oublier la moindre protestation de mon esprit. Un soupire s'échappe de moi, bien vite suivit d'un second lorsqu'il commence à me mordiller, très vite suivit d'une multitude d'autres. Mais lorsque sa main repartit s'occuper de ma virilité, ce fut un long gémissement qui résonna dans la cellule. Je ne chercha même pas à le retenir, bien trop heureux que cette partie de mon corps ne soit plus délaissée.
Il comptait bien faire ce qu'il voulait. Merci, mais j'avais bien comprit tout seul. Ma tête bascula en arrière pendant qu'il descendait sur mon torse. Je m'appuyais largement sur les liens qui me retenaient, et je ne cherchais absolument pas à me restreindre dans le plaisir qu'il me donnait. Sa main quitta ma virilité, qui s'en sentit frustré, mais comme il alla s'occuper d'autre chose qui réclamait autant d'attention, je n'émis aucune protestation. Au contraire, je me mis à onduler sur ses doigts en gémissant toujours plus fort chaque fois qu'il en insérait un nouveau.
Pourtant, il se retira bien trop vite à mon goût, et je n'avais pas pu en profiter à ma guise. À mon tour de montrer mes talents ? Je tenais plus grâce à mes bras qu'à mes jambes, et lorsque les liens descendirent, je finis à genoux devant lui. Et le spectacle que j'avais sous les yeux m'ouvrait l'appétit. Sa voix était calme, mais je la trouvais sexy. Il me demanda d'utiliser ma bouche. Oh, mais j'avais pas besoin de me faire prier pour ça !
Sans plus attendre, je commence par le lécher dans toute sa longueur, sans aucune pudeur, avant de le gober tout aussi vite avec avidité. En fait, j'en oubliais complètement d'aspirer son énergie, et me contentais amplement de pomper pour son jus. Ma langue s'enroulait autour de son bâton de chaire alors que j'entamais un va et vient rapide, et je me délectais de l'avoir dans la bouche. Je n'avais aucune limite, aucune honte quant à ce que je faisais. J'avais une envie folle de me toucher en même temps, mais mes poignets toujours attachés à la hauteur de ma tête ne me le permettaient pas. Je me contentais donc d'avancer autant que possible mon visage, et de le lécher goulûment, les yeux fermés, sans me préoccuper des bruits indécents que je faisais.
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Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18] Jeu 10 Juil - 19:38
in voilà, il avait fallut un moment mais cette fois ses lèvres étaient complètement déliées, il se rendait aux doux suppliques que je lui infligeais et c’est avec un plaisir sans égale que je poursuivais mon traitement jusqu'à m’en lassé. Chaque réaction m’est délicieuse, j’aime l’entendre sans retenue et prend un malin plaisir à le sentir réagir. D’abord un simple mouvement de tête suivit par de longs gémissements et quand ma main était allé préparé mon future terrain de jeu, j’avais eut droit a des mouvements absolument délicieux de son corps entier qui m’en réclamait toujours plus.
J’aimais déjà l’entendre, chacun des bruits qui lui échappais éveillais un peu plus cette flamme qui naissait au creux de mes reins me donnant juste envie de pousser le jeu c’est pourquoi quand il tombât a genoux j’étais encore plus ravi. Au moins comme sa il allait se rendre utile, j’étais impatient d le voir a l’œuvre et il ne se fit même pas prier, a peine en position il se décidât à se mettre au travail pour mon plus grand plaisir.
Enfin, il se décidait à obéir, même pas de temps de réflexion le voilà qui se contentât de travailler, mon sourire s’agrandi alors qu’il s’appliquait. Ma main glissât dans sa belle toison rouge et se fit accompagnement pour ses mouvements. Je soupirais d’aise finissent presque par laisse échapper de légers gémissements mais pas question de lui faire se plaisir.
Je ne saurais dire ce qui me plaisait le plus, cette façon qu’il avait de le faire ou le fait qu’il semblait d’un seul coup avoir complètement oublié qu’il me détestait quelques secondes avant. En tout cas que se soit l’un ou l’autre, je l’avais laissé poursuivre un moment, a sentie tout son désir de s’acquitté de sa tache, je n’aurais pas put faire autrement et quand elle fut asse rempli a mon gout, j’enlevais ma main de ses cheveux et venait la porter a son visage. Pour le pousser à me revenir, je préfère les vrais jeux a ceux ou on se limite a sa alors autant jouer pour de vrais.
-T’es pas trop mauvais
Oui je sais, c’est pas un compliment, mais sa n’est pas non plus un reproche et franchement là il pouvait pas se plaindre. Un lien d’ombre vint l’aider ou plutôt le pousser à se relever alors que je le sentais prêt à imploser. C’est le moment de jouer pour de vrais mais je voulais profiter encore un peu de son visage, s’était encore plus excitant que le jeu qui venait de se faire. Je venais de nouveau voler ses lèvres pour un rapide baiser avant de le faire retourner, pour le moment ses liens étaient lâche mais je pouvais très facilement les resserré si le besoin s’en faisait sentir alors autant qu’il en profite un peu. Collant mon corps au sien, je m’étais pencher jusqu’a son oreille venant presser la part de moi qu’il venait tout juste de travailler contre mon futur terrain de jeu avant de lui soufflé
-Ca va devenir amusant
Plus besoin de prémédication j’imagine, le jeu commençait et j’entrais pleinement dans le vif du sujet. Sans douceur, sans attendre ais au moins il avait été préparé un peu plus tôt, il n’avait donc pas a se plaindre j’aurais pu ne pas le faire. Mes mouvements se faisaient rapide, a en venir frapper mon bassin a sa personne, pas envie d’être doux juste d’un bon jeu bien amusent. Je le contraignais à garder la position par mes mouvements et surtout venait embrasser puis mordiller sa nuque. Puis de nouveau, ma main se glissât sur sa virilité et se remis au travail en même temps que tout le reste.
Je ne pouvais pas faire semblant de ne pas aimer ça. Non, en fait, je n'en avais même pas envie. J'aimais ma sucrerie, et je ne m'en cachais pas. Sa main s'était accrochée dans mes cheveux, accompagnant mes gestes, et ça m'excitait. J'ouvris un œil vers lui en l'entendant faire du bruit, et me concentra encore plus sur ma langue. Ça avait l'air de lui plaire, et ça m'amusait. Je ne me retenais absolument pas, j'étais sale, et j'adorais ça ! Je voulais qu'il me vienne dans la bouche, qu'il me laisse déguster sa semence, mais au lieu de sa, sa main quitta mes cheveux et me fit m'éloigner.
Pas trop mauvais ? Je savais que j'étais bon, et j'avais pas besoin de ce genre de remarque pour le savoir. Je me mis à lécher mes lèvres, ma salive avait coulé sur mon menton, mais je m'en foutais. Je trouve ça encore meilleure en n'aillant aucune limite. Une ombre vint me faire me lever, alors que tout mon corps brûlait d'impatience. Mes joues étaient chaudes, certainement rouges, et mon souffle court. Ses lèvres se posèrent sur les miennes brièvement, puis je me fis retourner. Sagement, je posai les mains à plat sur le mur, me penchant légèrement en avant en cambrant le dos. Dans le fond, j'aimais être sage comme ça, obéir, me faire soumettre au moindre de ses désir...la seule chose qui me posait problème, c'était lui ! Mais mon envie avait atteint un tel point, et j'étais tellement proche d'être satisfait, que je ne pensais pas à protester.
Son corps se moula au mien, et je me mis à me frotter contre sa virilité, autant par provocation que par envie. Son souffle à mon oreille me fit frissonner en soupirant d'aise. J'étais son jouet, son chien, j'adorais ça. Il m'annonça tout juste qu'il allait commencer avant de s'enfoncer directement en moi. Ce fut un pur cri de plaisir qui sortit de ma bouche, j'étais beaucoup trop excité pour ressentir la moindre douleur quant à sa brusquerie. Il était violent, exactement ce que je voulais, mes mains se crispaient sur le mur alors que des gémissements enflammés naissaient dans ma gorge pour aller résonner dans toute la prison. Ses dents passèrent taquiner mon cou, mais à vrai dire, j'aurais presque aimé qu'il me morde franchement.
Mes cheveux retombaient devant mon visage, ma bouche était grande ouverte à la recherche d'air. Sa main retourna jouer avec ma virilité, me faisant pousser de nouveau cris passionné. Plus la moindre pensée ne venait encombrer mon esprit. Je voulais juste qu'il aille toujours plus loin et toujours plus fort en moi. Oh que oui, je prenais mon pied !
Invité
Sujet: Re: Si tu m'énerve, je te noies [PV Daeron] [NC-18]