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MessageSujet: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMar 15 Juil - 0:22
Invité
J'avais commencé à travailler à Esperanza depuis quelques jours. Je n'avais eu aucun problème, mis à part un humain qui avait nagé par ici. J'étais bien, je passais mes journées dans la mer à tourner autour de la presque-île, je demandais rien à personne, et personne ne venait m'emmerder. Pendant mon temps libre, quand j'acceptais de sortir de l'eau, je me baladais un peu dans l'école, totalement anonyme, on me prenait pour un élève, et je ne me faisais pas remarquer. Et pourtant, j'avais un but en tête depuis le début. Quand j'étais arrivé, on m'avait parlé de l'autre hidden déjà en service, celui qui était venu me chercher en prison après mon malaise, celui dont j'ai promis de me venger. Et depuis, je bouillonne rien à qu'à cette idée !

Évidemment, hors de question de me pointer comme ça, la bouche en cœur, coucou, je viens te tuer ! Parce que ça me mènerait uniquement à répéter la même situation que l'autre fois, et ça, il n'en est pas question ! J'avais donc passé ces derniers jours à récolter des informations sur lui, via des espions, et à réfléchir. Je savais qu'il utilisait deux forme, une aux cheveux blanc dans la journée, et l'autre noir la nuit, qui semblait beaucoup plus puissant. Lors de notre rencontre, il avait utilisé des ombres contre moi, et avait préservé ses yeux de la lumière. Donc forcément, avec toutes ces informations, j'avais tout simplement conclut que son point faible était la lumière. Et maintenant, il ne me restait plus qu'à tester.

Je trépignais d'impatience tout au long de la journée, et j'étais même prêt à me prendre une dérouillée si jamais les choses tournaient mal. J'étais en pleine forme, j'avais pompé un max d'énergie, et surtout, je m'étais procuré un projecteur portatif plutôt puissant. Pas trop quand même, parce que je sais pas la conséquence que ça va avoir. Si il meurt sur le coup, ça serait dommage, il y a peu de chance que ça arrive, mais je veux prendre le temps de jouer avec. Goûter encore à son énergie. L'air de rien, je me souvenais encore parfaitement de son goût, et bizarrement, il m'avait quelque peu obsédé. En même temps, j'avais rarement eu l'occasion de goûter à quelque chose d'aussi raffiné.

Au crépuscule, je me rendis chez lui. Une vrai maison hanté sa baraque, ça lui correspondait bien. Je savais qu'en général il dormait toute la journée, pour ne sortir que la nuit. En tout cas, je m'étais assuré qu'il y était pour le moment. Le soleil commençait à se coucher sur la mer, c'était absolument magnifique. Je m'étais habillé simplement d'un sarouel vert sombre, et d'un débardeur lâche noir, le tout me permettant de bouger très librement. J'avais accroché mes lames à ma taille dans mon dos, de façon à les attraper très facilement en cas de problème, et je tenais ma lampe à la main.

Sans ralentir le pas, j'étais venu me planter directement à sa porte, et me mis à tambouriner jusqu'à ce qu'il vienne ouvrir. Pas de doute, je le reconnaissais parfaitement ! Un mélange d'excitation et de colère me gagna lorsque je vis son visage. J'avais envie de le bouffer, et de le tuer. Sauf que l'un risquait de compromettre l'autre... Je me contentais donc de lui faire un sourire  totalement hypocrite, qui n'avait même pas pour but de le tromper.

« Salut ! Je sais pas si tu te souviens de moi, d'ailleurs je m'en fous, je suis juste là pour une petite expérience ! »

Et sans plus attendre, j'oriente la lampe auparavant cachée derrière mon dos droit vers son visage, et l'allume. J'espère que mon intuition était bonne, sinon je vais juste me taper la honte !
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMar 15 Juil - 1:19
Invité


Je vais être dans l'obligation ...

de te pété ta sale gueule



V

oilà, sa fais quelques jours que je suis parti chercher les deux gus en prison. J’avoue que après j’ai rien à foutre ans la journée, j’ai pas envie de surveiller alors j’ai repris mes petites habitudes, avec ma Nessa on sort toute la nuit mais on rentre au petit matin, juste avant le lever du soleil pour se reposer puis après on s’en fou, on vérifie que les humains sont pas entré pendent la nuit.

Du coup, je n’ai plus eu de vrais entré en conflit avec les deux taré depuis la dernière mission foireuse qu’ils m’ont confié ce qui m’arrange beaucoup je dois dire. J’ai profité de mon temps libre pendent un temps avant de commencer à me sentir légèrement … surveiller, je sais pas trop j’ai eut l’impression d’être parano ses derniers jours, chaque fois que je suis sorti de chez moi je suis tombé sur quelqu’un et on a beau dire sa a rien de réellement normal vu les heures auquel je sors. J’ai sérieusement songé à faire de ma maison un manoir hanté autant à l’intérieur qu’a l’extérieur.

Aujourd’hui ne fais pas exception, j’ai passer ma journée a dormir après une nuit bien agiter avec quelqu’un qui m’avais pas lâcher, il m’a dit même pas savoir lui-même pourquoi mais avoir ressentie besoin de me coller ce qui m’as bien casser les couilles mais bon sa m’as pas empêcher de jouer un peu avec et de la ‘torturé’ à me façon.

En rentrent j’avais passé un bas de jogging qui me tombais a la limite de ce que sa devais cacher dévoilent une bonne parti de ma personne mais sa ne me dérangeait pas particulièrement sa, puis c’est tout c’est suffisant après tout, il est aussi noir que mes cheveux. Je suis parti dormir tranquille après laissent Nessa a son sommeil, elle aussi a besoin de repos après tout, le hic c’est que je dormais bien moi quand quelqu’un est venu tambouriner a ma porte et j’avais encore la tête dans l’cul quand je suis parti ouvrir.

J’ai ouvert la porte en baillant a moitié et en me frottent la tête comme je l’aurais fait n’importe quel jour. J’avoue que quand j’ai compris qui j’avais devant ma porte j’aurais du fermé seulement c’est une prise en traitre de s’attaqué a quelqu’un au réveil. Je devais avoir un air de ‘kécécé ?’ quand il c’est mis a parler mais j’avoue que si j’avais prévu la suite j’aurais pris une arme. D’un coup j’ai senti sur mon visage une violente brulure, s’était comme si mes deux yeux s’étaient pris un bain d’acide et je reculais instinctivement portant le bras a mon visage pour le protéger de l’agression.

-nan mais quel connard !

J’avais qu’une idée a cette seconde trouver un truc pour pété sa lampe et lui exploser la tête mais j’avais rien sou la main… question de chance je suppose. J’ai quand même attraper sa lampe et je l’ai explosé sur le sol de toute la force disponible a cette heure et dans ses conditions en enchainant.

-T’as qu’sa a foutre s’pèce de thon mal baisé !

Putain l’empaffé il m’a niqué les yeux je crois que je pourrais le tuer, d’ailleurs a peine sa lampe de merde défoncer je lui ai collé une droite a lui en décoller la mâchoire et à le foutre par terre. Faut être con sérieux pour réveiller les gens pour faire des conneries comme sa merde ! En plus je m’en serais presque fais mal a la main de lui éclaté la gueule. Mais pas grave, là je suis en colère, je suis sur que c’est lui qui m’as fait suivre par ses copains là et j’en ai trop gros sur la patate pour me limité a un coup poing. Je viens m’asseoir sur lui et lui en colle d’office un autre, préparent le troisième en grondent toujours ma colère.

-J'pari qu'c'est toi qui m'as fais suivre vieux malade, connard de face d’morue mal dessalé





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Invité
MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMar 15 Juil - 21:54
Invité
Je n'avais pas voulu perdre de temps lorsqu'il avait ouvert, de peur qu'il réagisse et me vire avant que je n'ai pu allumer le projecteur. Du coup, je n'avais pas eu le temps de profiter de cet air mal réveillé, et je dois avouer que c'était plutôt marrant à voir. Je mis un instant de plus à remarquer sa tenue, et ça me plaisait. Mon coup avait totalement marché, et un grand sourire s'afficha sur mon visage. Voir son superbe corps crispé par la douleur, le voir crier et reculer, c'était terriblement plaisant. Je ressentais exactement la même excitation que lorsque je l'avais frappé à notre dernière rencontre, c'était juste bandant de l'emmerder !

Ma lampe termina explosée à mes pieds, mais je m'en fichais, j'avais déjà eu la confirmation de ce que je voulais, et cette image me satisfaisait ! Je n'avais pas l'intention de le tuer maintenant, juste vérifier son point faible. J'en savais assez pour le moment, j'aurais pu me barrer en courant avant qu'il se reprenne, mais ça n'aurait pas été aussi amusant. J'étais donc resté planté là à me marrer en entendant ses insultes, et lorsque enfin il se décida à m'en coller une, j'atterris un peu plus loin au sol, totalement mort de rire.

Je ne m'étais pas attendu à ce que la lumière lui fasse aussi mal à vrai dire. Je pense aussi que je l'ai totalement surprit. Pourtant je l'avais prévenu, et il devait s'attendre à ce que je vienne l'emmerder tôt ou tard ! Il ne s'arrête pas là, je n'ai pas vraiment le temps de me remettre de mon fou rire qu'il apparaît sur moi et me cogne sans attendre au visage. Sa main se lève à nouveau pour un troisième coup, et cette fois j'arrive à contrôler mon hilarité pour attraper son poing dans ma main avant qu'il ne m'atteigne. Donc il a remarqué mes petits espions ? Il faudrait que je m'en trouve des plus discrets à l'avenir. Profitant de son élan qui le déstabilise, je nous fais tourner de façon à me retrouver au dessus de lui.

Profitant de ce moment, j'avais frôlé sa bouche de mes lèvres pour venir goûter son énergie. Une toute petite quantité presque imperceptible me parvint, ce n'était pas un repas, juste une dégustation. Je ne pouvais pas me permettre de l'embrasser de force, il m'aurait mordu, ça je n'en doute pas ! J'étais tout émoustillé par sa délicieuse énergie, et un sourire satisfait restait affiché sur mon visage. Je retenais maintenant ses poignets au sol, j'étais moins fort que sous ma forme aquatique, mais je suis loin d'être faiblard quand même.

« Calme-toi, c'était juste pour vérifier. »

Je ferais peut être mieux de battre en retraite pour le moment, même si je ne suis pas sûr qu'il me laisse me barrer aussi facilement. Je pourrais toujours l'hypnotiser de toute façon !
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMar 15 Juil - 22:30
Invité


...


M

émo pour la prochaine fois, dès qu’on vient taper a ma porte je prends une batte. Quand sa tape c’est jamais bon de toute façon, ce qui n’ont pas une vrai bonne raison de venir ne viennes pas, ils ont peur de ma maison je crois ce qui, en temps normal, à le don de m’amuser. Là j’a plus des idées du genre si je fais entré une batte par derrière tu crois que j’peux la faire ressortir par la bouche ?

J’ai toujours mal aux yeux, j’vais pas pouvoir sortir sans lunette pendent a moins 3 jours a cause de ses connerie au poiscaille, sérieux je vais avoir l’air fin moi avec des lunettes en pleine nuit. Le pire c’est que ce con était content de son joujou, il avait un grand sourire sur son visage même après les deux premiers coups qui ne l'avaient n’avaient pas fait partir, je le vois même si c'est flou ... Toi si j’m’écoutais j’te renfermerais dans ta bulle et j’te passerais en boucle ton cauchemar, jusqu'à ce que ta salle tignasse devienne blanche et que ton visage soit complètement déformé par la peur.

Mais voilà… Je viens de me réveiller, il fait encore claire et je suis actuellement entrain d’en chier pour garder les yeux ouverts même avec la lumière alors quand il arrête mon dernier coup je suis pas vraiment capable d’utiliser plus de force pour en coller un autre et me retrouve trop rapidement en dessous ce qui ne me plais pas du tout.

-Juste pour vérifier, j’peux aussi alors, viens j’te mets dans  un bain de sel et on voit au bout de combien de temps il aura absorbé tout l’eau que t’as dans ton vilain corps

Putain de lumière de merde, obliger de me laisser faire par l’aute thon, puis surtout obliger de l’écouter pendent qu’il se marre mais bien assez vite ma colère retombe, je garde les yeux dans le vague façon après être sortie de ma maison ou il fait tout noir pour me payé une lumière dans les yeux j’ai plus trop la possibilité de voir quelque chose là. Je sens la brûlure des dernières lueurs du jour sur mon visage, elle enflamme un peu plus ma rétine et réveil la douleur mais elle a surtout un bon coté. Peu importe a quel point le soleil brille en journée, la nuit fini toujours par tombé et quand elle vient, elle porte avec elle mes pouvoirs sans aucune contrainte de force quelconque.

-Ou si non, j’t’attache par la queue a un hameçon au dessus du vide puis j’vois au bout de combien de temps y a une réaction, genre tu crève ou juste elle se détache.

Pour info, je parle absolument pas de sa queue de poisson mais plutôt de celle que j’ai sentie en m’asseyant sur lui taleur. Je suis juste impatient que la nuit tombe, que mes yeux n’ai plus a subir l’affront d’une lumière largement supportable en temps normal, quand un connard est pas venu les attaqué en traître. Pas question de le laisser fuir, après sa il mérite juste que je le ramène a sa cellule et que je l’y laisse pourrir, voir pire, je trouverais pire, j’irais directement apporter ma vengeance a domicile.

-Retire tes sales pattes de mes poignets maintenant tu vas me salir, blobfish




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Invité
MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 0:19
Invité
Il était fou de rage, et ça me faisait bien marrer, parce que c'était exactement comme moi l'autre jour. Toutes ses insultes et menaces me faisaient plutôt rire, d'autant plus que j'étais plus préoccupé par sa délicieuse énergie que je venais de goûter que par quoi que ce soit qu'il puisse me dire. Il n'apprécie pas de se retrouver immobilisé sous moi, et reste sans bouger. Je savais qu'il n'était pas calmé pour autant, mais en voyant son regard fixe, je m'étais demandé si il me voyait. Et si je lui avais irrémédiablement brûlé les yeux ? Ce serait un peu dommage. Pour un peu, je regrette que ce ne soit pas sa bouche qui ai été touché, parce qu'il peut pas s'empêcher de beugler.

Comme il ne se débattait plus tellement, j'avais rejoint ses deux poignets au-dessus de sa tête, pour les attraper d'une seule main. Une fois ma deuxième libérée, je l'ai posé sur ses yeux pour les cacher du soleil. C'était pas vraiment que je pensais à être gentil, ça m'était juste venu naturellement. Comme par pitié. Dans le fond, je savais que c'était pas cool ce que je venais de faire, et que j'aurais pas du essayer de le cramer avant d'être décidé à m'en débarrasser définitivement, mais après tout ce qu'il m'a fait chier dans la prison, j'avais pensé à l'emmerder un maximum avant.

Il ne bougeait pas, mais ses menaces ne cessaient pas. Et je compris qu'il essayait de gagner du temps, alors qu'il ne m'en restait plus beaucoup avant la tombée de la nuit. Mon sourire réapparut sur mes lèvres, il pensait pas m'avoir aussi facilement quand même ? Je ne suis pas assez stupide pour l'affronter dans ses conditions optimales, j'avais déjà fait le test, et je m'en étais prit plein la gueule. Il proteste une nouvelle fois en me disant de lâcher ses poignets, et je laisse échapper un léger rire.

« Comme tu veux. »

Je le chope par la gorge, le temps de me redresser, et le force à suivre le mouvement, puis dès qu'il se retrouve  assit, saisis son bras pour venir le lui tordre derrière son dos en me plaçant derrière lui. S'il bouge, je lui déboîte l'épaule et l'étrangle, donc il a plutôt intérêt à se tenir tranquille. Je n'ai pas franchement envie d'encore subir une de ses conneries d'ombre ou d'illusion. Je le fais se remettre debout, et le guide jusqu'au pas de sa porte. Pendant un instant, j'hésite à lui voler un peu plus d'énergie, mais après un rude effort pour me contenir, je finis par le pousser à l'ombre de sa maison, suffisamment fort pour être sûr qu'il soit bien à l’abri de la lumière, et trop déséquilibré pour se lancer à ma poursuite, mais pas assez pour qu'il risque de se blesser sur quoi que ce soit. Je ne suis pas méchant, je me contente simplement de ce que j'avais prévu. Dès que je l'ai lâché, je m'enfuis sans demander mon reste.

Je cours jusqu'à la plage, retire mes vêtements, passe mes lames, et m'enfonce loin dans la mer, là où je suis sûr d'être en sécurité avant que la nuit tombe. J'ai encore son goût en mémoire, et je meurs d'envie de le dévorer.
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MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 1:11
Invité


Vendetta


Blood Red Sandman by Lordi on Grooveshark


C

’est marrant, a force la brulure se faisait moins forte, ou plutôt elle restait la même mais j’avais l’impression de m’y faire plus facilement, la douleur insupportable se faisait de moins en moins intense a mesure que ma vue se troublais et quand enfin je fini par ne plus rien voir du tout, elle ressemblait a des picotements dérangeants mais plus aussi douloureux. Je me laissais juste faire sachant que de toute façon là dessuite je ne pourrais trop rien faire d’autre et laissait donc mes mains remonter au dessus de ma tête.

Très franchement, j’ai connu l’enfer et ses jeux pervers alors je ne crains pas le moins du monde la torture et encore moins la mort même si là il n’est pas question de mourir je tiens à me venger pour le fait qu’il m’ais pris mes yeux. Même si c’est temporaire c’est atroce ce que cette douleur peut marquer. C’est seulement en sentent qu’il revenait poser la main qu’il avait libéré sur mes yeux que j’ai bougé, j’ai tourné la tête, je n’ai pas besoin d’être protéger, plutôt la mort que la pitié. Je serais lui d’ailleurs je tenterais pas de suivre puisque rien ne m’empêchais de tenter de le mordre à se moment la. J’attendrais sagement mon heure quoi qu’il décide, si ma vie doit s’arrêter Nessa l’enverra me rejoindre je lui fais confiance et s’il ne me tue pas il va le regretter je compte bien m’assuré qu’il le regrette très vite.

Son rire me tire un nouveau sourire, je suis presque sur qu’il va vouloir se tiré… juste quand sa va devenir intéressent et que je vais pouvoir jouer un peu moi aussi. Tsss et dire que j’ai senti ce que j’ai senti quand il était coller a moi, ce mec est un grand malade, il est venu m’as redu aveugle et c’est excité tout seul … et c’est ça ! Qui doit protéger l’île ! – dis-je en bon vieux sadique manipulateurs et assassin-.

Je le laisse manipuler en baillant de nouveau, il est sérieux ? Il tiens vraiment à jouer a qui peut se faire le plus mal pour pouvoir tapé sur l’autre ? J’ai donc un bras dans le dos et un sourire amuser sur les lèvres mais pas envie de coopéré, je marche au ralenti en appuyant au maximum sur lui et mon bras, juste assez pour me faire sentir mais pas trop j’ai pas particulièrement envie de me déboiter le bras dessuite. Je sais qu’il a un truc bizarre sur lui, je l’ai senti quand il c’est installer et le bras qu’il ne tiens pas me sert à le chercher rapidement. Après un simple contact je peux dire que c’est du métal, c’est trop froid et dure pour être sa peau je sais j’ai dé jà donner.

-T’es conscient bien sur que si je bouge tu déboite mon bras et ensuite je t’étripe avec les trucs en métal que j’ai senti sur toi ? On essaie ?

Bien sur je n’en fais rien et serais presque surpris de ce qu’il fait. Plus de lumière, d’un coup c’est les ténèbres que je sens et une espèce de bien être qui m’en donnerait presque des frissons. Mais avant que je réalise qu’il m’avait ramené chez moi, je me suis senti repousser vers l’intérieur et je l’avoue après le réveil que j’a eut je n’ai pas eut la présence d’esprit de me retenir a lui alors je l’ai laissé filer.

-Crétin…

Je sais qu’a se moment j’ai juste un sourire amuser sur le visage, finalement, si il m’avait pas brûlé les yeux avec sa connerie de lampe, j’aurais presque put m’amuser de le voir si prévenant. A noté, il était venu a l’heure ou je me lève pas pendent la journée, il avait tenté de me protéger enfin sa a mon avis s’était pas par gentillesse mais par faiblesse, puis il aurait put m’achever comme il l’avait tellement voulu a la prison mais au lieu de sa, il s’était contenter de me ramener chez moi, ce qui aurait put s’avéré coton vu les circonstances. Bon, tout sa m’empêchera pas de me venger, mais je vais pas le tuer, je veux voir jusqu'à ou il va pousser le vice, quand il se décidera enfin a comprendre que la vengeance appel a la vengeance tant que la mort ne viens pas imposer sa griffe.

Du coup, après sa il m’as fallut un petit moment pour m’habituer, déjà j’ai mis deux heures a retrouver mes lunettes de soleil, deux heures pendent esquilles j’ai vu me faire a l’idée que je connaissait ma maison mais que j’avais pas envie de me concentré donc deux longues heures a me prendre tous les meubles. Après avoir finalement trouvé mes lunettes je suis parti faire mon tour avec Nessa qui m’as servit de guide serrant mon bras quand j’allais dans un piège qui risquait d’être mortel et pendent trois longs jours ‘et nuit’ sa a été comme sa.

Puis une fois que ma vue a commencer à revenir, juste le minimum, je voyais fou et sombre mais je voyais, j’ai joué a mon tour. Je sais que lui c’est en journée qu’il travail alors un soir je me suis ‘arranger’ avec un élève beau grosse pour qu’il aille sur la plage et joue avec le poiscaille, en échange plus de visite avec ses vieux démons personnels. Puis je me suis procuré du sable, une quantité astronomique de sable et j’ai investi la maison du moche en en collant dans chaque pièce de sa baraque. Certains endroit j’ai mis du glucose pour qu’il s’enfonce et surtout que le sable accroche bien a celui qui marcherais dessus. Ensuite j’ai badigeonne ses draps de glucose et y ai versé deux sacs de sables en en collent dans les coussins et après avoir enfilé des gants j’y ai ajouté du poil à gratter. Puis finalement j’ai décidé de m’attaqué a la salle de bain, j’ai percé des trous dans sa baignoire que j’ai aussi rempli de sable mélanger poil à gratter et bien sur pour aller avec, j’ai rempli ses tuyaux de purin emprunter a une ferme du coin. Puis je lui ai laissé une petite musique à fond et en boucle avant de partir en laissant un petit mot sur son lit.

« On est quitte chéri ♥ »




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Invité
MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 2:25
Invité
Il avait essayé de se débarrasser de ma main lorsque je l'avais protégé de la lumière. Visiblement, il n'aime pas qu'on le prenne en pitié, et c'était plutôt amusant. Pour un peu, j'ai presque envie de continuer dans cette optique : le blesser, le soigner...détruire sa fierté ! Mais pour le moment, je n'insistai pas. Après l'avoir poussé chez lui et avoir rejoint la mer, j'avais été soulagé qu'il ne me suive pas. Je n'avais aucune idée du temps qu'il mettrait à guérir, et j'avoue que j'avais eu la trouille qu'il réapparaisse derrière moi avec ses ombres avant que j'ai eu le temps de me mettre à l'abri. Comme tout allait bien, j'ai passé une partie de la nuit à jouer avec des poissons, puis j'avais eu la flemme de remonter à la surface pour me coucher, alors j'avais dormi là, sur un rochet plutôt confortable, tout près de dauphins. C'est bruyant un dauphin, mais c'est très sociable, ils sont parmi les créatures les plus fidèles et avec lesquelles j'aime passer le plus de temps.

Le lendemain, au levé du soleil, j'avais directement recommencé mes patrouilles, pour ne rentrer à l'Atlantide que le soir venu. Aucun signe de vie du truc noir. Ça me paraissait louche, alors j'étais allé me chercher trois mioches que j'avais ensuite hypnotisé. Je leur avait fait mettre une oreillette passant en boucle un enregistrement de ma voix, avec des ordres très strictes. Ils l'avaient retrouvé, surveillés, puis étaient revenus me faire un rapport complet. Je déteste la technologie en temps normal, mais je dois avouer que parfois, elle a des bons côtés, et cette fois, j'avais pu apprendre que ses yeux n'avaient toujours pas guérit. Des regrets ? Non, pas vraiment. Je ne pense pas que ce soit définitif, je peux pas croire que ce type a jamais été confronté à la lumière de toute sa vie, forcément à un moment il s'en est prit dans la gueule. Ça veut juste dire que ça lui fait bien mal et qu'il met du temps à guérir.

Le troisième jour, j'étais resté au boulot toute la journée. Je m'étais fait chier à éloigner un yacht qui nous approchait un peu trop près, j'aurais pu le faire tout simplement couler, mais comme c'est des bourges, d'autres humains seraient forcément venu à leur recherche. J'avais donc du les hypnotiser et les ramener au large sans qu'ils s'en rendent compte, et ça m'avait pas mal crever. Le soir venu j'avais rejoint la plage, crevé, affamé, et qu'est ce que je croise ? Un petit gars mignon qui me drague ! Forcément, je l'embarque dans un coin isolé, je le pompe, et je parle pas que de son énergie. Je rentre donc très tard chez moi, de très bonne humeur, mais je ne rêvais plus que d'une chose : m'enfouir sous mes draps au chaud et roupiller pendant au moins 12h ! Mais dès que j'ouvris la porte, je compris qu'il comptait prendre sa revanche.

Du sable partout. Au départ, ça ne me choqua pas vraiment. J'aime le sable, je passe ma vie dans la mer. Sauf que quand j'avais avancé dans mon salon, quelque chose de gluant se colla à mes chaussures. Il avait mit je sais pas quoi dans le sable, ça s'accrochait à moi, c'était dégueulasse ! Mais là, franchement, je suis trop crevé pour m'occuper de son petit jeu à la con, alors je décide d'aller me coucher, je ferais du ménage demain. En arrivant dans ma chambre, je constate que mon lit est dans le même état que le sol. J'y trouve un petit mot qui me fait simplement soupirer, et le froisse avant de le jeter. Je soulève délicatement le drap du bout des doigts pour vérifier si peux pas arranger les choses en vitesses, et fut rapidement prit de démangeaisons sur toute la main. Là, je panique. Qu'est ce qu'il a mit dans mon lit ? Et si je faisait une réaction allergique à son produit ?! Je pense donc à aller prendre une douche en vitesse histoire d'enlever ça, en évitant d'utiliser cette main. Et là, je vois ma baignoire. Et ça, ça m'énerve vraiment. C'est ce que je préfère dans cette maison ! Comment a-t-il osé la remplir de sable ?! Il se rend compte en plus qu'il bouche les canalisations ?! Et comment a-t-il pu la trouer ?!

La démangeaison sur ma main me rappelle à l'ordre. Je ne rentre pas dans la baignoire, en pensant que si je fais d'abord couler l'eau, ça pourrait faire partir le sable et la nettoyer, et puis ça m'éviterait d'avoir une nouvelle réaction si il y a encore de ces trucs qui grattent ici. J'avais donc ouvert l'eau, et le temps qu'elle prit pour venir me mit la puce à l'oreille...avant que l'odeur ne m'alarme. Je ferme le robinet en vitesse, les yeux rond comme des soucoupes. Mais c'est... ! Comment ose-t-il ? ! Cette fois je ne peux pas retenir un hurlement de rage. Quelle horreur ! Ce mec est tordu ! Comment peut-il faire un truc pareil ?! J'étais tremblant de colère, fou de rage !

Les démangeaisons gagnaient mon bras, toujours plus horrible, et je fuis mon appartement en courant droit dans la mer. Après m'être calmé, je vais exiger au personnel qu'on nettoie ma maison, il est hors de question que je répare ses conneries moi-même ! Et pendant ce temps, je suis beaucoup trop énervé pour penser à me reposer, et je commence à préparer ma vengeance.

Je suppose qu'il avait attendu que ses yeux se rétablissent avant de venir se venger. Je laisse encore deux jours s'écouler, histoire d'être sûr qu'il soit bien guérit, et que je réunisse le matériel dont j'ai besoin. J'attends ensuite la nuit, qu'il sorte de chez lui, et commence à tout mettre en place. J'installe des projecteurs dans toute sa maison, et pas la gnognotte de la dernière fois, non, les gros projos qu'on utilise pour les concerts en plein air. J'en installe dans l'entrée, et j'en dissimule à l'extérieur, bien à distance, il n'a aucune chance de les repérer. Ceux à l'extérieur sont dirigés vers la porte d'entrée, ceux à l'intérieur illuminent toute sa maison. Ils sont équipés de capteurs, et ne s'allumeront qu'une fois la porte ouverte. Ensuite, je place les feux d'artifices, trois à l'intérieur qui fonceront vers l'extérieur dès la porte ouverte. Il aura le temps de les voir s'allumer avant les projecteurs, et avec un peu de chance il se les prendra dans la gueule. Les autres sont à l'extérieur, ils iront péter un peu partout autour de lui, provoquant plein de joyeuses lumières avec des bruits sympathique que tout Esperanza pourra entendre. Peut être que certains lui exploseront dessus, vu comme ils sont orientés, ils raseront le sol plutôt que de monter, et je ne doute pas qu'il se prenne au moins quelques retombés de poudre !

J'avais quand même prit quelques mesures pour pas que la maison prenne feu. Parce que j'ai pas envie de me faire engueuler par les directeurs non plus. Par contre, histoire de marquer le coup même après que ses yeux se soient remit de cette future agression, j'avais badigeonné grossièrement ses mur de peinture phosphorescente. Grossièrement, parce que j'allais pas lui refaire la déco non plus, j'ai pas que ça à foutre ! Et histoire de moi aussi signer mon œuvre, j'avais placé une banderole juste au dessus des feu d'artifice dans l'entrée, sur laquelle il pourrait lire mon petit mot avant de perdre à nouveau la vue :

« Surprise ! »
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MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 14:46
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Vivre mourir, au fond tout est relatif non ?

Nan je déconne t'aurais pu blesser Nessa t'es un mort en sur-ci



J

e savais qu’il allait rentrer et franchement j’aurais raté son cri pour rien au monde, si j’avais put je crois que j’aurais filmé. Enfin bon, il s’était quand même fait attendre, mais sa en valait la peine, s’était juste trop bon de l’entendre beuglé comme un animal blesser, j’aime se sons il en serait presque excitant s’il venait pas du thon qui m’as rendu semi aveugle. Même en voyant vaguement ce qui se passait, j’avoue que j’a jamais autant adoré mon travail que cette nuit là, je me doute qu’il v y avoir vengeance mais pas trop le temps de piégé la maison, ce que je regrette a peine deux jours plus tard.

J’ai pas trop eut le chois même si pour le coup je fais un peu plus attention à ce que je fais et que je n’ouvre plus la porte de chez moi sans lunette ou sans une dague au cas ou. Pour cette nuit d’horreur j’ai pensé a prendre la dague mais mes lunettes étaient introuvable alors je suis parti sans… parfois je me dis que mes lunettes sont de mèche avec l’ennemis ou alors c’est juste que j’suis pas très douer puisqu’elles étaient juste sur un meuble de ma cuisine.

La nuit a été calme, j’ai été faire un peu le tour et les seules humains que j’avais trouvé sont ceux qui sont en permanence présent, d’ailleurs je me demanderais presque si je devrais prévenir pour eux mais comme j’ai la flemme et qu’ils font rien de bien méchant j’en fais rien je me concentre plutôt sur ceux qui viennent dans l’espoir de faire chier le monde et reparte après une bonne vieille frayeur. Se soir la, j’avais juste une chemise noire, un jean sombre et des chaussures noires, je ne pensais pas avoir besoin de plus. La dague que j’avais emmenée était dans la poche de mon pantalon et Nessa comme toujours posé entre mon épaule et mon cou restait sage.

Un jour j’ai voulu savoir comment agissait les vrais serpents voir si elle était a se point différente et puis quand j’ai trouvé un bouquin sur eux j’ai compris la stupidité de la question. Nessa est une créature des enfers, pas un serpent a proprement parler même si sa forme s’en rapproche elle n’en a pas la moindre attitude. Ce qui n’as rien avoir avec le problème qui suit mais qui laisse un peu de suspense avant le pire.

Donc, après une nuit de surveillance plutôt agité, j’étais parti pour chez moi, le soleil ne tarderait plus, il aurait du me rester une vingtaine de minutes pour rentré tranquille me changer et me coucher mais voilà la petite ‘surprise’ qui m’attendais a la maison je l’aurais pas vu v’nir. Je savais que le poiscaille allait se venger, s’était certain le connaissant il ne pourrait que se venger mais j’avoue que j’aurais pas cru qu’il irait jusqu'à tenter de m’assassiner, pas si tôt.

‘Surprise’ c’est le mot qui convient, en entrent dans la maison j’ai vu brièvement, trop brièvement des trucs, je savais pas ce que s’était mais vu l’humour de l’aute face de blobfish, j’ai deviner que sa allait piqué. Du coup, j’ai du attrapé Nessa toujours enrouler autour de mon bras et la jeter le plus loin possible, ce qui bien sur ne lui a pas plus et m’as valut une morsure dans l’épaule mais la douleur n’étais rien pour le coup ma seule pensé avait été de la protéger et pas pour rien. Heureusement que ma douce m’a modus a cet instant puisqu’a peine fut elle éloigner que je me retrouvais a genou tenant mon bras en tiquant. Ça a pas l’air comme sa mais en faisant sa la miss m’as quand même permis d’éviter … je sais même pas ce que s’était au son je dirais que c’est les machins qui font plein de lumière qu’ils utilise pour les fêtes. J’ai jamais aimé ses trucs, on se demande bien pourquoi …

Autant le dire, déjà a se moment j’étais pas au mieux mais s’était pas fini, la guerre fais des victimes et a priori j’allais finir par rendre les armes chez moi. A peine j’avais touché terre que des putains de lumière sont venu me frapper de plein fouet, pas seulement moi d’ailleurs, toute ma maison, j’étais incapable de pas les sentir même les yeux fermé, même en cachent d’un bras mon visage je sentais la morsure de cette lumière et ne put faire autrement que de crier, pas un cri de colère, plutôt de douleur. Je me souviens avoir tenté d’en brisé une avec la dague que je portais et je crois avoir réussit mais sa ne changeait rien du tout. Mes yeux semblaient s’enflammé quoi que je fasse et j’étais incapable de me redresser, puis ou aurais je pus aller ? La lumière venait autant de dedans que de dehors.

Après un moment qui m’avait paru duré une éternité, j’ai du repousser mes limites, je sentais ma force qui s’enfuyais peu à peu m’abandonnant à une mort certaine. Mes pensées étaient pour Nessa, je me souviens m’être demandé si le directeur saurait prendre soin d’elle et comblé ses caprices, saleté d’poiscaille. En me servent du mur de l’entré j’ai fini par réussir à me lever sachant que je ne savais même pas par ou aller mais tant pis faillait bien que j’essaie. A peine j’avais réussit a sortir que quelque chose venait toucher ma peau, Nessa ayant arracher un bout de ma chemise j’ai pas trop put faire autrement que sentir les reste de ses jouets tout pourrit.

Après m’être écrouler au sol sous la lumière et sans aucune force, j’ai plus vraiment de souvenir de ce qui c’est passer. J’aurais presque pensé mourir mais non, quand j’ai repris conscience je ne sais même pas combien de temps après, s’était encore dans une salle lumineuse et complètement cacher sous un truc doux…un nouveau coin que je vais pas aimer. J’y voyais rien et quand j’avais porté une main sur mes yeux, sa avait été avec un gémissement de douleur avant de constater que mes yeux étaient bander… rah merde j’vais encore rien voir pendent dieux sais combien de temps. Enfin ce qui est sur c’est que j’ai pas envie de rester, a peine j’ai eut repris conscience, j’ai tenter de me redresser pour partir.



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MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 16:57
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J'étais allé guetter son arrivé à une certaine distance de sa maison. La rage m'animait toujours, et je voulais le voir souffrir, même le regarder cramer sous les feux d'artifices s'il venait à s'en prendre un. J'étais impatient, planqué dans un arbre à une bonne distance de sécurité. J'avais dû attendre encore quelques heures avant qu'il n'apparaisse. Il marchait d'un pas tranquille, ne se doutant de rien. Mon cœur s'était mit à battre à toute allure alors que je retenais mon souffle. Il ouvrit finalement la porte, et je ne ratais pas une miette du spectacle, pensant même un instant que je voulais le voir mourir sous mes yeux.

Avant même que les feux d'artifice ne se lancent, il avait attrapé son serpent et l'avait lancé au loin. Ça, ça m'avait fait froncé les sourcils, et j'avais commencé à douter. J'avais complètement oublié l'existence de cette bestiole, et ce n'était pas vraiment dans mes plans de la blesser. J'avais aussi été un peu surprit de voir que sa première réaction avait été de la mettre à l'abri. Je suppose que la bête l'avait mordu, car sitôt après l'avoir lâché, il se retrouva à genoux, évitant par la même occasion les feux d'artifice. Un coup de chance, mais c'était sans doute mieux comme ça, il aurait peut être pu en mourir. Et lorsque cette pensée se formula dans mon esprit, je pris conscience d'une chose désastreuse ! Je risquais de le tuer, mais dans le fond, je ne voulais pas qu'il meurt ! Et il était peut être un peu tard pour en prendre conscience maintenant !

Les projecteurs s'allumèrent, je le voyais essayer de se protéger en cachant son visage, mais rien n'y faisait, il semblait souffrir énormément. Ses cris étaient couverts par le bruit des feux d'artifice, mais de temps à autre je les percevais entre deux explosions. Je le regardais essayer de se redresser, et lorsque je compris qu'il n'arrivait pas à se mettre à l'abri, je me mis à réagir. Je sautai de mon perchoir pour foncer désactiver les prochains feux d'artifices, arrachant au passage les câbles de tous les projecteurs que je croisais. J'avais prévu que ça dure plus longtemps, mais j'en avais fait bien assez comme ça ! Pendant ce temps, Daeron avait réussit à se déplacer vers un endroit moins éclairé, puisque j'avais éteins quelques lumières. Les feux s'arrêtaient, mais je voyais encore quelques cendre retomber. Je m'étais précipité au dessus de lui pour le protéger, me faisant brûler un peu au passage. L'instant d'après, il était évanouit au sol. Sans perdre une seconde, je pose mon manteau sur lui pour le cacher, les frottement contre les brûlures risquent de faire mal, mais c'était toujours mieux que de le laisser exposé à la lumière. Je passe un bras dans son dos, l'autre sous ses genoux, le soulève, et repars à toute allure en direction de l'infirmerie.

Je l'avais laissé au soin des infirmières, en leur indiquant bien de le laisser dans l'obscurité la plus complète possible, puis j'étais partit en courant réparer mes conneries. J'avais éteins tous les projecteurs encore allumés, puis j'étais partit à la recherche du serpent. Tout n'avait duré qu'un instant, mais j'étais loin d'être fier de moi. Je m'étais laissé emporté, et j'en avais honte. Je regrettais d'être allé aussi loin, et je voulais essayer de réparer les choses au mieux. Je tomba nez à nez avec la bête dans un buisson. Je ne savais pas si cette bestiole comprenait notre langue. Au cas où, je lui avais dit que j'allais la ramener vers Daeron, elle s'était enroulée autour de mon bras, et m'avait mordu...beaucoup. Tout le long du voyage, elle n'avait pas arrêté. La douleur était abominable, mais je ne disais rien, parce que je le méritais. Lorsque j'avais finalement rejoint l'infirmerie, mon bras avait gonflé d'une façon totalement difforme. On aurait dit un espèce de tronc d'arbre dégueulasse sanguinolent, couvert de traces de morsures. Je l'avais laissé à côté de Daeron, et les avais laissé un peu seuls tous les deux.

Moi, je m'étais mit à engueuler les infirmières parce qu'elles n'avaient pas respecté mes consignes et qu'elles avaient même allumé une lampe juste au dessus de lui. Heureusement que je m'étais dépêché ! J'avais arraché la lampe de ma main libre, trop sur les nerfs pour faire les choses calmement. J'étais ensuite allé chercher des rideaux de séparation inutilisés, et avait fabriqué un espèce de cube d'obscurité comme je pouvais. Seulement une fois mon manège terminé, je remarquais une présence derrière moi. C'était un des directeurs, et il semblait être là depuis un petit moment. Je me sentais encore plus honteux, et ça ne s'arrangea pas lorsqu'il se mit à me réprimander, en me disant bien d'arrêter cette guerre stupide entre nous. Même sans son intervention, c'était bien ce que j'avais l'intention de faire. J'étais pas fier de moi, loin de là.

Je sortis de l'infirmerie un peu plus tard, le soleil était totalement levé, et je repartis nettoyer mon bordel pour de bon cette fois. Je réunis tout mon matériel à moitié détruit, sans demander d'aide à qui que ce soit, et j'étais même allé repeindre consciencieusement les murs chez lui. J'avais tout rangé exactement comme j'avais trouvé sa maison avant mon intervention, puis été partit au travail. Le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque j'avais rejoint la mer. Le sel brûlait mon bras qui était dans un sale état, ainsi que les brûlures que j'avais dans le dos, mais je ne pensais même pas à me plaindre. Je fis mes patrouilles encore plus sérieusement que d'habitude, et lorsque la nuit tomba, je rejoignis à nouveau l'infirmerie, et y passa la nuit. Je me réveilla le lendemain dans la matinée, il n'avait toujours pas bougé, et son serpent restait sur lui, j'avais l'impression qu'elle était malheureuse de le voir comme ça.

J'étais resté un peu à son chevet, même si je me doutais qu'il ne l'aurait pas voulu. Le serpent m'attaquait encore de temps à autre, mais ses morsures se faisaient de plus en plus espacées. Je passais le reste de la journée en mer, et ma nuit à son chevet. J'avais prit soin de passer un bandeau  autour de ses yeux, parce que je pensais que c'était là qu'il était le plus sensible à la lumière et qu'il fallait le protéger. La culpabilité me rongeait d'autant plus lorsque je le regardais, totalement immobile. Une infirmière passait de temps à autre, et essayait de me virer, mais je m'obstinais à rester. Le troisième jour, en plus de surveiller la mer, j'avais aussi fait un tour sur l'île. Comme il ne pouvait plus le faire par ma faute, c'était de mon devoir de dissuader les humains de s'approcher.

La nuit venue, à son chevet, j'avais remarqué quelques mouvements discrets de sa part. Comme je pensais qu'il n'allait pas tarder à se réveiller, j'avais guetté toute la nuit, mais rien ne vint. Au petit matin, j'étais allé me reposer dans le lit en face du sien, à l'extérieur des rideaux que je lui avais installé. J'avais le sommeil léger, et ce fut une soudaine agitation qui me fit bondir hors du lit. Il s'était réveillé ! Je me précipitais vers lui alors qu'il tentais de se redresser. Je commençais par engueuler les infirmières d'avoir laissé le rideau ouvert, le referma soigneusement, et vint le forcer à rester allongé de mon bras valide, l'autre n'aillant pas guérit de toutes les morsures que le serpent m'infligeait encore. Mais bizarrement, cette fois elle ne me mordit pas du tout. Peut être qu'elle aussi était soulagée.

J'étais mal à l'aise. Je ne savais pas quoi dire. Je me doutais qu'après tout ça il ne voudrait même pas entendre parler de moi. Il devait me haïr, et je ne pouvais pas lui en vouloir. Je devrais sans doute m'excuser, mais j'étais convaincu qu'il ne voudrait pas m'écouter. Je me sentais mal, pathétique, méprisable. Je le fit se rallonger sans trop forcer, de peur de lui faire mal, et retira ma main, laissant le serpent s'installer comme il voulait. Quant à moi, je recule de deux pas, toujours sans avoir trouvé quoi que ce soit à dire. Je voulais me faire pardonner bien sûr, mais je ne pensais pas qu'il veuille en entendre parler pour le moment.
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MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 18:12
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Trop mignon ♥


D

onc Nessa, elle c’est retrouver dans un buisson en sachant que je viendrais la chercher dès que je le pourrais elle n’avait pas bougé. Sans parler, cette p’tite dame avait quand même une certaine forme d’intelligence, parfois plus élevé que la mienne mais surtout elle était fidèle en générale. Bin oui, je ne suis pas seul a n’avoir eu qu’elle depuis tout gamin, elle aussi a grandi avec moi et vu nos âges on fini par se connaître tout les deux. Elle n’as pas aimer que se soit Elias qui vienne la chercher et l’as attaqué pour ne pas partir de l’endroit ou je l’avais laisser puis parce qu’il avait prononcer mon nom et enfin parce qu’il l’avait emmener. Ma douce ne comprend pas notre langue, ou alors seulement vaguement je ne saurait dire avec certitude si c’est l’un ou l’autre, elle et moi on a pas vraiment besoin de sa pour discuter alors je m’y suis pas vraiment intéresser mais je crois qu’elle doit quand même avoir associer quelques actions ou gens à des mots.

Une fois emmener a l’infirmerie, elle n’avait pas bouger de mon torse avant le fin de la seconde nuit ou elle était parti près de ma tête sans bouger de out le temps ou moi j’étais rester dans les vaps. Je ne pense pas qu’elle serait partie si je n’étais pas revenu mais une chose est sure, elle l’aurait encore attaqué si Elias n’avais pas pointé le bout de son nez aussi souvent. A force, comme il n’attaquais pas elle s’était faite a sa présence et la tolérait. Enfin tout sa c’est une constatation externe puisque moi je pionçais donc revenons maintenant a nos moutons, enfin plutôt au loup qui les mange en générale.

Pendent mon mini coma de trois jours, je n’avais conscience de rien, sa avait été comme si mon cerveau s’était juste désolidarisé du reste de mon corps et avait lutté en solitaire. En gros s’était un bon trou noir avec en dernière idée, celle que Nessa était quelque part, toute seule et qu’elle n’avait peut être pas su trouver le directeur qu’elle affectionne. Du coup, c’est vrai qu’au réveil, lumière ou pas s’était resté ma seule préoccupation, du moment qu’elle n’avait pas été blessé j’en avais rien à foutre de ce que j’avais pris. Puis ce qui avait été long s’était la reprise de force, après que mon énergie ai été consumé il me faut un certain temps pour en recréé assez pour reprendre pied et là s’était juste pas gagner.

Sans être capable de les voir, je sentais les présences qui étaient là, j’ignore pourquoi mais impossible de savoir que ma Nessa était tout près de moi. Quand je me suis lever j’ai d’abord entendu une voix familière qui braillais contre quelqu’un … j’avais une migraine digne d’une cuite de quatre jours et trois nuits mais bon, pour le coup je m’en fou, j’avais toujours la mais sur ma tête et une grimace passât sur mon visage quand j’ai reconnu ce timbre de vois. C’est pas vrai voilà que l’aute poiscaille m’avait refait son truc de la pitié a un niveau supérieur, nan mais stop là, la prochaine fois qu’il tête de me tuer et me ramène je le tue moi-même. Nan mieux je vérifie que Nessa soit pas blesser et je vais le tuer pour avoir faillit le faire.

Ma chemise a disparu et le bras toucher par les trucs bizarre est bander, je le sens en passent ma main dessus. Je me suis relever je voulais partir la chercher, je m’en fou moi d’être blesser je veux ma Nessa mais voilà que le poiscaille viens pour me rallonger. Ca va j’ai assez dieu sais combien de temps la dedans je veux bouger !

- Faut que j’trouve Nessa ! Et me touche pas toi !

Putain de force qui reviens pas, pourtant je sais que la lumière n’est plus visible, je la sens plus j’ai l’impression de reprendre des forces mais impossible de l’empêcher de me faire chier. J’avais juste envie de repartir trouver Nessa, peu importe le pris.

- Elle m’attend quelque part ! Puis fou moi la paix, si elle est blesser par ta faute …

J’allais ajouter j’te tuerais mais très franchement même pas, si Nessa a été blesser c’est surtout a moi que j’vais en vouloir et ce qui m’empêchera pas de le torturé jusqu'à ce qu’il m’implore de lui ôter la vie plutôt que de continuer. J’aurais voulu me relever quand il s’était retiré mais quelque chose m’avait retenu, une sensation, une fraicheur que je reconnaitrais entre mille et qui me calme instantanément, ma douce princesse est juste ici, je la laisse venir et la récupère e m’asseyant sur le lit en en la déposant sur moi. C’est fou mais là d’un coup ca va mieux, je passe mes mains sur elle juste m’assuré qu’elle n’ai rien et serais presque surpris de voir que c’est pas le cas.

J’aurais presque put l’en oublier l’autre tellement j’étais content de voir Nessa mais l’étrange gout de l’action de grâce me viens en bouche et j’ai horreur de sa. Lee fait qu’elle aille bien me suffit je n’ai pas besoin de plus, alors qu’il m’ais apporté de nouveau son secours de toute sa grande clémence m’énerve et je descends du lit avec Nessa autour du bandage sur mon bras. J’ai juste envie de retrouver ma maison … enfin si ma maison est toujours debout, nan en fait j’m’en fou j’veux sortir d’ici et m’éloigner et m’éloigné du ‘héro’.

-Félicitation t’as fais ta BA le ciel t’ouvrira ses portes, hourra. Mais la prochaine fois que t’as des envies de pitié trouve toi une église et laisse moi crevé.




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MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 19:19
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Je m'étais évidemment attendu à ce qu'il se débatte lorsque j'avais voulu le rallonger, mais j'ai été surprit de ce qu'il se mit à clamer. Nessa ? Je me souviens avoir entendu ce nom à notre première rencontre, c'est donc comme ça que se nomme le serpent. Il avait l'air totalement paniqué, et prêt à affronter immédiatement la lumière pour la retrouver. Ça me perturba. J'avais déjà pu constater qu'il tenait beaucoup à elle, mais voir qu'il était prêt à mourir pour la retrouver me troublait. Je m'étais éloigné, et enfin il remarqua que Nessa était déjà sur lui. Il se redressa et cette fois-ci je n'esquissais pas un geste pour l'en empêcher.

Même avec la moitié du visage caché par son bandeau, le soulagement se lisait clairement en lui. En temps normal, je me serais vanté de l'avoir ramené, je lui aurait fait savoir que je m'étais fait détruire le bras exprès pour ça, mais là, je n'avais même pas envie d'en parler. J'étais juste touché de les voir comme ça, Daeron avait l'air tellement heureux de la retrouver, et moi je n'avais plus la moindre envie de fanfaronner après ce que j'avais fait. Je restais donc là en silence à les regarder jusqu'à qu'il se rappelle de ma présence et je savais qu'il avait l'intention de me faire des reproches.

Lorsqu'il se lève avec l'intention de partir, par réflexe je le retiens en attrapant ses épaules, ce qui m'extirpe une grimace de douleur parce que j'avais oublié que je ne pouvais plus utiliser mon bras gauche, qui est encore très enflé, et entièrement recouvert de morsures. Aucun doute qu'il doit le sentir, ma main ne ressemble plus à quoi que soit de normal vu qu'elle ne se décide pas à guérir normalement, et que je n'ai pas prit la peine d'essayer de la soigner. Je la retire rapidement en espérant qu'il ne fasse pas le rapprochement, mais garde l'autre en place pour le dissuader des bouger.

« Je n'ai pas agit par pitié. Il fait encore jour dehors, tu devrais attendre la nuit avant de sortir, je t'envoie une infirmière. »

J'aurais voulu rajouter un 'je suis vraiment désolé' mais ma gorge s'est serrée avant que je n'y parvienne. Je ne pouvais pas vraiment lui expliquer les raisons de mon comportement, mais j'espérais qu'il pourrait se calmer et me pardonner. Quant à moi, je m'éclipse en vitesse, lui envoyant quelqu'un comme je lui avais dit, histoire de vérifier son état maintenant qu'il est conscient. J'espère qu'ils ne seront pas trop bavard, et qu'ils ne lui raconteront pas tout ce que j'ai fait pendant qu'il était inconscient. Ici, ils sont tous au courant, mais bizarrement, je n'ai pas envie qu'il l'apprenne. Pas parce que j'avais honte de l'avoir fait, pas du tout, disons plutôt que ça ne me faisait pas me sentir mieux. Alors je ne voulais pas m'en vanter.

Je quittais l'infirmerie en vitesse pour me rendre directement dans la mer. Je me sentais un peu rassuré maintenant qu'il était réveillé, mais la culpabilité m'accablait toujours. Ça faisait quatre jours maintenant que j'avais l'impression qu'elle m'étouffait, et je n'avais même pas cherché à me nourrir depuis, et m'étais à peine reposé. Je le méritais amplement, je l'avais presque tué.
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MessageSujet: Re: C'est la guerre! [PV Daeron] C'est la guerre! [PV Daeron] EmptyMer 16 Juil - 20:14
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Premiere partie


M

a seule idée a se moment s’était me cassé, j’avais pas envie de me faire tripoté par une infirmière qui allait me forcer a rester coucher et a prendre des pilules ou dieu sais quoi puis rester avec l’aute me soulait déjà. Mais j’ai pas eut trop le chois puisque le poulpe a 4 bras me retiens, d’ailleurs parlent de bras y a un truc pas net avec un des siens, il est zarbi je l’ai pas senti comme sa les première fois. J’ai beau essayé de me souvenir de la première fois ou i m’as fais perdre la vue j’ai rien qui ressemble a ce bras en mémoire et vu la vitesse a laquelle il le retire je me demande un peu ce qui c’est passer.

Un peu trop occupé à pensé, j’avais même pas eut l’idée de me dégager, de toute façon un peu plus un peu moins … Je sais même pas pourquoi il se défend, la dernière fois qu’il m’as protéger je sais parfaitement pour quoi il l’a fait et je n’ai absolument aucun doute sur celle qui l’a pousser a le faire cette fois quoi qu’il puisse en dire.

-J’ai pas besoin d’une infirmière je me sens bien j’veux rentrer chez moi

Je suis un très mauvais malade, je le reconnais j’ai horreur de sa, les infirmeries, les soins, la nécessité d’être aider, je n’ai besoin que de Nessa et de personne d’autre mais l’info est bonne a prendre … il fait jour. Ma princesse serre mon bras m’empêchent au passage de répondre a son ‘c’est pas d’la pitié’ puis une dame arrive, je sens son parfum avant même qu’elle soit proche et elle me force a me rassoir sur mon lit. J’aimerais dire a Nessa de mordre a se moment mais me contente de la laisser faire comme bon lui semble impatient de pouvoir me barré. Par contre quand elle me parle de m’allonger et de prendre un truc pour dormir je l’envoie chier et pas en douceur. J’ai l’air d’un gamin ? J’ai pas envie de faire la sieste moi je me sens mieux j’veux rentré et pété toutes les merde qu’i a installer l’aute la.

Comme elle insiste le ton monte et j’entends une nouvelle voix qui viens lui demander de partir, Nessa quitte mon bras alors je n’ai pas besoin de lutter pour savoir qui c’est, ce qui m’empêche pas de pas réagir, je reste même tenu même position mais contraint à écouter. Je sais pas pourquoi mais que ce soit le poilu ou l’autre j’ai une dent contre les directeurs. Il me demande comment sa a et même sans voir mes yeux je suis presque sur que l’air dubitatif que je veux prendre est visible. Franchement j’ai connu moins con comme question, puis sans prendre plus de temps et en ricanant  il reprend avec un nouvel ordre, celui d’arrêter la guerre qu’on se faisait avec le poisson… Autant le dire je suis pas particulièrement partant mais voilà, il me laisse pas le chois puis après il s’installe tranquille et se met a me raconter toute une histoire sur les trois derniers jours que j’ai un mal fou  croire.

Il a passé tout l’aprem à me parler du poiscaille et a me raconter en détail ce qu’il avait fait pour moi. J’avais du mal à le croire mais je suppose qu’il ne peu pas vraiment me mentir la, sa expliquais l’étrange sensation que m’avait fait son bras et la façon dont il s’était conduit avec les infirmières quand je me suis réveiller. J’en aurais presque une impression bizarre mais rien que je n’exprime.

-Pas mon problème …

Avais-je dis sans réellement le pensé pour faire partir le directeur et dès que j’avais entendu ses pas qui s’éloignaient, j’avais été voir l’infirmière qui m’avais fait chier en lui demandent a ma façon de bien vouloir me donner un truc. Puis j’ai récupéré ma Nessa mais pas ma chemise ce qui en soit est dommage je l’aimais bien, avant de repartir pour l’extérieur. Je n’ai pas retiré les bandes, faute de lunettes elles me suffiront puis je suis presque certain que mes yeux n’ont plus rien avoir avec avant, je n’aime pas qu’ils prennent une teinte argenté aussi proche du blanc sa m’énerve même si je ne le vois pas et que d’ailleurs je ne vois rien quand ils sont comme sa.

Normalement, si le calcule était bon, en sortent j’allais pouvoir me payé uniquement le crépuscule, donc une lumière très faible et grandement stoppé par les bandes. En passant par deux trois coins plus sombres, j’avais fini par réussir a rentré.




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