Juste après avoir quitté Sword, j'avais tenté de discuter avec Daeron par sms. Enfin, pour être plus juste, je l'avais harcelé jusqu'à ce qu'il daigne me répondre. Je sais pas pourquoi, je voulais absolument lui parler. Pourtant je n'avais rien de spécial à lui dire. Sword avait bien finit par trahir tout ce que je voulais savoir pour le moment, mais je sais pas. Il me...manquait...

Je m'en doutais un peu, mais que je le harcèle comme ça le faisait vraiment chier, c'est con, parce que moi ça m'amusait grandement, et j'en oubliais même partiellement cette déplaisante rencontre. Ça faisait un moment que je m'étais pas amusé à emmerder Daeron, et ça faisait du bien. Même si je racontais que des conneries, savoir qu'il les lisait me plaisait. Enfin, jusqu'à ce qu'il arrête. Un peu agacé, je m'étais mit à le harceler d'autant plus, et puis c'est là que je me rendis compte que j'avais inconsciemment prit le chemin pour me rendre chez lui.

Notre semblant de conversation se poursuivant, Daeron me provoquait pour que je vienne. L'air de rien, ça m'excitait ce qu'il disait. Quand bien même il serait énervé que je vienne le voir, et en pleine journée, c'est pas bien grave. Je suis tellement énervé, je veux juste entendre le son de sa voix, voir son visage, même si c'est pour qu'il m'engueule, se foute de moi, ou je ne sais trop quoi d'autre. Ça fait trop longtemps que je ne l'ai pas vu, et cet instant trop court passé avec lui tout à l'heure est loin de me satisfaire !

Arrivé chez lui, j'avais trouvé cette fameuse porte dont nous avions parlé, et elle était belle et bien fermée. Comme je l'ai dit, il en faut plus qu'une bête planche de bois pour m'empêcher de passer. J'ai enfoncé la porte d'un coup vif, mais proprement, genre qui fait un minimum de dégât facilement réparable, et surtout qui ne l'avait pas fait sortir de ses gongs. Du coup, j'avais pu refermer soigneusement la porte derrière moi de façon à ce que la lumière ne pénètre pas. Pour ce qui est du verrou par contre, il est mort.

Et puis comme si de rien n'était, je me suis rendu dans la chambre de Daeron, où j'ai faillit éclater de rire en trouvant au sol les débris de son téléphone. C'est con, si il fait ça à chaque fois, j'vais plus pouvoir le harceler. Je me suis encore avancé pour venir m'installer sur le bord de son cerc...lit ouvert. Il est tellement débordant d'énergie, ça me rend dingue !

« J't'avais prévenu. »

J’étais tranquillement retourné chez moi avant que le jour ne pointe le bout de son nez. Je sais que ses derniers jours mon énergie est revenue a bloque, c’est limite trop pour moi mais bon, c’est toujours cool les SBS c’est le moment précis ou on s’amuse avec Sword et puis c’est quelques moments du passé qui me reviennent, de bons moment en plus donc tout ce qu’il y a de plus délicieux dans mes souvenirs les plus lointains des seuls moments que j’ai passer avec quelqu’un.

Bin voilà, rien de tel qu’une sortie du genre pour ramener aux bonnes vielles habitudes, fut un temps j’avais été le pire du pire, on connaissait le boogeyman partout et chaque pays me donnais son nom inventant des légendes sur mon passages, c’est vrais qu’à se jour j’utilise moins mes pouvoirs, je crois que j’ai fini par me lasser. Avant une vie était précieuse et violer une femme la rendais impossible a marié, ce simple acte détruisait la réputation d’une famille mais aujourd’hui, même en me faisant un curé dans un confessionnal pas sur que qui que se soit en soit troubler, encore moins si je le butais en l’accrochant a la porte le l’église façon croix a l’envers comme dans le temps. D’accord c’est un peu vieux de le dire mais je préférais réellement le temps d’avant.

Bref, allonger dans mon lit, je pensais simplement au bon vieux tems et a l’extinction d’un village qu’on venait de faire et qui m’avait vraiment amusé là. J’étais entrain de somnoler quand le p’tit truc de l’autre fois c’est mis a vibré et a sonné encore et encore… jusqu’à ce que j’aille voir ce qu’il voulait. S’était l’autre boulet, le poisson qui n’avait pas compris que cette truc me collais de la lumière dégueulasse dans les yeux et en plus il ‘envoyais des trucs pourrit genre suite de chiffre. Bref j’ai répondu une ou deux fois puis j’ai découvert un truc très pratique de message pré écris que j’ai renvoyé mais au bout de quelques messages il m’a ré harcelé et j’ai encore du regarder le machin.

J’avoue que l’idée de le voir défoncer ma porte me faisait rigoler, ca pourrait être sympas a voir si dehors il n’avait pas fait si claire mais après ont dernier message, j’en avais juste mare que mon téléphone ne sonne et je l’ai balancé quelque part hors de mon lit. J’allais me rendormir quand j’ai entendu un bruit et j’avoue que comprendre qu’il l’avait vraiment fait m’a fait marrer. Je l’ai attendu et quand enfin il c’est décider a ramener ses fesses, j’ai regardé les bouclettes blondes tombées sur mon cercueil.

-Une soudaine envie de casser ma maison ?

Il m’a suffit d’un geste pour qu’une ombre le fasse tomber à la renverse dans mon cercueil, juste histoire de pousser un peu le vis et de le faire moins ressembler à Sword assis au bord de mon lit c’est perturbant.

-Ou de te faire casser toi ?

Je e laisse au dessus, flemme de bouger pour le moment tant que le jeu en vaut pas trop la peine, puis j’suis crever a l’origine j’devais dormir là c’st pour ca que je l’ai pas invité a se faire pété les pattes arrière mes a pioncé en attendent que j’en ai la force.

Daeron attendait simplement dans son lit, immobile. Quand je m'étais assit, il m'avait simplement regardé faire. Il avait pas l'air fâché pour la porte. En même temps, il m'a provoqué ! Quand il prit finalement la parole, j'ai pas pu m'empêcher de sourire avec amusement. Si j'avais voulu casser sa baraque, ce serait déjà fait ! Mais ça va, j'ai pas trop d'hostilité envers les habitations. J'ai pas vraiment le temps de répliquer que je sens une ombre m'attraper et me faire tomber dans le cercueil. Me faire casser par lui ? J'avoue qu'actuellement, mes capacités de jugement sont grandement altérées, et je pourrais facilement le laisser me faire tout ce qui lui passerait par la tête. Seulement, en voyant son air fatigué et son manque de réaction, je me contiens.

Je me redresse à peine, histoire de refermer son lit pour qu'il soit tranquille, juste avant de me raviser et fouiller ma poche un instant, avant de virer mon téléphone aussi. La dernière fois les dirlos m'avaient trop énervé, là je suis sensé partir bosser, mais je crois que je vais sécher, occasionnellement. Encore une fois... enfin, faut pas que ça devienne une habitude non plus ! Je ferme donc le cercueil avant de me rallonger tranquillement. En fait, j'ai même pas tenu une minute à ma place avant de me rapprocher de Daeron. C'est juste trop dur de tenir, tout en lui m'appelle ! Son corps, son énergie, tout ! Je me sens irrésistiblement attiré. Mais je veux le laisser se reposer, alors je me contente juste de me poser tout contre lui et de ne plus bouger.

En fait, c'est une véritable torture de rester tout près de lui comme ça. Tous mes sens sont en éveil, et mon corps s'est enflammé dès que je me suis approché. J'en frémissais d'un désir que j'avais  beaucoup de mal à contenir, obligé à respirer très lentement pour garder le contrôle de moi-même.

Bin voilà il n’a pas trop tardé et c’est même laisser embarqué, je ne suis pas vraiment sûr d’avoir envie qu’il reste là ce jour, surtout sachant que je suis juste claqué mais au fond le simple fait qu’il soit prêt à enfoncer ma porte pour que je m’occupe un tant soit peu de lui m’amuse. A voir avec quel impatience il agit je suis presque sûr que mon p’tit poisson meurs d’envie que je lui brise les pattes arrière seulement c’est un peu moins facile sans même me laisser la moindre petite journée pour me reposer.

Bon, je ne vais pas non plus forcer pasque là il semble bien décider à me laisser un peu de paix au moins un temps de repos et même si le pousser hors de ses limites me semble bien plus intéressant que de dormir, j’ai tout le temps de le faire plus tard. J’ai eut tout loisir de l’observer quand il a refermé mon lit et un fin sourire c’est tracer sur mes lèvres en sentant déjà parfaitement ce que la simple proximité de nos deux corps pouvait lui faire comme effet.

C’est seulement quand i c’est amuser à jeter son p’tit truc lumineux que j’ai doucement ris. Dire que j’ai supporté la lumière de Sword ses derniers temps ne me semble pas une très bonne idée mais j’avoue que ca m’amuserais de voir ca réaction. Bon, je vais pas non plus le torturé, quand il c’est enfin décider a cédé à son envie et est venue se coller a moi j’ai passer un bras autour de ses épaules en fermant doucement les yeux. Je sens trop l’envie qui le rend solide comme un rock et me donne très envie de l’emmerder là du coup je reste tiraillé entre l’idée de dormir enfin et celle de le faire chier, alors je préfère mêlé un peu les deux en le faisant tourner pour venir poser ma tête contre son épaule et glisser une jambe bien entre ls siennes… Ah sadisme quand tu nous tiens.

Puis je me laisse sombrer dans un sommeil dont j’ai réellement besoin là.

Je sentais Daeron m'observer, et forcément je remarquais que ce que je faisais l'amusait, que ce soit mon téléphone que j'ai balancé, ou le fait que je sois venu tout contre lui. Par contre, je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'il passe son bras sur moi comme il l'a fait. Je me suis brusquement crispé en déglutissant. Mais ça va, j'vais tenir le coup. Je vais juste le laisser se reposer un peu, je peux supporter ça.

Et puis là, il décide de s'installer confortablement, au détriment complet de ce que je peux ressentir moi. Ou alors c'est vraiment pour me pousser à bout, et dans ce cas-là, c'est de la pure torture ! J'vais exploser. Je sais pas si ce sera à cause de mon cœur qui bat beaucoup trop fort, ou de ma libido largement trop chargée, mais là je crois que je vais devenir fou. Mon souffle s'était coupé, et je tremblais légèrement. Bien sûr, j'essayais toujours de contrôler au maximum mes réactions, qui j'en suis certain ne lui passaient pas inaperçue.

Daeron s'était endormit, et moi j'me retrouvais comme un con, parcouru de frisson à répétition, qui me faisait resserrer involontairement mes cuisses sur sa jambe. J'vais pas tenir le coup... J'vais pas pouvoir ! Je vais devenir fou ! Je crois que je vais juste le violer ! Il est juste là, il me nargue ! Il me suffirait juste de tourner la tête pour venir le goûter, juste me décaler pour le toucher ! Plus le temps passait, plus je sentais ma volonté et mon self-contrôle s'effriter. Je pensais que ça se serait un peu arrangé, que je m'y serais habitué, mais non ! C'était de pire en pire !

J'avais le souffle court, je sentais mon corps brûlant de désir. J'avais beau me mordre la lèvre et serrer les poings au point de me blesser, rien à faire, j'allais finir par l’agresser dans son sommeil à ce rythme-là. Les joues rouges de gêne, j'avais finit par glisser ma main à l'avant dans mon pantalon, le seul vêtement que je portais, en essayant de ne pas le réveiller. Si je pouvais au moins me soulager, ne serait-ce qu'un peu... Je serais les dents en entament un va et vient soutenu. Je voulais pas ouvrir les yeux, je voulais pas savoir si je l'avais réveillé ou non, je voulais pas me taper la honte. J'en pouvais juste plus ! Mais bien évidemment, quelque chose comme ça ne pouvait pas me suffire. J'arrive pas à prendre assez de plaisir par l'avant, alors comment ça pourrait me soulager d'une telle excitation ? Alors après m'être résigné à ouvrir mon pantalon, j'ai glisser mon autre main par derrière moi. Ça m'arrive pas souvent de dire ça mais...j'ai honte...

Je sais que ca lui fais un effet monstrueux et ça m’amuse bien mais comme il ne bouge pas j’ai quand même fini par m’endormir en étant a moitié réveillé chaque fois que ses jambes se serrent contre la mienne et j’avoue qu’a chaque fois j’en souris même en somnolant. J’aime ce genre de torture même si je sais qu’Elias est fragile c’est juste délicieux de le savoir sur le point de craqué son slip juste parce que je suis un peu proche c’est même à la limite du trop bon.

Par contre j’avoue que je m’attendais a pas mal de chose, genre me réveiller avec un Elias qui s’empale tout seul comme un grand sur moi mais ce qu’il avait fait non, là je m’y attendais vraiment pas. J’avais senti ses mouvements, on seulement parce que ma jambe était tout contre lui mais surtout parce que chaque geste effectuer dans mes ombres m’étais transmis comme s’ils me touchaient. Et le réveil fut des plus passionnants quand sa première min le travaillait juste pour un peu de proximité et que la seconde s’en allait vers mon terrain de jeu me faisant quand même bien sourire.

Là j’hésite vraiment me moqué de lui maintenant et lui venir en aide ou juste me moqué de lui ce qui risque de me faire perdre un jouet et de me pousser a m’excuser encore alors que j’en ai pas particulièrement envie, ou juste faire semblant de rester endormi pour voir au bout de combien de temps il réalisera que se masturbé sur quelqu’un qui dors c’est encore pire que ce que je peux faire moi-même. J’ai laissé le temps passer, une ou deux minutes, juste le temps qu’il ne parvienne plus à dissimuler ses bruissements avant de glisser ma main sur la sienne, a l’avant seulement bien sur mais quand même.

Je suis pas sur que l’idée de parlé soit bonne mais ca n’empêche pas que là j’en meurs d’envie, juste pour le faire chier, juste pour le pousser encore plus loin et le ramener au stade de jouet qu’il semblait si pressé de quitter il y a tout juste quelques heures.

-Quel manque de patience

Bon, c’est pas gentil mais je suis pas gentil et ca m’amuse trop de jouer du bout des doigts sur ce membre qu’il travail si fort depuis tout a l’heure, je pourrais bien faire pire mais pour le moment je veux le pousser a bout. La jeunesse, quel impatience, je me demande si j’arriverais à faire faire pareil a Sword, on verra bien pour le moment, je me contente d’embrasser et mordiller son cou, je lui ai déjà donné les règles de ce jeu voyons s’il saura y pensé.

-Voyons un peu l'état de ta mémoire ...

Je jouais frénétiquement de mes mains, essayant de me soulager sans vraiment y parvenir. La honte et l'excitation se mélangeaient, ce qui me provoquait un truc juste impossible à décrire alors que je mettais plus d'ardeur à la tâche. Rapidement, des soupirs commençaient à m'échapper, et je ne parvenais pas à les dissimuler, ce qui ne faisait qu'accroître mon mal-être.

J'avais un doute, un sérieux doute. Nan, en fait, j'étais certain qu'il était réveillé, et qu'il savait parfaitement ce que je faisais. J'y peux rien, là je pouvais juste plus me contenir ! Mais j'espérais. J'avais cet espoir fou et stupide qu'il était assez fatigué pour que même ça, ça ne puisse pas le réveiller. Ce même espoir qui vola en morceaux quand je sentis sa main se poser sur moi.

Fait chier.

Je rouvris lentement les yeux, sans oser croiser son regard. J'ai les joues qui me brûlent de honte, et ce stupide corps qui ne cesse pas de trembler d'envie. Manque de patience... J'lui en foutrais moi du manque de patience ! J'aimerai bien le voir à ma place, tiens ! Ses doigts me touchent à peine, mais m'arrachent facilement un gémissement. La frustration est si grande que j'en perds totalement l'esprit. L'état de ma mémoire ? Je voyais pas vraiment de quoi il pouvait me parler, et ma mémoire me paraissait juste totalement inaccessible pour le moment. Ses attaques dans mon cou me faisait frémir, finissant de m'achever.

Là je rageais. Tous ces efforts pour me contenir pour rien, mon self-contrôle était anéantit. Puisqu'il avait viré ma main, je vins agripper Daeron par la nuque et le tirer brusquement pour capturer ses lèvres. De mon autre main, je virais vivement de mon pantalon et m'installer sur lui dans un même mouvement brusque. Je me frottais déjà à lui, aspirant sans relâche son énergie à travers le baiser, gémissant de désir, virant ses fringues sans ménagement. Je pouvais pas. Je pouvais juste plus tenir, ça me rendait fou ! Puis là j'eus un vague souvenir qui parvint à mon esprit tout embrumé. Oh ? Il voulait parler de ce jeu ! Je me séparais assez difficilement de ses lèvres pour plonger dans son cou, tremblant de désir, promenant ma langue sur sa peau pâle. Je lui parlais finalement assez difficilement en italien.

« Ta catin veut que tu le prennes... ! »

Elias qui rougit, là j’avoue que c’est le moment parfait pour une photo, je veux me souvenir de ca, c’est juste délicieux. Il ne veut même pas me regarder dans un premier temps mais ca e m’empêche pas de ne pas en perdre la plus petite miette, son regard plein de honte et ses réactions m’amusent presque autant qu’elles m’excitent et je poursuis mon jeu encore un moment souriant de chaque gémissement que mes doigts tire de sa personne. C’est bien la première fois qu’on me fait un truc du genre en fait, généralement les victimes tentent une fuite quand je dors, elles ratent bien sur mais au moins elles essayent et lui reste non seulement au plus proche mais en plus il s’auto-satisfait avec ardeur et application en rougissant de honte.

Bien sur les baisés dans son cou n’étaient pas sans but, au moins il ne pouvait pas se plaindre et je le sentais frémir sous chaque de mes gestes m’amusant d’autant plus ainsi. D’ailleurs je dirais qu’il est un peu fâcher le poisson, a peine sa main retiré qu’il vient s’accrocher à ma nuque pour me volé un baisé … encore. Mais qu’es ce qu’ils ont à vouloir m’embrasser ? Bon, d’accord ce baiser je lui accorde une signification, au moins sur celui là il se nourrit et pas qu’un peu l’emmerdeur. Dire que j’ai mis toute une heure à me charger à bloque pendent notre SBS là il me vide de mon énergie, bon, vu le niveau ou j’en suis on ne va pas dire que c’est vraiment difficile a faire mais quand même !

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il avait viré ses fringues le Elias me laissant quand même sourire même sous son baisé et puis il s’était mis sur moi en se frottant sans retenue contre mes vêtements qui n’eurent pas vraiment de répits avant de se trouver jeter a leurs tour pour qu’il puisse continuer a s’exciter directement sur moi. Au vu de son état et da ca préparation à l’arrache, je doute que l’ordre qui vient ensuite soit une bonne idée mais qui suis-je pour refuser de suivre mes règles, je l’ai donc juste retourné en entamant directement les choses sérieuses.

-A tes…

Très pratique la pré-préparation, on devrait p’t’être faire ca plus souvent, ca a au moins le mérite d’accéléré les choses. Bon, bien sur je suppose que ca n’est pas le moment de ralentir et même sans repos je sais que sur ce point j’assure, donc je me suis mis directement au travail commençant sans douceur mon vas et viens et venant directement empoigner sa virilité Pour un travail bien appliqué des deux cotés.

-Ordres !

Ce jeu m’amuse toujours autant décidément c’est vraiment le meilleurs que j'ai depuis longtemps sans compter les SBS, la torture et le meurtre sont toujours au dessus quand même.

Je sais que Daeron était sacrément amusé par mes réactions, et je pouvais aussi très bien sentir son sourire à travers mes baisers, ce qui ne m'empêchait pas de prendre toujours plus d'énergie. Mon souffle était court contre son cou, j'avais terriblement chaud, et ce désir embrasait tout mon corps. C'est juste que sentir Daeron comme ça me faisait bien plus d'effet que je n'aurais pu l'imaginer. J'avais finalement fait cette demande, qui m'était miraculeusement revenu à l'esprit, et il ne perdit pas une seconde pour me retourner et ce fut avec un plaisir et un soulagement inouï que je le sentis entrer en moi.

Mon dos se cambrait, et je libérais une longue exclamation de plaisir. Sa voix me fit violemment frissonner, et ses coups de reins commençaient déjà à me secouer. Sa main sur ma virilité m'arrachait des gémissements beaucoup plus intenses, mais même si le plaisir était bien évidemment là, le besoin de le sentir plus se faisait toujours plus présent... Pour une fois, j'crois que je m'en fichais un peu d'avoir mal. Je veux plus ! Toujours plus ! Je serais pas satisfait avant qu'il m'ait bourriné au point de me rendre incapable de marcher pour les jours à venir !

Je voulais qu'il y aille plus fort, je voulais sentir ses ombres sur moi. Je n'arrivais pas à formuler la moindre demande, totalement incapable de parler, mais j'essayais de lui faire comprendre autrement que j'en voulais plus. À partir du moment où il m'avait pénétré, j'avais pu voler son énergie en plus grande quantité, elle était si bonne, si intense que la tête m'en tournait. Je m'étais finalement stoppé après avoir comblé ma faim, mais mon désir était toujours là, et je comptais bien tout faire pour le satisfaire.

Oh, moi qui m’attendais a un minimum de difficulté a l’accueil et bas même pas, il c’est si bien préparé cet idiot que même la violence lui est douce. Tsss obliger d’obéir a un ordre mais en plus de le voir y prendre plaisir, heureusement quand même qu’il a utilisé mes bonnes vielles règles, je crois que je me serais quand même ennuyé sans ça. Enfin bon, j’ai quand même le plaisir d’avoir réussit à atteindre ses limites et elles m’amuseraient presque au fond, pauvre d lui, contraint a s’auto satisfaire juste sous mon nez a ses risques et périls c’est juste … excitant.

Le jeu prenais une voix que j’aime bien, celle ou il me laisse faire absolument tout ce qui me passe par la tête mais à peine j’ai envie de tester les limites qu’il va m’imposer par rapport à celles de Sword que déjà il semble beaucoup plus en demande. A priori son idée a lui va me plaire, il n’est pas très douer pour la mise en pratique mais pas difficile de savoir qu’il en veut plus, je suis entrain de le dévergonder mon p’tit poisson, j’aime. Bon, c’est si joliment réclamer que je peux as trop lui refuser et en moins De temps qu’il en faut pour dire que ma catin souhaite que ca devienne violent, des liens d’ombres viennent prendre ses jambes soulevant son bassin, juste histoire de me laisser un meilleurs accès tandis que d’autres entre directement en ma compagnie dan le vif du sujet, histoire de ne pas décevoir ses attentes … se serais dommage et pas assez douloureusement bon.

M’enfin, ca m’évite aussi le baisé même si je sens quand même l’énergie qui me quitte en sacré quantité depuis la seconde ou j’ai entamé la partie. Pas grave je suis charger a bloque et l’ombre ambiante maintiendra mon niveau vital au moins puis au pire j’aurais juste a l’assommé. J’avais fini par le faire retourner quand même, au fond c’est plus pratique pour jouer, des ombres parcourant son corps et laissant par endroits de fines traces de griffures, aucune assez profonde pour faire couler le sang mais toutes largement assez approfondies pour qu’il les sente et puisque je sais qu’il aime pas… J’adore !

Puis des liens autour de ses poignets le font tourner en poursuivant la partie sur mon air de jeu primaire seulement je vais procéder a une petite variante puisqu’il aime tant se servir de ca bouche je vais l’exhausser, une fois face a moi, je me suis approcher de sn oreille le temps d’un murmure alors que mes ombres arrières et leurs vas et viens se faisaient plus insistantes.

-Toi qui semblait si motivé tout à l’heure…

Les liens de ses poignets vinrent le contraindre à se placer devant moi pile poile dans la bonne position pour ce que j’avais en tête.

-Rend toi un peu utile pour une fois.

Cette fois c’est moi qui me la coule douce alors qu’il est pris dans tous les sens et surtout travailler tant que j’en ai envie. Enfin bref, perso je m’amuse bien et attend sagement qu’il travaille un peu a lui de le faire puis surtout combien de temps tiendras t’il  se rythme, j’attends de voir ca avec impatience.

Daeron comprit finalement ce dont j'avais envie, et mieux encore, il décida de me l'accorder. Je sentis ses ombres m'agripper, changeant l'angle de mon bassin, et le volume en moi se fit brusquement plus imposant. Un grand cri s'échappa de mes lèvres. Là, je sais pas si c'était de plaisir ou de douleur, mais je veux pas qu'il arrête ! Je m'étais fait retourner, et ses ombres qui passaient sur moi, les griffures que je sentais mes faisaient me tordre de plaisir et de douleur. Je serrais les dents à chaque griffure, sans chercher à chasser l'ombre. J'aurais pas pu de toute façon.

Il décida à nouveau de me faire bouger, même si l'idée de me faire trimbaler comme ça plaisait pas trop, j'étais bien trop content qu'il s'occupe de moi, et je prenais bien trop de plaisir pour penser à me plaindre. Ses ombres continuaient de me prendre, ce qui me faisait gémir sans pouvoir m'arrêter, alors qu'il s'approchait de mon oreille.

De violents frissons me parcoururent en entendant sa voix, avant que ses mots ne trouvent un sens dans mon esprit. Pour une fois ? J'en crois pas un mot à son 'pour une fois', mais je vais pas chipoter maintenant. Dès qu'il a finit de me mettre en place, et d'une façon qui m'excitait tout particulièrement, je me suis mit au travail. Je dois dire que sentir ses ombres en moi en même temps m'inspirait tout particulièrement pour mes jeux de langue, et mes gémissements m'échappaient sans cesse alors que je prenais très grand plaisir à prendre soin de lui.

Respirer m'était difficile dans une telle situation, et j'étouffais lentement, sans chercher une seule seconde à me libérer de son emprise. Mes yeux restaient fermement clos, mon dos cambré tressautait sous les attaques de ses ombres qui ne me laissaient pas le moindre répit. Et puis je cessais brusquement de m'occuper de lui, le gardant en bouche alors que tout mon corps se crispait et je venais une première fois en gémissant longuement.

J’adore entendre les cris de mon repas préféré dans les ténèbres de ma nuit artificielle. Peu importe ce qu’il en dira après pour le moment pas un mot, enfin si mais rien de bien éloquent sachant que ca se résume en un semblant de gémissement bien plus pousser et vu comme ca m’amuse, je sens que je vais continuer jusqu’à ce qu’il en ait la voix cassé, juste pour le coté fun quoi. Bien sur aucun de mes travailleurs ne cherchais à diminuer son activité sur lui, bien au contraire, ca m’amusait bien assez pour se propager plus encore sur son corps laissant de fines traces rouges sur sa jolie peau nacrée qui ne serais plus si pure après ca.

J’avais bien sur apprécié le frisson, comme tous les autres j’avais de plus en plus la sensation de les déclencher de quelques mots, après tout c’est peut être même directement ma voix qui les déclenche et là j’avoue que ca m’amuse vraiment !

Bien sur as besoin de le prié pour qu’il se mettre au travail lui qui aime tellement occupé ses lèvres, il était temps qu’il s’applique a en faire quelque chose d’utile et puis, comme ca je profite de son savoir faire pendent que mes ombres bossent a ma place, moi qui suis fatigué c’est un bon deal même si je compte bien bosser et les lui brisé ses pates arrières, juste histoire d’être sur qu’il ne s’assoit plus et même qu’il le sente encore pendent un moment celui là.

Ma main droite simplement poser dans ses cheveux puisque j’avais aussi pu constater que ca le faisait réagir, je le laissait agir en poursuivant mes jeu et quand il vint a stopper son action, je n’en fut pas vraiment satisfait changeant les griffures en suçons un peu partout a la fois sur son corps, un parfait mélange de baisés et de passage de langue d’ombre entre deux suçons éparpillé ca et là. Puis bien sur, mes ombres s’attelaient toujours a le satisfaire mais puisque mon jouet avait atteint la première limite, je ne tardais pas a aller taquiner la seconde.

Laissant mes jouets sortir de son terrain, je les modifiais un peu en y ajoutant des bosses par endroit, pas très visible comme ca dans le noir mais je compte bien les lui faire sentir en reprenant de plus belle le va et viens et bien sur en faisant attention aux gestes un peu trop brusque sur une partie de moi que j’aime beaucoup.

Pendant que je m'appliquais, je sentais la main de Daeron dans mes cheveux, elle me faisait doucement frissonner. J'adorais juste la sentir comme ça, ce genre d'attention de sa part me rendait dingue. Lorsque j'avais atteint l'orgasme, je m'étais stoppé, incapable de me concentrer pendant un instant, et je sentais les griffures sur mon corps se changer en baisers, et autres attentions qui rendaient mon plaisir encore plus intense. Je finis bien par reprendre mes esprits, et par la même occasion mon activité buccale.

Et brusquement ses ombres sortirent de moi, me laissant un répit dont je n'avais absolument pas la moindre envie, puis elles revirent s'infiltrer en moi, me faisant sursauter. J'avais retenu de justesse un réflexe qui m'aurait fait donner un coup de mâchoire sec à un endroit peu approprié, et mon cri avait été à demi étouffé. Je sentais que le forme de ses ombres était différente. Bien sûr je suis pas capable de les reconnaître parfaitement, mais chacun de leur mouvement en moi soulevait une vague de plaisir beaucoup plus intense.

Je m'enfonçais tellement profond sur lui que j'étais presque en train de m'étouffer tout seul. Des bruits de succion se mêlaient à mes gémissements à demi étouffés, je ne pensais pas une seule seconde à m'arrêter, je prenais beaucoup trop de plaisir pour avoir l'esprit clair. Je m'appliquais totalement à ce que je faisais ressentir à Daeron, j'avais terriblement envie de le satisfaire et me faire souiller la bouche. Mon corps n'arrêtait pas de se crisper et se relâcher en fonction des vagues de plaisir que je ressentais. Je sentais déjà un second orgasme pas loin de se pointer.

Bin voilà, rien de mieux que de changer de méthode pour faire reprendre le bon chemin aux lèvres d’un joujou. Le poison avait repris et avec plus d’ardeur encore que plus tôt, pas vraiment étonnant en fit mais plutôt amusant a voir et plaisant a sentir, j’ai donc laissé le jeu se poursuivre jusqu’au moment d’hésitation sur le réflexe a avoir ou non après amplification de mes copines. Je dois l’admettre, je suis plutôt satisfait de la façon dont il a su se retenir et laisse donc l’activité se poursuivre en insistant sur les mouvements, leurs donnant de la vitesse ou de la masse avant de leurs retiré, le plaisir de voir ses réactions a chaque changement.

Puis parallèlement son action s’était faite plus profonde et je profitais avec plaisir de la sentir en contrôlant chaque détail de mon œuvre j’avais du mal a me concentré sur cette partie mais pas une excuse pour m’empêcher de gouter l’application de son travail. Je savais qu’il aimait ce genre d’activité mais j’avoue qu’a se point c’est assez inattendu quand même. Des soupirs de plaisir s’échappaient alors que l’activité se poursuivait, bon, bien sur s’était dommage mais après un délicieux moment de travail acharné, s’était mon tour de me laisser aller sans pour autant lui laisser l’option de quitter son poste avant ni pendent.

Une fois ce moment de pur plaisir passé, j’ai juste laissé mon poisson roux préféré venir encore et puis, je l’ai gentiment –ou pas- retiré de son travail temporaire un sourire assez amuser aux lèvres. Puis le faisant brusquement redresser par un lien venu s’accrocher à son collier de sorte a ce qu’il se retrouve tout droit, les mains liés dans le dos, je l’ai juste placé pile poil venant le faire empaler sagement sur ce qu’il semblait si attacher à travailler.

Quitte à le laisser travailler tout seul, autant varié un peu, après la bouche, les jambes ! Bien sur mes ombres s’attelaient toujours sur son corps mais je laisse le soin a Elias de travailler a ma place, pas envie de faire d’effort pour le moment ce qui ne devrais pas être gênant puisque les mouvements en lui vont certainement le contraindre a bouger même si l’idée ne lui venais pas en tête, moi je laisse les mordillements, suçons et autres jeux en cours sur son corps.

Le travail de ses ombres en me faisait trembler de plaisir. Ou alors c'est que ça me secouait trop fort. Je perdais un peu notion de tout, complètement emporté par le plaisir que je ressentais. Entendre les soupirs de Daeron m'encourageait et m'excitait en même temps. J'étais déjà venu une fois, mais chaque parcelle de mon être était brûlante de désir. Au bout d'un moment, je le sentis venir dans ma bouche, mais j'étais loin de chercher à me soustraire à lui. Au contraire, j’accueillis sa semence avec plaisir, prenant soin de continuer à jouer avec ma langue pendant qu'il prenait son pied. J'étais tellement excité à le sentir venir que j'avais brusquement jouis une seconde fois, me crispant d'un coup.

Daeron m'avait fait m'éloigner, j'en avais profité pour prendre une profonde inspiration, et le voir sourire comme ça m'avait fait violemment frissonner. Je me sentis brusquement tiré en arrière par un lien que je n'avais pas remarqué, qui me coupa le souffle un instant alors que mes mains étaient ramenées derrière mon dos. Il m'avait placé de façon à ce que je vienne m'empaler sur lui, et je ne me fis pas prier. J'aimais vraiment ses ombres, mais j'adorais quand c'était lui qui me prenait ! Je commençais à remuer sur lui, fermant les yeux et basculant la tête en arrière. C'était trop bon ! Je haletais entre deux gémissements, et ses ombres ne m'aidaient certainement pas à retrouver mon souffle.

Je me déhanchais autant que je le pouvais sur Daeron, mon esprit était totalement vide de tout ce qui n'était pas désir et plaisir. J'étais plus fichu de réfléchir, et mon plaisir s'échappait de lui-même à travers mes lèvres. Au milieu de ces exclamations, je ne me rendais absolument pas compte que se formait le nom de mon bourreau. Ça ne m'était jamais, oh grand jamais arrivé de gémir un prénom pendant que je me faisais prendre ! Mais là je n'en avais pas conscience, et son prénom était à peine discernable parmi mes autres gémissements. Je continuais de m'empaler sur lui inlassablement, et toutes ses attentions sur mon corps me faisaient me tordre et me crisper de plaisir.

Ce poisson est vraiment pervers, au moins j’avais la douce sensation de le sentir poursuivre son jeu même après que sa bouche ai reçu son du et là j’avoue que ca m’a fait sourire, aimer a se point être soumis, je n’avais encore jamais vu ca. Elias aimais tellement que je le garde sous contrôle qu’il s’attelait a chaque tache que je pouvais lui confier si plaisante ou non soit elle. D’ailleurs, il avait suffit que je me laisse aller pour qu’un nouveau départ ce fasse chez lui et me laisse quand même amusé, je sais comment satisfaire Sword depuis bien longtemps mais Elias semble plus attacher a une autre idée que j’ai eut peu l’occasion de pratiqué et c’est bien ce qui m’amuse chez lui.

A peine redresser, il s’était laisser embarqué et a priori mes ombres n’étaient pas suffisantes puisqu’il avait cédé a l’envie de venir s’empaler pour commencer à gesticuler sur moi. Quel brave petit jouet, ca mériterais presque une récompense d’obéir si bien quitte a être courbaturé et n’avoir même pas possibilité de se tenir droit demain. Bref, ca n’empêchais pas les ombres de poursuivre leurs taches pendent que moi j’allais reprendre les miennes concentrant l’activité de mon don sur l’arrière de son corps en laissant de simples mordillements et griffures se faire pendent que je passais l’une de mes mains tout en douceur sur son torse. Quitte a l’avoir replacé autant que ca me soit utile et là, c’est bien mon intention, le rendre utile.

Puis pas besoin de bouger, j’avais juste à venir me servir d mes propres lèvres sur lui remplaçant celles d’ombre pour venir lui faire un vrais suçon et pas une vague ébauche de sussions. J’avais déjà put constater qu’il aimait ça puis, ça montrait aussi qu’il m’appartient donc je fais d’une pierre … Bref, j’ai donc déposer un suçon sur son torse même si le mouvement ne m’as pas facilité la tache, juste avant de m’atteler a un autre jeu : taquinons le tétons, mordillement, petite caresse ou juste un passage de langue, je m’amusait sur ce pauvre point qui prenait pour l’autre et d’un coup, au moment ou l’envie m’en prenais, attendais qu’il monte pour venir donner un coup de bassin bien plus violent par moi-même. C’est la mais qui l’embêtais plus tôt qui revint a la charge pour jouer de son habileté sur le membre d’Elias comme ça, il pourrait être ravi, taquiner de tous les cotés et par moi sans triche ! Enfin presque.

Je sentais les ombres bouger en moi pendant que je remuais toujours sur Daeron. À vrai dire, j'avais un peu de mal à conserver des mouvements aussi profond et réguliers que je l'aurais voulu. C'était trop dur de me concentrer. Et puis je sentis la main de Daeron caresser mon torse, ce qui me fit frissonner. Bientôt se sont ses lèvres que je sens, ce qui me fait lâcher un long gémissement quand il lui prend l'envie de me faire un suçon. J'adore l'idée de porter sa marque ! Je tiens énormément au collier qu'il m'a offert, mais l'idée de me retrouver couvert de suçons m'excite énormément...

Daeron s'en prend finalement à l'un de mes téton, s'acharnant tellement dessus que j'en tremblais. Puis brusquement, il vint me donner un violent coup de bassin qui m'arracha un cri, me faisant courber le dos alors qu'il bougeait en moi. Je parvenais tout juste à me remettre à respirer quand je sentis sa main s'en prendre à ma virilité, ce qui me fit hoqueter de surprise. Ma bouche resta entre-ouverte à la recherche d'air, j'eus vaguement un vertige l'espace d'un instant avant de me reprendre. Évidemment, j'étais plus que ravis de ses traitements ! Le sentir s'occuper lui-même de moi comme ça, sans user de ses ombres me plaisait tout autant que de pouvoir être face à lui.

Ma joue s'est posée sur son épaule, et j'y restais un instant haletant, gémissant, avant que je vienne attaquer son cou en décalant simplement mon visage. Je passais ma langue avec désir sur sa peau fraîche, l'embrassant sans relâche, le mordillant. J'aurais voulu pouvoir marquer sa peau moi aussi, mais j'avais tellement de mal à respirer, et j'étais tellement secoué que ça me paraissait impossible. Je remontais lentement son cou, le parcourant de ma langue jusqu'à parvenir à son oreille que je me mis à taquiner en gémissant. Je voulais le sentir encore et encore...

Quel cruel manque d’endurance, j’en aurais presque envie de rire alors que je peux voir le p’tit poisson qui ralenti son activité. Puis viennes les moments ou je m’occupe personnellement de lui et constate assez facilement qu’il apprécie, c’est un peu trop facile pour moi mais son manque de rythme me donnera une bonne excuse pour le punir et changer une fois de plus les règles. J’entends un nombre incalculable de gémissements mais celui qui le quitte quand enfin je m’occupe de lui me fais quand même sourire.

Puis le délicieux et brutal mouvement de mon bassin qui me fait presque autant plaisir qu’à lui si j’en crois le cri qui quitte ses lèvres, se fait des plus intéressants alors que je continue quand même de jouer, par contre le fait est que lorsqu’il vient se poser contre mon épaule son rythme ralenti de nouveau et là c’est un peu trop lent, un peu beaucoup même. J’espère pour lui qu’il ne veut pas s’essayé au même genre de jeu que celui auquel je m’atèle depuis tout à l’heur en se posant comme ça, les suçons n’ont pas leurs place sur moi et me donnent un air beaucoup moins sérieux quand j’essaie de faire peur a quelqu’un.

Je poursuivais un moment le laissant jouer jusqu’à mon oreille puis, vint le faire tourner pour qu’il repasse dessous en quittant complément son corps.

-Tu perds en endurance … Quel manque d’entrainement !

Mes ombres elles ne le laissant pas et reprennent comme dans le désert, le poussant encore et encore à tenir en poursuivant le même genre de jeu que celui que je pratiquais pendent que je me repose un petit peu.

-L’endurance ce travail petit jouet !

Et je compte bien la travailler, ou plutôt laisser mes ombres le faire pendent que j’attends qu’il soit complètement hors limites.

-Es tu trop fatigué pour jouet avec moi maintenant ?

Mais contrairement a ce qui c’est passer dans le désert, je ne laisse pas son corps au repos après ca et viens dévorer son cou avant de reprendre ma place en lui m’incrustant dans la partie sans grande délicatesse.

-Voyons tout de suite si tu es une si mauvaise catin.

Comme à son habitude, Daeron se lassa assez vite de cette façon de faire, et je me retrouvais soudainement sous lui. C'est pas vraiment ça qui me dérangeait, puisque j'adore le voir me surplomber. Nan, ce qui m'emmerdait, c'est qu'il s'était retiré. Encore. Et puis quoi je manque d'endurance ?! Certainement pas ! J'avais vaguement grogné en guise de réponse, mais disons que ses ombres n'aidaient pas trop à ma concentration, alors je laissais de côté le fait que je sois vexé pour profiter de ces sensations, même si j'avais franchement un mauvais pressentiment. Daeron se la coule douce à côté de moi pendant que ses ombres s'appliquent à me faire venir encore et encore. J'ai comme une sensation de déjà vu...

Il m'emmerde avec son endurance ! Je doute qu'il trouve beaucoup de monde capable d'endurer autant que moi ! Ses ombres continuaient de s'acharner sur moi encore et encore, et mes gémissements de plaisir s'étaient lentement mués en protestations et autres gémissements de douleur. Le temps passait, et j'en pouvais plus, tout mon corps était douloureux, et j'avais encore en moi le souvenir de ce qu'il s'était passé dans le désert. Je voulais que ça s'arrête. Je m'étais mis à me débattre, mais les ombres qui me tenaient m'empêchaient de faire quoi que ce soit. Je tirais sur mes bras, haletant, rien à faire. Sérieusement, je commençais à penser à user de mes pouvoirs pour l'arrêter.

Daeron revint vers moi, ramenant mon attention à lui. Jouer avec lui ? Putain de connard... ! Quand il entra en moi, ce fut un cri de douleur qui l'accueillit, et tout mon corps se crispa. J'aurais voulu me débattre, lui demander d'arrêter, mais ce ne sont pas ses ombres, c'est Daeron que j'ai en moi, et il me teste. Alors je ravalais mes protestations, mais ne parvenais pas à arrêter tous mes sursaut qui me faisaient essayer de me libérer. Il compte me pousser à bout jusqu'à quel point cette fois ? Il veut que je m'évanouisse encore ? Je serrais les dents, essayant de me retenir de gémir, et mon visage n'exprimait que de la douleur. Je sais pas depuis combien d'heures il a commencé à me labourer, mais je ne ressens plus le moindre plaisir. Au bout d'un moment je ne tiens plus, et décrispe ma mâchoire, ouvrant la bouche à la recherche d'air, mes gémissements s'échappant à nouveau. Tout mon corps était crispé, et j'avais les larmes au yeux. J'espérais qu'il terminerait vite et qu'il arrête après ça.

Ah, la douce peur que je lis sur son visage quand enfin il prend conscience que l’idée reste la même que celle dans le désert, enfin presque la même mais ca il ne peut pas le savoir et c’est presque jouïssif de le voir inquiet pour ca. Bien sur le travail se poursuit et de plaisir on passe a douleur comme l’autre fois, c’est précisément ce moment que je choisis pour me joindre a la partie. Parfois je me demande ce qui lui plaît tant chez moi mais peut importe, cette fois, je m’amuse a le torturé encore un peu, c’est plus rigolo.

Son cri est un véritable plaisir, équivalent a ceux du village terrasser un peu plus tôt en sensation mais avec ce petit plus que je ne vais pas avoir à abrégé ses souffrances. Je commençais a peine la mise en bouche quand son délicieux visage crispé par la douleur me fit un effet phénoménale, je crois que c’est ce que j’aime le plus chez les vivants, leurs capacité a montré de la douleur et de la peur, contrairement a Death, Elias était plein de ses petites réactions que j’aime a voir sur mes proies, et je ne m’en lasse pas. J’observais son air délicieux qui me donnait presque plus envie de lui que quand il cherchait à m’exciter d’une autre façon et par réflexe, quand des larmes vinrent se formé a ses yeux, je le ramenais a moi pour venir les récupéré en douceur d’une main en laissant toutes mes ombres s’évaporée adoucir le soutient au sol.

Je le gardais relever tout contre moi et décidais de satisfaire son besoin de repose en le déposant de nouveau en douceur sur le matelas d’ombre avant de le quitter de nouveau et de venir chercher ses lèvres. Là par contre, je préfère les morts, au moins ils n’ont pas un point de non retour que je frôle, quoi que … Frôler le point de non retour est une sensation excitante, je me demande toujours si j’ai fini par le dépasser mais peut importe, pour le moment je me contente de l’embrasser libérant toute l’énergie que j’ai emmagasiner pour qu’il se serve avant de m’allonger de mon coté, tournant le dos pour me laisser simplement sombré et enfin trouver le repos que je cherchais.

Je sentais que Daeron adorait me voir dans cet état. Je savais bien à quel point il appréciait la situation. C'est peut être justement pour ça que je me laissais faire, alors que j'aurais très bien pu m'échapper si j'en avais réellement eu l'envie. Les larmes commencèrent à couler de mes yeux, et là, Daeron eu une réaction à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Je me sentis ramené contre lui, et sa main vint récupérer les perles salées sur mes joues. Ses ombres s'arrêtèrent enfin, mais j'avais vraiment du mal à respirer.

Je me sentais libre de mes mouvements, et Daeron me gardait tout contre lui. J'aurais voulu m'accrocher à lui, mais je n'arrivais même plus à bouger les bras, je me sentais épuisé. Il me déposa tout doucement sur le matelas, se retirant à son tour de moi, puis provoqua à nouveau ma surprise en posant ses lèvres sur les miennes. Je m'empressais de répondre au baiser, hoquetant de douleur, autant parce que je voyais ça comme une récompense que parce que son énergie m'aiderait à me sentir physiquement un peu mieux. Enfin, à récupérer plus vite tout du moins. J'aspirais son énergie jusqu'à me sentir satisfait, et Daeron s'allongea simplement de son côté en me tournant le dos.

Tout mon corps tremblait, et je haletais toujours. Cette sensation d'étouffement ne voulait pas partir, je la trouvais atroce. Mais le pire, c'était la douleur. Là je regrettais de ne pas avoir perdu connaissance, peu importe à quel point c'était humiliant, ça m'aurait laissé un peu de répit. J'essayais de ne pas faire trop de bruit pour qu'en plus Daeron ne vienne me faire des reproches, mais c'était pas évident. J'avais besoin d'eau, mais je me sentais totalement incapable de bouger. Cette fois, même me traîner jusqu'à sa salle de bain me paraissait impossible.

J'avais finit par faire une invocation, laissant le cercle se dessiner sous mon dos pour que la lumière ne dérange pas Daeron, et sitôt mon golem apparut, je me laissais englober dedans. Je ne peux pas absorber cette eau, mais elle me permet au moins de canaliser l'énergie à laquelle j'ai beaucoup moins accès sous ma forme terrestre. Enfermé dans ma bulle d'eau, j'avais prit ma forme semi aquatique, restant éveillé un long moment, avant d'enfin parvenir à m'endormir malgré la douleur.

Moment de faiblesse ou juste la flemme de continuer, je commence a fatigué là en fait j’ai envie de me reposer. Du coup, j’ai beau sentir ca surprise, je ne prends pas le temps de me justifier et m’allonge simplement a coté écoutant son souffle saccadé qui ne reviens pas a la normale même avec un peu de temps et m’amuse de l’entendre avant de m’endormir.

Je me laissais sombré sans plus faire vraiment attention, sachant que quand bien même il le souhaiterais il ne pourrait rien me faire puisqu’il est incapable de bouger de nouveau  après ca donc j’ai fini par dormir enfin ! Le lendemain, je me suis lever et ai bien rigolé de le voir dans un bonhomme d’eau avant de sortir de mon lit pour m’habillé. Pas besoin de die que je pars, il le remarquera bien, moi je me tire et je vais tranquillement bosser un peu et m’amuser surtout.