Ce matin, comme souvent en se moment, j’avais mal à la tête dès le réveil. Je ne sais pas trop d’où ça viens mais je ne trouve pas vraiment ça normal du coup après la plage j’essayais de rester un peu a calme ou de m’enfoncer dans la forêt mais quoi que je fasse j’en revenais toujours à la même chose. Du coup, je fais avec en attendant de comprendre ce qui me déclenche ça.

Par contre, cette fois pas question d’aller travailler, mon gentil tuteur m’a appris de bien vilaines choses il y a un petit moment et avec tout ça j’avais presque oublié d’aller punir un certain professeur à la langue pendante. Je me suis donc habillée tranquillement, j’ai attaché mes cheveux et pris les dagues que m’on confier les directeurs. Une fois prête, j’ai quitté ma maison, laisser Melian dehors et suis allée dans les couloirs, me moquant bien des cours qui se faisaient ici.

Etre dans l’établissement même ne faisait que faire grimper un peu plus encore la douleur dans ma tête mais j’étais passée quand même par l’établissement, de toute façon je n’attendrais pas la fin de la journée pour aller lui faire ravaler ses mots. Je me suis arrêter à la salle de musique, j’ai frapper (je suis anglaise), j’ai même attendu qu’on me dise d’entré (bin oui … je reste anglaise), puis là j’ai juste enfoncer la forte en donnant un grands coup de toutes mes forces dedans.

-Bonjour.

Quoi, je suis anglaise ! Ce n’est pas poli de ne pas dire bonjour.

-Le cours est fini, tout le monde dehors.

Je n’en ai rien à faire qu’il ne soit pas content, il va l’être rapidement encore moins. J’ai attendu la sortie de tous les élèves et ai posé les mains sur mes hanches en regardant simplement le prof.

-Quand vous avez des choses à me dire, vous me les dites à moi, vous ne laissez pas votre langue salir mon nom auprès de quelqu’un d’autre.

Je suis en colère, je me fou de ce qui lui à pris, s’il se permet des blagues du genre je le tue … d’autant que j’ai pas assez de patience en se moment, des idées bizarres me traverses, des envies qui ne sont pas les miennes et tout le reste … Mon empathie qui s’emballe … j’en ai assez.

Et voilà que ça veut se prendre pour un caïd, je suis tout juste entré que le grands dadet viens se planter devant moi en se péchant comme si j’étais incapable de le voir autrement … J’ai senti ses émotions me traverser comme un coup de poignard mais n’ai rien dit, pas même soufflé un mot ou changer d’expression, je suis bien assez remonté de mon coté et les idées étranges ne font que se faires plus forte …

-Jeune fille ? J’ai largement l’âge d’être votre arrière grands mère, donc respectez vos anciens.

Gamin, je ne l’ai pas dit mais je l’ai pensé très, très fort. Il se prend pour qui, de mon temps on traitait une dame comme une dame … franchement les enfants mériteraient des fessés parfois, ça ferais circuler un peu le sang jusqu’au cerveau.

-Je pratique la réciprocité. Puisque vous jugez bon de vous octroyer des droits que vous n’avez pas, je fais de même.

Je me suis avancée dans la salle, évitant de regarder les pauvre plantes qui perdaient la vie pour que cet enrager puisse se sentir moins idiot quelques secondes.

-Puisque vous semblez ne pas comprendre je vais être plus claire.

La rencontre va mal finir, je ne peux pas laisser passer ses conneries et honnêtement, je suis ravie que Néfir ne l’ai pas non plus laissé passer.

-Donc, selon vous, je suis une manipulatrice.

Non seulement ça mais mieux, j’aurais été envoyer par l’autre tache, et en cadeau bonus e n’ais pas essayer sur lui, il me semble qu’il n’a pas bien compris les règles du jeu.

-Pour votre information, si j’avais voulu, je vous aurais violé en moins de 15 secondes sur cette plage et même avec toute la bonne volonté du monde, vous n’auriez rien put faire, quelque soit votre taille, vous ne pouvez absolument rien contre les sentiments que je sais imposer

Je me moque bien de frapper dans sa fierté, sa langue dégoutante à salit mon nom et pire encore même pas auprès de moi mais auprès d’un homme auquel je tiens.

-Vous n’êtes simplement pas mon genre, j’aime les hommes.

Les vrais hommes pas ceux qui font semblant de l’être.

-Et vous qui me trouvez manipulatrice, pourriez facilement goutter à la véritable manipulation, là seulement vous pourrez entacher mon nom si vous survivez à ce premier affront.

J’aurais presque put lui rire au nez quand il c’est cru malin à me dire que je ne saurais être son arrière grand-mère… en prenant en compte le fait que moi j’ai survolé son dossier –Nessa est très utile à ce poste-, en sachant qu’il y a bien longtemps a peu près a l’époque ou je suis venu dans ce monde, la mortalité était bien jeune et il n’étais pas rare de ne pas atteindre 30 ans, être son arrière grand-mère n’aurais rien de bien difficile mais admettons, il est professeur de musique, pas d’histoire.

Enfin, là n’est pas la question, je me moque bien de ce détail, son âge n’as aucune importance, c’est sa bêtise qui m’embête. J’ai juste levé les yeux au ciel quand il à parler … chouette, du ballais blanc on passe au blanc ballais …

-Ah très bien évidemment ça change tout, vous n’avez pas prononcé le mot manipulatrice toutes mes excuses, en fait vous l’avez tout juste décrit quel manque de renseignement !

Crétin, ce type me tape sur le système et il en faut beaucoup, je comprends mieux les histoires d’Elias selon lesquelles il serait un connard, ça prends réellement tout son sens là. Ce type est vraiment un p’tit con pas capable de se remettre en question c’est déprimant.

J’ai attendu la suite en prenant tout juste un air dubitatif… Les hommes sont idiot ce n’est pas nouveaux mais les jeunes … sont pire encore que je le pensais. Le pire, c’est qu’il essaie vraiment de m’intimidé, si je relâchais mon aura à moi, il serait cloué sur place, entraver par la force de mère nature et incapable de s’en remettre. Comparé à son cher Sword il n’as pas plus de puissance qu’un bambin et comparé à moi, c’est un enfant.

-Non effectivement, vous n’avez aucun intérêt à mes yeux.

Quand à être un homme, il ne connaît rien à mes critères, il ne devrait donc pas s’aancer mais à force je suppose que sa ne devrais même plus m’étonner.

-Bon …

Bin il est temps de remettre les choses en place hein.

-Premièrement, vous êtes n gamin, même pour un vampire… et l je parle seulement en question d’âge puisque vous ne voyez que par ça. Ensuite, ma relation avec mon tuteur ne vous concerne en rien tout comme celles de Sword ne vous regarde pas le moins du monde.

Je me moque bien de qui il est pour Sword, ce qu’il fait engendre des conséquences c’est inévitable, il est donc prier de bien vouloir foutre la paix au reste du monde.

-Pour moi un homme sait ce qu’il doit dire et à qui en disant à mon tuteur que je le manipulerais … ah non pardon, que je servirait de mes charmes sur lui pour le pousser à faire ce que je veux, ce qui bien sur n’est pas manipuler, vous avez outrepasser vos droits, si il y a bien une chose que l’âge aurais du vous enseigner, c’est tenir votre place et à contraindre la fausse septique qui vous sert de bouche à garder pour elle les idées complètement fausser que vous avez sur des gens que vous ne connaissez ni d’Adam, ni d’Eve.

Néfir est un homme, même –et c’est dur à l’admettre- Daeron est plus homme que ce type puisque lui prends le temps de se renseigner avant de dire ‘importe quoi.

-Quand à votre « manipulation », je me demande bien qui pourrais craindre un gamin arrogant et qu’il serait facile de mettre à genoux. Vous souhaitez m’effrayer ? Chercher autre chose je n’ai pas plus peur de vous que d’un caniche édenter.

Parler sans insulte ? Sérieusement ? Mais dans quel monde de fou je me trouve précisément, bien sur que je sais parler correctement c’est d’ailleurs ce que je lutte pour maintenir depuis le début de cette discussion si vraiment j’avais voulu lui manqué de respect j’aurais très facilement et rapidement put le faire, au même titre que j’aurais putt le mettre a 4 pates avant même qu’il tente de réaliser son projet meurtre.

-Si vous arrêtiez de refuser de vous remettre en question vous réaliseriez que je me moque bien de ce que vous avez passé comme accords avec mon tuteur.

Là n’est pas la question, elle ne l’a d’ailleurs jamais été …. Qui serais assez con pour penser que je ferais une scène pour ça. Le manque de respect se paye et ceux quoi qu’il en dise.

-S’il y a bien une chose que vous avez compris, c’est qu’il arrive occasionnellement a votre amoureux de se montré réfléchi. En revanche, quand vous aurez compris que le travail d’un tuteur réside dans sa façon d’appréhender sa relation avec son protéger et pas celui d’une autre, vous saurez peut être réfléchir avec autre chose que votre cerveau du bas et vous rendrez compte que celui qui est têtu, de Daeron, vous et moi, ça n’est ni moi, ni Daeron, pas dans ce cas de figure.

Je déteste qu’il m’approche, non pire, je déteste que les deux m’approchent, leurs sentiments se déversent en moi et j’ai la nausée rien qu’à les sentir si près. Là, à cet instant précis je pourrais juste partir et m’en retourner me terré chez moi loin de toutes ces conneries… Le monsieur aux cheveux exploser et aux tatouages pour chien un peu partout à dit quoi ?

-Seigneur voilà qu’on en vient aux menaces.

Lui m’apprécier, sa simple présence pollue mon air … il me dégoute et s’il n’y avait qu’une personne sur cette planète que je devais détester à cet instant ce serais lui mas là, je e plain, je plains sa bêtise, son manque de matière grise et son incapacité à être cohérent puisqu’il pense avec sa b*te. Je e saurais le détester, l’idiotie se soigne, heureusement d’ailleurs, je lui souhaite d’apprendre à se soigner en grandissant.

-Merci mais je n’ai pas besoin que tu souligne le fait que je suis resté courtoise quand à la dispute de couple se serais plutôt vos affaires à vous.

Je ne sais pas trop pourquoi mais j’ai le sentiment qu’ils ont pas juste compter leurs doigts respectifs tout les deux.

-Sur ceux je m’en vais, en vous laissant ceci, si votre langue s’égare encore à souiller mon nom avec n’importe quel personne que ce soit, je vous fais découvrir les joies de la sodomie au cactus couvert de poile à gratté.

Je me suis éloignée en parlant, j’ai besoin de sortir là, avant de m’énerver réellement et que mon mal de tête continu d’empiré.

Quel gros naze … décidément les hommes du coin sont toujours aussi idiot, même avec le temps qui passe. Je n’ai pas écouté sa réplique je pense qu’il vaut mieux pour sa survie que je ne relève pas les affronts qui lui vaudraient une raclé comme jamais encore il n’en à reçu. Je doute qu’on l’ait assez aimé en étant petit mais je ne suis pas là pour me payé ses conneries, ça me concerne pas.

-Pas moi.

Quand à ce qu’il tente de me faire parvenir … que les enfants peuvent être fatiguant, il joue avec une professionnel, il veut sincèrement voir qui de nous deux peut faire le plus mal ? Soit, une fois dans le couloir, et après avoir laissé retombé la porte que j’avais pris plaisir à enfoncer en entrant, j’ai simplement continué à avancer, lui renvoyant directement la douleur qu’offrait les sentiments qu’il m’envoyait.

-Tu devrais retourner auprès de ta femme, je pense qu’elle va avoir du mal à résister là.

La douleur est violente, elle donne l’impression de se faire broyer un os puis ressouder avant d’être de nouveau broyer… Bienvenue dans le monde des adultes petit. Par contre, j’ai écouté un peu surprise le p’tit dragon s’expliquer et ai croisé les bras… je ne suis pas sure de vouloir savoir ou il veut en venir là… La suite m’a d’abord fait froncer les sourcils, je ne me donne du mal qu’avec ce qui me semble important et une âme torturée doit avoir droit à un peu de soulagement, juste une minute ou deux de pure libération.

-Ta présence me ne me plais pas, elle pourrit l’air ambiant et n’apporte rien de vraiment bon à qui que se soit.

Je ne le cacherais pas, c’est la vérité mais dans cet état de fait, lui n’est pas responsable, il ne peut pas être puni de ce que sa nature impose. En revanche, il me sous estime, je peux le soulager, je n’aurais même pas en être affectée.

-Pour ce qui est de toi, ne me sous estime pas.

Je n’ai même pas eut besoin de le toucher pour le décharger de toutes sensation négative et bien sur, je ne les ai pas gardé … vraiment pas, ce n’est pas mon truc, elles m’ont tout juste effleuré avant d’être envoyer directement à Shin, chaque mauvais sentiment revenant s’en prendre à lui. J’ai arrêté à sa question suivante, laissant doucement son état naturel lui revenir … il me fait quoi là ?

-Pas question.

Je suis pas faite pour la torture, ce n’est pas mon truc je ne serais même pas capable de le faire sans me blesser au passage, rien que le débarrasser de ses sentiments m’a apporté de nouvelles idées… j’aime de moins en moins ce que m’inspirent l’empathie en se moment.

-Fais tes expériences sur quelqu’un d’autre.

Je n'ai pas souvenir de l’avoir qualifié de pestilence, c’est sa nature qui veut ça, c’est pourquoi je ne saurais le détester pour ça, il se doit d’avoir ses règles de vie et je ne peux rien dire de mauvais au final puisqu’il prend même grands soin de débattre se point de vue.

-Navré, il semble que je me sois ma exprimée, je ne te qualifie ni de pestilence ni de mort, tu es simplement Sword, à ta façon tu porte avec toi un air sombre et lourds et au même titre que la vie que je porte en moi t’insupporte, celle que tu chasse me déplais.

J’ai perçu quelque chose d’assez étrange, ce qui m’a semblé être une question mais n’y ai pas particulièrement prêté attention, ou plutôt je n’ai pas eut envie de me poser de question tout de suite, je préfère de loin abréger cette discussion et m’en retourner à la forêt maintenant que monsieur le professeur Ishirama à appris que quand on en respecte pas une femme ça risque de faire très mal.

Je n’ai pas l’intension de faire souffrir qui que se soit, je me moque bien qu’il soit prêt à se fâcher ou qu’il pense que je vais obéir parce qu’il utilise des prétextes bidons et encore plus qu’il se permette de me demander de prendre une vie.

-Je ne me prends pas pour une déesse, la vie qui t’es offerte n’est certes pas en relation avec la mienne mais …je ne me permettrais jamais de t’en privé.

J’ai juste tourné les talons pour repartir vers l’autre sens, l’avantage d’un couloir c’est qu’on n’est pas bloqué.

-Tu veux mourir ? Suicide-toi mais je ne t’assisterais pas.

J’ai enjambé le prof assis par terre en lui lançant :

-Faut jamais jouer avec des choses qu’on en contrôle pas.

Bien sur que le terrain me reste en mémoire, je ne sais pas ce qui m’est arrivé là bas et j’ai beau y revenir, je n’arrive pas à me faire à l’idée, je l’ai tué, ça ne me torture pas, c’est plus les sensations que je ressentais à ce moment que j’ai du mal à comprendre, même en essayant très fort, je ne comprends pas comment des pensées aussi atroces ont put me traversées.

-Fiche moi la paix…

J’avançais sans plus je pouvais sentir le bonhomme qui continuais de me suivre … je pourrais facilement me fâcher mais je sais que c’est ce qu’il cherche du coup j’évite de réagir et retourne simplement à travers es couloir vers la sortie mais très vite, c’est de pire en pire, il continue et accentue même le fait me laissant une violente envie de l’envoyer sur les roses que bien sur je n’assouvi pas.

-Je ne peux rien pour toi !

Arrive un moment ou je ne peux simplement plus tenir et fini juste par lâcher le tout, prenant tout ce qui reste autour de moi, toutes les émotions du coin –et pensées- même si je ne le savais pas, j’ai attaqué simplement en lui remettant ça sur la tronche et en une fraction de seconde ça c’est encore amplifier, j’ai senti une douleur atroce dans ma tête en récupérant puis en transmettant de nouveaux les sentiments et pensées qui régnaient dans ses souvenirs. Sans plus vraiment le contrôler, j’ai juste continué à lui balancer tout ce qui venait et je n’arrivais sincèrement plus à rien.

Puis après un moment qui m’a paru une éternité, j’ai senti le tout s’arrêter, enfin se diminuer puis finir par ce calmer avant que je manque de m’effondré et doive prendre appuis sur le mur du couloir près de moi en tenant ma tête.

J’aurais presque la sensation que tout le circuit électrique de l’école passe en moi et se réunis dans ma tête pour un petit match de catch dans la boue avec mes pensées. Mes pensées s’échappent et j’ai beau essayer, sans le mur je doute que je tiendrais encore debout, pourtant lorsque j’ai arrêté le transfère la douleur aurait du se dissiper ou au moins se faire moins forte mais au contraire elle ne cesse de monté en puissance me ramenant à des vagues de douleur éparpillées un peu partout dans mon corps.

Je n’ai réalisé que Ryan était là que quand j’ai senti ses mains se poser sur moi. En temps normal j’aurais eut un mouvement de recule mais là tout de suite je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée, d’autant que l’autre se crois malin avec son merci…

-Va te faire voir …

La prochaine fois que je serais en forme, je lui casse les pattes arrière à l’autre lapin mal fini comme ça il évitera de me suivre, même si la douleur lui fait plaisir moi c’est la distance qui me ravi. J’ai juste posé une main sur celle de Ryan posée sur mes cotes.

-Je rappelais à Sword le goût du sol, il m’a confié que ça lui manquais.

J’aimerais mieux être chez moi là, la prochaine fois que je fais une visite à un prof je le fais chez lui, ensuite je rentre chez moi directement, plus rapide moins dangereux et douloureux.

-Ça va Ryan...

Il faut que je sorte d’ici, j’ai besoin d’air … vraiment.

- Laisse-moi s’il te plaît … J’ai juste une légère migraine

Si j’avais put je serais partie, pas que la présence de Ryan me dérange mais celle de Sweety, oui. J’ai laissé faire mon petit démon préféré, puisque je n’ai pas trop le chois et surtout que j’ai la sensation que mes muscles sont plus raides que des troncs d’arbres. Puis, très vite il m’a lâché de lui-même et pas vraiment besoin de tourner les yeux pour me douter qu’il était entrain de s’en prendre à Ryan … faut toujours qu’il parte en sucette le petit dragon…

Je l’ai vu se redresser et peu de temps après Sword disparaissait pour retourner dieu sais ou … du moment que c’est loin ça me va … Je me suis ensuite laissée entrainée par Ryan sans trop chercher à me défaire de lui, mieux vaut ça que m’effondré dans un couloir plein d’élève avec la migraine que l’autre nul m’a donnée.

-Merci …

Je ne sais pas trop quoi dire d’autre, Ryan est toujours gentil avec moi, même quand il c’est fâché parce que je l’ai attaqué au fond il n’est pas devenu méchant, pourtant il aurait put, je sais que toucher à la fierté d’un homme n’est pas fort conseiller.

-Ça va aller toi ?

Je doute qu’il me dirait si ça n’allait pas mais je préfèrerais quand même je sais que les hommes sont fier sur le sujet de leurs capacités. Enfin je préfère demander quand même, j’aime bien Ryan je m’en voudrais qu’il soit mal pour être venu m’apporter son soutient. En revanche, je ne m’étais pas vraiment attendu à sa remarque, celle qui est venue en chemin…

-Tu as dû te trompé … Je n’ai appelé personne… et un « appel télépathique » requière des compétences que je n’ai pas.

Enfin je crois, j’en sais rien … depuis le terrain avec Néfir et Sweety j’ai l’impression d’être perdue, je ne sais plus ou sont mes limites et mon empathie ne m’obéis plus vraiment alors peut être … Je n’ai pas vraiment envie de pouvoir user aussi de télépathie, j’envahie assez la vie privé des gens par l’empathie si à ça se rajoute un autre, je doute d’avoir encore envie d’approcher les gens…

-Pour être honnête … je suis un peu … perdue …

Je suppose que s’il y a bien une personne à qui je peux en parlé c’est Ryan, je l’i connu en pire situation que la plupart des gens que je fréquente et il à toujours été un soutient, même pour elias.

-Mes dons n’ont plus changé depuis mes 5 ans, ils ont évolué tout au plus mais n’ont pas changé comme en se moment.