Lorsque j’avais été en forêt la dernière fois j’avais eut la mauvaise surprise de croiser mon … le monsieur que les directeurs avaient désigné pour bridé mon imagination. Je doute que ce soit à moi qu’ils a moi qu’ils aient vraiment besoin d’en appliqué un mais je suppose que je n’ai pas vraiment le choix, du coup je suis allé voir les directeurs… non en fait j’ai attendu que les directeurs soient de sorti, je suis ensuite allé voir la jolie Nessa et me suis assise à son bureau en lui demandant le dossier du monsieur Onyx. Je sais que c’est un peu hors des règles mais j’ai des arguments de choc, du genre :

-Bien sur je n’emploierais pas la force pour le recevoir, je me contenterais de te laisser intervenir la prochaine fois qu’Elias aura des ennuis, tu l’aime tellement.

J’ai donc pus accéder au dossier ave en plus un léger rire de la part de la demoiselle et l’ai photocopié pour l’emmener chez moi, ça m’a fait de la lecture pour le soir. Là, juste avant de rentré j’ai été chercher Elias, je lui ai exposer les faits et l’ai invité gentiment à venir en ma compagnie travailler sur mon projet du lendemain. Le soir venu, nous avons pris un verre, de l’eau pour moi et pour lui ce qu’il à voulu et nous avons travaillé très dur après bien sur avoir lu le dossier. Dedans, j’ai put y découvrir pleins de choses qui ne manquaient pas du tout d’intérêt … c’est qu’il se présente sous un faux nom et après il veut que je suive ses règles … quel idée.

Bien sur, j’ai passé ma soirée à lire, faisant attention aux détails de ce dossier et aussi préparant mon arriver du lendemain à ses cours, une tenue toute particulière que je n’ai encore jamais mise. Je suis allée me couchée assez tard du coup, puis autant dire que je n’ai pas eut envie de me lever trop tôt, je suis donc resté à trainer, j’ai pris un bain, un long bain à la rose, histoire de me détendre avant d’aller jouer le bout de viande. Ensuite, je sis sortie, j’ai été me posée devant un miroir et me suis fait une jolie demie queue dans laquelle j’ai lissé des perles vertes. J’ai été passé ma tenue du jour, choisie parmi beaucoup d’autre juste pour l’occasion.

Ma tenue pouvais paraître simple et très, très légère, pourtant elle couvre plus de peau que celle que je portais à notre première rencontre, seulement elle la couvrait à des endroits très différents. J’ai ensuite mis une goutte de parfum à la rose, très légère, juste pour ne rien perdre des délicieux moments passés dans mon bain et je me suis enfin décider à y aller, prenant quand même le dossier, un carnet et un crayon au cas où.

Là je suis sortie, passant d’abord par la plage pour présenter à mon acolyte super vilain l’expérience à son stade final, puis je suis allé à sa salle, me moquant bien de la réaction des élèves sur mon passage. C’est tout naturellement que j’ai frappé à la porte et suivit la politesse attendant qu’il m’invite à entré pour le faire. Je suis allé à son bureau en ignorant complètement ses élèves et ai lancé un :

-Bonjour, professeur

Avant de m’assoir dans sa chaise (pasque oui, j’ai envie de la provoqué encore un peu plus). Je n’ai aucunement prêter attention aux réactions de ses élèves, je me chargerais plus tard de rendre la concentration un peu plus difficile encore, pour le moment je tiens à ce que ce cher Néfir soit le premier que j’embête. J’ai déposé son dossier sur son bureau et ai juste croisé les jambes en l’observant.

Rien qu’en entrant j’aurais put m’amuser, sentir le changement d’atmosphère m’avais déranger, d’autant que je subis étant empathe le ressenti de toutes leurs émotions, même si je les repousse, je ne suis pas encore assez en phase avec ce pouvoir pour géré ça complètement. Enfin juste pour le prof qui se figeât en me voyant ça en valait la peine, le principe de l’attaque était son coté homme et j’étais certaine d’avoir fait pour

Honnêtement, ce n’est pas plus mal qu’il soit mon tuteur, je m’amuse beaucoup là à le provoqué, d’autant qu’il se bat pour rester lui-même alors qu’un fin sourire se traçais sur mes lèvres. J’ai sagement écouté ce qu’il avait à me dire, profitant de chacune de ses réprimande pour plonger dans ses yeux, ne perdant pas un mot pour autant, ce serais trop facile.

Je me doutais qu’il n’allait pas apprécier le dossier mais honnêtement, comme ça nous sommes quitte, lui aura lu le miens j’aurais lu le siens, puis franchement sa remarque … je ne vole pas et j’ai bien eut raison de le lire si on compte que le monsieur ne donne même pas son véritable nom. Quand enfin les réprimandes se sont achevées, j’ai put reprendre enfin.

-Hélas très cher professeur, comme vous le remarquerez, ma tenue est descente, elle ne va donc pas à l’encontre du règlement interne de cette école et puisque je suis dans l’obligation de venir, je ne compte pas en plus changer de style vestimentaire.

Ensuite, et là c’est encore pour provoquer que j’ai joué.

-Quand à votre dossier elder, je ne l’ai pas volé, on me l’a gentiment photocopié et je viens même vous rendre la copie. Pour ce qui est de recevoir des informations contenues dans un dossier et que vous trouvez particulièrement impoli …

Je l’ai regardé avec un air dubitatif. Puis enfin, viens la suite qui va être intéressante…

-Je ne suis ici que pour obéir a vos … ordres

J’ai beau être toute petite, dans cette position est facilement faible, je me suis donc fait tout un plaisir d me lever, venant du coup vu la pose tout près de monsieur je recule pour une caresse et ai mis la main sur son épaule pour le forcer à se tenir dans la même pose, sans utiliser ma force bien sur mais être brusque avec une jeune femme est contre les règles de courtoisie. J’ai juste été soufflé dans un murmure et d’une voix des plus sensuelles à son oreille :

-Très cher Néfir.

Je l’ai relâché simplement et suis passe juste à coté de lui, venant le frôler sur tout le haut du dos de mes doigts fins, sans le faire exprès bien sûr. Avant d’aller au milieu de la salle, puisque monsieur tiens à ce que j’y aille, autant faire les choses bien et lui montré comme il est dangereux de me forcé à venir en cours. Je me suis assise entre deux garçons, sachant trop bien ce que ça allait entrainer et surtout les gestes que je devrais intercepter mais s’était beaucoup trop tentant. Puis j’ai déposé mon carnet et mon prenant mon crayon prête à noté tout et n’importe quoi juste pour pousser la provocation pus loin mais j’attends pour ça que le cours reprenne.

C’est marrant monsieur je veux paraitre impassible, qui prend une bonne bouffée de parfum a peine ais je approcher de lui. Mais ça ne me dérange pas, bien au contraire, j’ai beaucoup apprécié de sentir son souffle pendant que je lui parlais et surtout le contact physique ma branchais directement sur ses ressentis et j’ai beaucoup aimer constater qu’il n’étais pas si froid qu’il voulait bien le paraitre.

-Je vais garder Néfir, les noms inventés et les surnoms ne sont pas de rigueur entre nous, n’est ce pas ?

Je garde le véritable no, je préfère, qui sis qui j’appellerais en disant Onyx, pour le moment Néfir me convient mieux mais je suppose que plus tard, quand les élèves ne seront plus là je vais remettre nos chances à égalité.

Une fois installé j’avais juste souris. Le voilà qui me suis de près pourtant je ne compte pas m’arrêter là et il devrait le savoir, même s’il me foudroie du regard je peux bien faire ce que je veux et étant donner que l’heure va bientôt toucher a sa fin je tiens à ce qu’il ait droit à l’apothéose, je veux éveiller ses sens autant que je vais éveiller sacolère.

Puisque ce monsieur tiens à jouer encore plus loin dans la cours, autant directement quitte les bancs, je suis une assistante après tout. J’ai donc juste attendu qu’un des messieurs tout près exprime des difficultés a se concentré pour me rapprocher et venir ... L’aider. Bien sur j’y suis allé en douceur, venant guider sa mains sur sa feuille, murmuré les réponses à son oreille, il ne faut pas gêner le cours voyons. Puis comme une évidence ce qui devait s’éveiller chez le jeune home s’éveillât et j’attendais simplement que mon cher tuteur le remarque.

J’étais retourné à mes propres écritures, juste pour le faire un peu plus chier et me pencher correctement en avant, ce serais dommage que le reste de la classe ne profite pas pour une fois que je me donne du mal…

Il tint longtemps cet idiot, presque trop pour moi, j’allais renoncer à mon idée, vraiment pas envie de toucher n’importe qui, d’autant que c’est ce que sont la plupart de ses élèves à mes yeux, n’importe qui… bref j’allais renoncer et retourner m’assoir près de lui mais avant que je ne le fasse, il a fini par se rendre et j’avoue que là j’ai été ravie.

Je l’ai regardé faire sortir tout le monde et suis retourné à son bureau en attendant que tout le monde sorte. Je n’ai pas vraiment envie de porter sa veste mais j’avoue que là j’ai un peu mal a la tête avec tout ça donc au final je lui en suis reconnaissante et pose juste les mains dessus pour la fermé doucement.

-En réalité, impressionnée, même pour un ancien une telle force de caractère reste impressionnante.

Je doute que tout le monde ai cherché à résister comme lui, pourtant j’admire quand même il est sympas et plutôt chou au fond … tout au fond.

-Tant que vous tenterez de me forcer à faire ce genre de chose j’agirais de la même manière, peu importe à quel point les étudiants me répugnent, vous renoncerez bien avant moi.

Je n’ai aucune obligation à venir, tout au plus je dois veiller à ne pas faire de bêtise pour qu’il ne soit pas embêter mais pour ce qui est du reste c’est inutile de vouloir me garder sous la main, surtout que l français et moi … j’en sais tout juste ce que je dois en savoir et ça me conviens parfaitement. Je suis retourné m’assoir sur son bureau observant mon petit tuteur qui venait de toute évidence de découvrir le point faible de sa méthode.

-Je suis pour l’égalité étant donner que vous et moi avons le même niveau d’importance ici, puisque je vais vous appeler Néfir…

Jusqu’ici je n’ai pas été très sympas avec lui je sais, ça n’est pas dans mon habitude mais je ne suis pas fan des tuteurs, je pense qu’il l’a bien compris.

-Je vous invite à m’appeler Miley.

J’ai retiré la veste quand même et lui ai rendu.

-Merci mais … évité de me vouvoyer, je suis encore jeune, moi.

J’aime bien le prof, non seulement il se sent obliger de me protéger mais en plus… Je l’ai vu presque triste et la sensation qu’il respire me déchirerais presque le cœur … je déteste quand les gens s’autorisent à ressentir ce genre de choses. J’ai juste sagement pris mon téléphone pour un petit échange de message pendant qu’il continuait à me réprimander. J’aime beaucoup sa façon de dire la chose, « je voulais créer un lien » si il avait juste dis ça au lieu de je suis votre tuteur et puisqu’on va devoir se supporter il va falloir qu’on crée un lien, notre relation aurait sans doute débuté différemment.

J’ai observé ensuite ses réactions, la façon dont il triturait son poignet, le tout en écoutant tout ce qu’il avait à me dire. De toute façon il le sait pas mais je ne vais pas être seule à partir, ses élèves sont prévenu par Angel, qui à leur numéro de sa période gamin, votre prof pas là, pas d’élève pas de cours et Angel ne seras pas inquiété pour une fausse info que j’aurais fait passer pour me « vengé » d’avoir un tuteur. Le plan parfait.

-Je ne vous mordrais pas.

J’ai autre chose à faire puis dans ces circonstances ça n’est pas non plus ce qu’il y a de plus malin à faire, il c’est rendu pourquoi j’insisterais encore.

-Vous voulez qu’on ait un lien ?

J’ai décroché le morceau de soie grise qui trônait sur mes épaules, je l’ai récupéré et sui aller derrière le grand dragon.

-Alors, faites moi confiance… je sais c’est difficile mais c’est le seul moyen.

J’ai passé le tissus sur ses yeux et l’ai délicatement attaché dans lui faire mal ou le serré trop fort. Je suis passée de nouveau devant lui, ai laissé ses papiers sur le bureau et ai reposer sa veste sur ses mains histoire qu'il la prenne avec lui au cas ou. J'ai ensuite récupéré une de ses mains dans la mienne pour le guider avec moi. Je ne tiens pas à ce qu’il se débatte, genre non mais j’ai cours du coup je l’ai emmené sagement, je n’y vais pas trop vite et le préviens même quand il doit baisser la tête.

Je l’ai ramener jusqu’à chez moi, le laissant juste attendre près de la maison le temps que je me change, j’ai passer un petit haut en laine, une jupette blanche et des bottines sans talon noires. J’ai aussi pris de quoi boire, et grignoter que j’ai mis dans mon sac, ce midi pic nique.  Puis je suis ressortie, je me sens quand même mieux comme ça. J’ai repris ça main :

-On est plus très loin.

Là je l’ai guidé à travers la forêt et c’est un peu plus difficile mais c’est aussi un bon test de confiance au final. Je l’ai emmené jusqu’à l’arbre ou je me perche souvent, à son pieds, j’ai fais pousser des fleures de toutes les couleurs, elles se mêlent par endroit mais forment surtout un soleil chaud et doux à l’odeur plaisante, de l’aubeline flotte dans l’air et j’évite aux autres plantes de se faire sentir pour qu’il ne soit pas submerger, déjà que moi c’est la rose un gros mélange et je le mets KO.

Je l’ai juste invité à s’assoir, déposant mon sac et me glissant de nouveau derrière lui pour défaire son bandeau.

-Je vous préviens, cet endroit est important pour moi alors pas de bêtise.

J’ai juste retiré son bandeau de soie avant d’aller m’assoir à mon tour, dans une zone ou es fleures étaient parti comme pour la sienne.

-La prochaine fois, commence par le lien, ça suffit largement.

Mais non il ne doit pas, enfin ça je lui dirais tout à l’heure, sinon il serait capable de s’arranger pou que ses cours soient reprogrammé, du coup je fais un peu attention et souris lorsqu’enfin il me laisse simplement le guider jusqu’ou je veux. Bien, une fois sur place j’ai eut droit à la promesse qu’il ne ferait pas de bêtise et ai put détacher le bandeau simplement avant d’aller m’assoir. Puisque monsieur veut un lien et me connaitre, il aurait bien meilleur chance d’y parvenir si il commençait par simplement me parlé à moi.

J’avais juste plié le tissu avec délicatesse pendant qu’il observait le coin. Mon petit repos du guerrier, quand les journées se font longues ou décevantes, je viens me réfugier ici et le décor me ramène à de doux souvenirs.

-bien sûr.

Quel question, si je le dis, il n’as rien de mauvais, je ne ressens pas le même mal qu’auprès du croque mimi ni a même sensation un peu gênante qu’avec Elias, même si je l’adore il est particulier. Enfin je n’aurais pas rejeté une créature de la nature, ce n’est pas mon genre non plus.

-De votre stature ?

Quézako ? Je ne vois pas en quoi se rendrais la demande plus dérangeante, enfin c’est le jeune femme qui m’a le plus amuser, j’ai doucement rigoler en reposant le bout de tissus.

-Je ne suis plus « une jeune femme » depuis bien longtemps.

Quand à la fin autant dire qu’en une phrase il venait de me faire a meilleure des blagues.

-Bon alors si ça peut vous rassuré, je n’ai pas plus peur de vous que des autres personnes qui rodes ici, votre stature n’éveille pas le moindre trouble en moi quand à votre âge … j’ai passé celui de considéré quelqu’un par rapport au nombre de ses années.

Sans compté que la plupart des gens âgés perdent goût aux activités amusantes pour les avoir déjà trop pratiquées.

- Pour ce qui est d’aborder les gens … j’avais remarqué Et enfin le coté pervers… je connais la nature de l’homme, c’est une constante mais j’ai aussi put constater que vous maitrisiez assez bien cet aspect de votre caractère.