Je venais tout juste de rentré sur la presque ile après mon petit voyage hors continuant et puis surtout je venais de me faire jeter par le poisson alors que je lui ai sauvé les miches de la colère de Sword. Bref au final je n’ai pas du tout envie de rester à la maison mais plus de passer ma colère et je suis partie simplement de chez moi après avoir récupéré une veste en cuire et un pantalon large et noire. Avec tout ça j’ai mis des basquettes noires et rouge et un haut rouge sang.

Je pensais d’abord aller en ville mais étant donner que la nuit était déjà avancer j’ai préféré me perdre dans une grotte ou j’ai put m’allonger sur un rocher que j’ai légèrement enrobé d’une brume d’ombre, douce comme du coton et délicieusement moelleuse.

Je suis resté installer comme sa un moment reposant tranquillement mon aspect retrouver pour finalement sentir une présence qui me fit légèrement tiqué. Je suis pas trop d’humeur à taquiner pour le moment mais en voyant arriver le poilu déplumé, là je ne peux pas laisser passer sa, non seulement il tente de me snobé mais en plus sous la forme que je voulais voir.

-T’étais mieux à poil.

Trop tentant bien que trop facile mais je n’allais pas non plus m’embêter puis il n’est vraiment pas tombé dans un bon jour, je ne m’embête même pas je garde mon ras sur mes yeux en « fermant » la sortie d’un mur d’ombre qui bien que fin et laissant vision sur l’extérieur ne laisse pas l’inverse se faire.

Pas envie d’être gentil, je suis le croque mitaine merde ! On m’a craint durant des siècles et j’ai un peu tendance à me ramollir là. Du coup je me suis juste légèrement redresser pour regarder le p’tit toutou sur deux pates, en analysant directement ses peurs derrière mes lunettes. Pas bien difficile même comme sa de ne pas raté ce qu’il transporte et je me suis juste rallongé une fois renseigner en attendant.

-Oh le pauvre petit candide est malade, je devrais peut être lui rendre visite je suis d’humeur à chasser … la maladie.

Oh mais c’est qu’il a l’air en colère le p’tit toutou, s’était limite jouissif à voir. Enfin jusqu’à sentir une légère augmentation de ses pouvoirs et surtout de la chaleur. Sa aurait put être discret si j’avais pas été moi mais manque de bol c’est précisément ce que j’étais, puis pas trop d’humeur a me faire bousiller les yeux avec sa j’ai donc juste laisser un clone d’ombre à ma place répandant tout autour de nous une bulle d’ombre qui cachait ma présence .

J’observais ensuite son attaque fortifiant autant ma bulle qu’il pouvait l’abimé avec son petit éclaire et souriant à ses gestes. Ah le langage des signes, quel vieux truc absolument lassant, je préfère de loin les cris aux gesticulations en tout genre, enfin bon on verra bien s’il peut emmètre des sons je sens d’ailleurs que je vais très vite m’y attelé. Je laissais donc courir dans toute ma bulle une réponse :

-Même pas en rêve.

Et voilà sa continue il se fâche, non mais franchement si ça offre trop de facilité c’est même plus drôle. Enfin bon je profite d’être à l’ombre et dans une bulle pour nous faire reculer dans la grotte histoire que le soleil ne soit pas une gêne.

-Ou quoi ?

J’ai juste eut à passer son pire cauchemar sur ma bulle, partout dans diverses situations ou son cher maitre trouvait la mort, suicide, meurtre, poison fin douloureuse et lente ou violente et lente parfois même rapide.

-Je fais ce qui me plaît

Au final j’ai créé une barre d’ombre qui est venu frapper directement ses jambes pour le faire tomber à genoux, de mon coté je me suis installé dans un coin les bras croisé et pas de sourire sur le visage juste un air satisfait.

-Et celui qui m’en empêchera n’est pas né l’poilu.

Que de visions enchanteresses, des meurtres, des meurtres encore et toujours les mêmes meurtres c’est absolument délicieux à voir pour moi. Bon, je présume que pour lui beaucoup moins mais qui lui a dit de me provoqué aussi ? Encore pire quand je suis de mauvais poil, puis le caniche devrait savoir ou sont les limites de sa force et de la mienne. Enfin quelques images et le voilà déjà a genoux à se torturé pour ne plus souffrir mais tant que je n’aurais pas décidé qu’il en soit autrement tu vas souffrir mon p’tit caniche.

Après le premier coup de jus j’étais sorti de la sphère qui continuais de reculé vers les endroits que la lumière n’atteint jamais. Personnellement je ne me pleins pas trop dans le coin j’ai beaucoup de facilité avec sa et surtout sa empêche ma bulle de craqué quand lui craque son slip et l’attaque.

De mon coté la terreur de la situation me rendais de l’énergie sans apaiser ma colère, bien au contraire, plus je gagnais en puissance plus le ras le bol se faisait sentir. J’étais déjà énervé cotre Elias mais Sword n’était pas en reste pour avoir attaqué quand a Nessa, puisque je ne peux pas me fâché contre elle je suis en colère contre es directeurs qui lui ont rendu sa forme en mon absence. Une fois sûr de mon effet, je me suis réintroduit dans la bulle gardant toujours une protection, une combi d’ombre m’évitant les coups de jus sait ont jamais.

-Que les Hommes peuvent être idiot, ils s’infligent seuls des tortures qui n’ont pas lieux d’être … c’est ridicule.

Je ne fais que montré au grand jour ce qui les ronge de l’intérieur et parfois je trouve ça intéressant mais souvent c’est inutile, ils seraient capables de passer outre avec un petit effort sur eux même. Au final j’ai dégagé rapidement la vision qui trônait sous les yeux de Rem, venant gratouiller derrière ses oreilles en douceur.

-Soit un bon toutou et j’arrêterais de te torturé.

Je sais déjà qu’il le sera pas mais faut bien que j’offre l’option histoire de faire semblant.

Honnêtement, je me moque complètement que les visions que j’imposais au toutou ne lui plaise pas, il faut savoir faire avec et là en l’occurrence c’est précisément ce que je compte faire j’en ai assez d’être gentil, je devrais certainement faire un rappel pour certains, e ne suis pas le gentil petit toutou de quelqu’un moi, je suis le croque mitaine, je suis le méchant de l’histoire, celui qu’on attrape pas hélas et qui continue à jouer encore et toujours sans chercher le moins du monde à avoir la paix de l’âme.

J’ai laisser sa colère se déchainer sur un double d’ombre et en ai même créé d’autre, je me moque bien moi qu’il s’épuise et vide complètement ses forces, je connais sa pire crainte maintenant, je suis d’ailleurs sûr de pouvoir lui faire subir bien pire encore que voir son maitre mourir mais pour ça il va d’abord falloir que je m’assure qu’il retienne bien qui est le gentil dans l’histoire et qui est celui qui fera de toute façon ce qu’il veut et encore plus quand il essaie de l’en empêcher comme il le fait là.

Je l’ai laisser épuisé toute ses réserves, m’assurant que son énergie soit au plus bas avant que les visions ne recommence, cette fois je ne me fatiguerais pas a inventer des meurtres, plutôt à lui montré précisément ce qui va arriver à son maitre, la façon dont je compte l’avoir à ma merci et sans même prendre le temps de m’embêter avec les états d’âmes du cabot, se serais dommage qu’il rate le spectacle lui qui restera ici à tenter de retrouver la force de bouger.

- Vous avez tendance à oublier à qui vous parlez… c’est d’un ennui.

Non seulement nous ne sommes plus sur Esperanza mais en plus je compte bien me faire un devoir de revenir à mon ancien moi, celui qu’on ne provoquait surtout pas de peur des représailles, celui qui faisais tremblé par sa simple présence !

-Bon, ce n’est pas tout ça mais ton maitre va m’attendre, serais dommage que je perde du temps avec toi pas vrai ? Quoi que…

J’ai directement été le prendre à la gorge, le soulevant de terre d’un air complètement neutre en l’observant de haut en bas avant de le balancer contre l’un des murs d’ombre accolé à celui de la grotte et imitant à la perfection chacune de ses formes. Là cette fois je suis lassé, j’en ai assez d’être gentil, de me retenir, pauvre toutou il va subir mon gourou et avant tout, c’est les murs eux même qui s’en prennent à lui, venant le capturé par des liens sur ses poignets et le monté contre le mur alors que les images continues de défilé sur les murs en face, mêlant meurtre et sexe, absolument délicieux come petit montage j’adore. De mon coté je me fais juste un trône d’ombre et laisse les liens se faire plaisir commençant par se rependre doucement sous chacun de ses vêtements, glissant en douceur sur sa peau et entourant ses vrais, son cou, passant sur son torse et glissant près de sa virilité de toutou d’un coté en venant ensuite s’enrouler à une jambe tandis que derrière il garde plus ou moins les mêmes mais qui s’infiltre partout en lui, de vrais petits intrus qui se divisent pour se rependre à la fois en dedans et en dehors. Pas trop loin dedans je ne voudrais pas le tuer, juste le torturé un peu.

-Si tu préfère, je peux toujours aller le voir lui pour poursuivre la partie…

J’attends juste qu’il réalise ce qui lui arrive pour faire prendre en volume à mes liens, bon pour la partie externe ça n’as pas grande importance, sauf pour celle qui gêne légèrement sa respiration, en revanche pour ce qui est entré je devine déjà que ça aura tout un intérêt là. Puis une fois qu’ils sont devenus des plus gênants, j’ai juste à lever un doigt pour qu’ils commencent progressivement à se couvrir de pique, d’abords ceux des mains, puis les poignets, les bras, je saute la nuque je tiens trop à le voir vivre, ceux du torse suivent, puis le bassin et je fais une petite pause

-Qu’en dis tu ? Préfère tu que je poursuive avec toi ?

Un léger sourire traverse mon visage et que ceux interne se forment, et la course aux piquants se poursuit sur les jambes, passant tout près de sa virilité sans la transpercé pour autant, je préfère encore garder cette partie intacte l’inverse serais dommage pas vrai ?

-Ou que je vois si ton maître est meilleur à ce jeu ?

Je le laisse juste tombé au sol sans rien lui enlever de ses liens mais le pauvre petit est muet, mieux vaut qu’il est les mains libres pour me répondre, de toute façon quelque soit son choix s ne changera pas grand-chose au final.

-Si tu es un gentil chien, et seulement à cette condition, je reste avec toi et je laisse ton maître se remettre de son mal.

Cruel dilemme non ? pourtant il m'amuse beaucoup moi, une proposition à l'ancienne, réaliste et sincère, j’attendrais u'il se remette pour m'introduire chez lui.

-Alors dis moi, qu'est ce qui passera d'abord, ton bien être ou le siens ?

La vision était divertissante, a douleur que je pouvais lire un peu partout sur le visage du petit tout m’amusait profondément et je profitais de son air encore fier alors qu’il se faisait littéralement défoncé de l’intérieur par mes ombres m’amusait réellement. Je ne perdais aucune de ses mimiques en restant sur mon trône et ai attendu simplement qu’il ai fini de subir pour voir ce qu’il avait à me dire et là, sans surprise pour le coup, il se rends à moitié …

-Je l’en tire toujours l’toutou c’est ce qui nous différencie.

Je me suis levé, suis venu à lui, j’ai glissé les doigts sous son menton, l’ai relever en douceur.

-Je n’ai aucune conscience qui puisse me faire payé ce que je fais et le mal est ma nature, tu ne peux rien contre moi et je compte bien te le prouver.

J’ai juste tappoter sa tête avant de laisser des serpentins d’ombre venir le prendre là, sur le sol de la grotte, sauvagement d’abord pensant que j’étais entrain de m’éloigner mai ils se calmèrent peu à peu, cherchant à lui faire éprouver la honte d’avoir pris du plaisir dans un viol auquel je n’aurais même pas participé.

-Profite le show est offert par la maison.

Deux bonhommes d’ombres ont pris forme devant et derrière lui, un le prenant en profondeur et mordillant son dos en venant titiller les zones érogènes de son corps humain et l’autre le prenant en bouche par devant. Je compte bien l’empêcher de relever les yeux sur moi comme il l’a fait tout à l’heure, puis pour occuper ses lèves, un autre un peu difforme est venu se créé sur le dos de mon bonhomme de devant, venant mordiller son torse et le titiller en le caressant un peu partout.

- Amuse-toi bien, j’ai ton maitre à voir.

Et à visité surtout, je suis sorti de ma bulle, allant chercher le sac de médicament, puis je suis part pour la maison de ce cher Stephan, je tiens toujours mes promesses le toutou et ton insolence va te couter cher.