Précédemment


J’ai mis un moment à le ramener mais une fois le seuil franchi, ca a été plus simple, il m’a suffit de l’asseoir sur une chaise a roulette et de l’emmener a mon lit ou je l’ai allongé. Là, c’est toutes les plantes présentes qui m’ont donné un coup de main pour le soulever et l’allonger correctement, de sorte a ce qu’il n’ait pas trop mal au réveil. Puis après avoir rendu a la flore de mon appart un aspect normal, j’ai ramené mon brancard dans la forêt rendent a chaque partie une vie bien a elle en l’accrochant a un arbre ou en la laissant pousser.

En retournant chez moi, j’ai trouvé un kit pour le soin des brûlures et j’ai eut la désagréable sensation que nous avions été observé mais que ceux qui l’avait déposé là n’avaient absolument rien fait pour nous aider. Bon, pour le coup ça c’est bien fini mais je trouve ca particulièrement agaçant, j’ai donc laissé là le paquet et suis rentré chez moi. Avant toute chose, j’ai entrepris de soigner mon héro des fourmis, j’ai donc délicatement retiré ses vêtements au sauveur couvert de blessures limitant quand même les soins à la pudeur de cette époque.

J’ai préparé des cataplasmes aux plantes et lui ai fais les soins avec couvrant les brûlures avec le plus grand soin pour ne pas lui faire de mal. Puis, une fois complètement soigné, ou plutôt ne fois que j’ai eut fait mon maximum, je l’ai couvert, j’ai pris des affaires et je suis parie me doucher et me changer. J’ai préféré faire ça rapidement puis suis sortie de la douche toute fraîche et pleine d’énergie, juste assez d’ailleurs pour aller préparer du thé et attendre en lisant les infos sur l’endroit que j’avais put trouver. Après tout … je connais rien d’ici moi.

Ma dernière vision fut celle de la petite Miley s’approchant avant que tout ne devienne noir. qui aurais pu dire que j'était capable de tel prouesse ...je me déplaçais a la vitesse d'un éclair...je l'ai senti ,mais mon corps ne pouvais pas supporter une telle charge . j'ai vraiment crus que j'y passerais ,j'ai néanmoins compris une chose ,je pouvais compter sur elle.
Mon réveil se fit dans la douleur,toute la douleur provenant des plaies revinrent en même temps , comme quant on sort de l'eau après ses dernière limites. Mes yeux s'ouvrirent et je n'était plus dehors, j'était en intérieur, quelque chose d'assez simple mais très fleuris, autant dire que je ne mis pas longtemps a comprendre ou j'était. Je regarda l'état de mon corps c'était assez étrange de voir a quel point et pratiquement chaque partie de mon corps était recouvert de cataplasme et autre soin. je tourna la tête sur le coté pour essayer de te trouver du regard,mais rien ,elle devais être dans une autre pièce mais dans mon étant actuel autant demander a une chaise de parler...

Miley...

Je sais j'aurais pu dire bien d'autre chose mais c'est tout ce qui me vint a l’esprit. Elle m'avais soignée ,j'ose a peine imaginer comment elle a du s'en sortir pour me trimbaler jusqu'ici...après tout j'était pas des plus léger sans oublier que c'était une fille...

Je tendis le bras ,ou plus précisément je laissa tomber mon bras du lit pour essayer de le lever vers la seule entrée visible de la ou j'était pour qu'elle n'ais plus qu'a la prendre quant elle arrivera...j’espère juste qu'elle ne mettra pas trop de temps ,la douleurs des muscle de mon épaule en fessant ce simple geste m’arrachais une larme tellement c'était douloureux mais je devais la remercier et que quoi qu'il m'arrive.

Je me suis installer sur mon canapé et ai eut le temps de lire une partie de mon livre avant que le thé ne me rappel a l’ordre. Bin oui, ca a beau être a feu doux, l’eau fini toujours par bouillir alors je me suis occuper de sa, j’ai déposé mon bouquin sur le canapé et suis parti retiré l’eau du feu éteignant au passage le gaz avant d’entendre la supplication qui venait de la chambre et me laissât deviner que mon invité d’appoint était réveiller.

Pas besoin d’attendre, j’ai pris les herbes sensé être décontractante pour lui et ai préparé du thé avant d’aller le rejoindre.

-Tiens mon beau au bois dormant se serait il éveillée ?

Si c’est pas trop mignon, quand je suis entré dans la chambre, j’ai vu que mon blesser tendis le bras vers la porte faiblement en souffrant le martyr bêtement. Je me suis approcher et ai posé la tasse sur la table de chevet avant de glisser ma main dans la sienne et de ramener son bras vers lui doucement.

-Tu ne devrais pas forcer déjà, sinon les soins vont servir à rien.

Je lui souriais même si au fond ca m’inquiète un peut, je suis quand même contente qu’il ait survécue. S’aurait été dommage qu’un élève meurt pour me protéger sachant que c’est mon rôle à moi. J’ai pris la tasse pour la lui tendre l’invitant à boire pour une guérison complète.

Elle était enfin la ,je ne sais pas pourquoi j'en était aussi soulagé mais je sourit intérieurement après sa petite phrase. Quant elle pris ma main c'est le seul endroit ou mes blessure semblais avoir disparue au profits de la douceur de ses mains. Elle était si gentille et serviable ,elle était quant même bien différente de kazu même si elle savais se montrer gentille ...pour d'autre raison. Quant elle ramena ma main vers le bord du lit et qu'elle me lacha la main je soupira légèrement.

-Tu ne devrais pas forcer déjà, sinon les soins vont servir à rien.

Je savais bien qu'elle avais raison mais je n'aime vraiment pas rester sans rien faire. il faut que je bouge que ,je fasse quelque chose de mes 10 doigts ,et en l’occurrence j'avais envie de continuer ma lutte contre moi même...même dans mon état.
Je détourna le regard vers la tasse me demandant bien ce que pouvais être ce qu'elle contenais ,je voulu retendre ma main vers celle ci pour y goutter ,pour savoir ce qu'elle m'avais préparer mais ma min fini juste par pendre bêtement sans résistance ,c'était si mal en point que ça ? je ne sentais même pas une partie de celui ci...

tu...tu peut me la donner...s'il te plaît

J'était assez gêne d'une tel demande ,mais si je voulais savoir et y goûter je n'avais pas d'autre choix. j'usa du peut de force que j'avais encore pour lui faire une place ou s’asseoir. mon visage se retourna vers cet personne providentielle et sourit très légèrement ,mais cette fois d'un sourire sincère.

Bon, il avait quand même l’air mal en point mon petit malade mais ca ne pouvait qu’être compréhensible, après tout c’est un éclaire qui l’as traversé et vu le nombre de blessures que j’ai vu un peu partout sur son corps, je suppose que sa a pas du faire le plus grand bien. Enfin, je suis quand même soulager de ne plus sentir les émotions négatives que je percevais plus tôt, cette fois il a l’air d’avoir vraiment repris le dessus et j’admets que ca me fais plaisir, après tout c’est ma mission.

Je n’avais pas prêter grande attention a son soupire quand ma main avait lâcher la sienne mais plus a ce qu’il n’ai plus mal a force de faire des efforts inutiles. Quelque chose me dit qu’il ne va pas bouger avant un moment, ce qui est un poil embêtant mai je finirais bien par faire avec.

J’ai pris la tasse quand il me l’a demandé, puis l’ai porté doucement vers lui avant de voir un vrai sourire se tracer sur son visage. Tiens c’est marrant, j’ai voulu être gentille, ça a raté et réconfortante et c’est quand il du se faire super mal qu’il se décide à sourire, suis plus sure de vouloir poursuivre se genre de mission là quand je vois ca.

Je ne suis pas vraiment sure que je devrais lui en parlé surtout, au risque de le voir partir se joli sourire, un peu faiblard mais bien présent. Je l’aidais à boire le thé préparé spécialement pour lui, en espérant que ses vertus magiques lui feront du bien.

-Comment tu te sens ?

Il se laissait sagement manipuler et acceptais même de boire le thé maison, si seulement tous les malades étaient comme lui, on gagnerait un temps monstrueux. Il lui avait fallut un moment pour répondre a ma question et je pouvais facilement constater qu’il avait des difficultés à répondre mais au moins il faisait l’effort, du coup je préférais ne pas trop lui en demander d’un coup et l’aider à boire tranquillement.

Sa réponse mais fais quand même sourire, c’est plus grâce aux vertus de mère nature et ses créations mais c’est mignon de sa part de me dire que c’est grâce a moi, c’st même a la limite du touchant. Je reposais la tasse sur le coté une fois le breuvage terminer et l’entendit me remercier en m’offrant je cite ‘tout ce qui me ferais plaisir’, je doute d’avoir envie ou besoin de quoi que ce soit sr le coup mis je me souviendrais de cette proposition plus tard, au besoin.

-C’est gentil, mais c’est surtout moi qui devait te remercier, après tout tu m’as protégé de cette … chose.

Je l’aurais bien laissé se reposer un peu plus, mais semblerait qu’il ait d’autres idée en tête, puisqu’il continuait de lutter pour parlé et surtout me poser une question a laquelle je ne m’attendais pas vraiment mais qui me fit quand même doucement rire. Il s défendit bien vite, me disant que je n’étais pas obliger de répondre et s’énervant tout seul

-C’est ca

Sa question ne me semblait pas particulièrement déplacée, au contraire, il semblait vouloir en savoir plus sur cet endroit et moi alors autant lui répondre. Il était amusant la tout de suite, j’avais écarté un peu la tasse histoire d’être sur de ne pas la casser avant de m’asseoir sur le bord du lit.

-En fait, les dirigeants de cet endroit son venu dans la forêt ou j’avais élu domicile, ils se sont servit de leurs magie pour contré la mienne et me contraindre à accepter de venir. Mais si sa peut te rassuré, je n’ai pas de regret.

De toute façon, ca n’est pas comme si j’avais quelqu’un à retrouver quelque part, cette pensée me rend d’ailleurs un peu triste. Mais bon, je passe d’une vie solitaire à un endroit ou même les nuages attaquent, je devrais être amusée puis, ca me fera découvrir de nouvelles choses.

- Dis-moi tout, d’où viens le héro des fourmis ? Puis surtout comment tu t’es retrouvé ici ?

Les regrets étaient rester derrière, je les avait abandonner là ou je vivait avant et puis, être dans un endroit comme celui-ci ne pouvait que m’apprendre de nouvelles choses alors a quoi bon ressasser quand c’est un nouvel avenir qui s’offre à soit. Je ne m’étais pourtant pas attendu a la suite de notre discutions, pour moi le gentil héro des fourmis n’avait plus rien avoir avec le Heiji qui me racontait son existence a l’instant.

Je n’avais pas vraiment réagit quand il m’avait dit chasser pour vivre, après tout même si s’était une pratique que je n’appréciais pas particulièrement, elle avait toujours été emprunté par l’homme pour subvenir a ses besoins alors je n’avais trop rien à y redire, c’est plus la suite qui m’interpellât. Au moment où il achevât sa phrase par ‘chassant les vampires’, mon cœur se serra violemment, accompagné bien sur de mes mains qui attrapèrent au passage le vêtement le plus proche m’évitant l’expérience des ongles qui s’incrustent dans la main.

Je n’arrivais pas à admettre qu’on puisse faire ce genre de chose et l’entendre me dire que ca le rendais heureux me donnais juste la nausée. Comment peut on annoncer avec tant d’espace et de désintérêt avoir traqué puis tuer des êtres magiques, surtout en s’adressent à l’un d’eux ? Il poursuivait son récit mais je ne comprenait pas pourquoi, en soit j’arrivais d mieux en mieux a entrevoir ce qui avait put le tourmenter plus tôt et me sentais déchiré par l’envie et lui retourner toute la colère de mère nature dessus, rendre a ceux qu’il avait exécuter la liberté d’atteindre le repos en les délivrant par une mort si vicieuse que cruelle. Mais une part de moi ne pouvait s’y résoudre, si sa vue avait été épargné c’est que les plans pour lui étaient tout autre alors de quel droit m’en mêlerais je, en quoi serais je meilleures que lui si ma réaction égalait la sienne ?

Je n’ai pas le moindre mal à imaginer la scène lorsqu’il me parle de la mort de ses parents, j’ai au moins eut la chance de ne pas assister a la mort des miens, même si au fond j’échangerais tout ce que je possède pour que leurs destin ait été changé. Alors s’était ca la vrai vie ? Celle qu’on découvre aujourd’hui, ou on s’entretue en permanence et la haine et le sang domine les cœurs ?

-Les temps n’ont pas tant changé…

J’ai beau lutter pour contenir l’ensemble de mes pouvoirs, j’ai l’impression de bouillir de l’intérieur et les fleures de la pièce se mettent a fanées. Je ne peux pas assimiler ca, comment peut-on en arriver à un tel degré de haine. Sa main qui se pose sur ma joue me fais l’effet d’un poignard, c’est toute sa peine que je sens pénétré mon âme et rejoindre la mienne pour venir rajouter a cet atroce sentiment qu’est la colère.

-Plus l’Homme est fort, plus il est idiot et cruel.

J’ai beau être incapable de m’en prendre directement a lui, ca n’empêche pas le mouvement de recule a ce contact qui se voulais doux et qui a fini comme une violente attaque. Je suppose que c’est une constante qui ne changera jamais, quoi qu’on fasse, ici ou ailleurs, l’Homme est fait pour haïr. Je me suis relever et ai pris la tasse laissant ma peine se déverser dans les plantes présentes et suis repartie pour la cuisine sans rien ajouter, une violente douleur enserrant mon corps par endroit, une main sur le ventre les doigts serrés sur une boulle brulante et une nausée persistante et la même dans la gorge bloquant les mots que je préfère retenir de toute façon, je suppose que je devait m’y attendre. Les gens d’ici ont tous ce genre de passif, personne ne rattrapera personne et mieux vaut que je poursuive mon chemin avec Melian.

- Repose-toi.

Je suis parti bien assez vite pour m’éviter les questions ou toute réaction qu’il aurait put avoir et j’ai pleinement conscience de la brutalité de ma réaction mais c’est juste impossible pour moi de rester et de l’écouter me parler de sa belle vie de chasseur. J’ai beau essayé je ne parviens pas assimiler comment un être humain peut faire ce genre de chose et toute cette douleur que je ressens ne m’y aide pas. En sortant de la chambre, je me suis adosser au mur et serrant la tasse d’une main, je ne sais même plus comment réagir, c’est moi qui ai demandé ses réponses mais a quel prix, j’ignore même comment agir maintenant.

Je suppose que je devrais juste attendre qu’il se remette et le remettre dehors, tant qu’l est souffrant j’ai des obligations, pourtant il avait l’air si gentil que j’ai du mal a m’y faire. Le destin l’a puni alors pourquoi insister, il est grand temps qu’il cesse de se torturé, c’est comme ca que j’ai toujours vu les choses et pourtant… impossible de faire le moindre pas, cette boule dans ma gorge se fais toujours plus douloureuse alors que je me suis doucement laisser glisser contre le mur finissant par me laisser asseoir sur le sol et y ai déposer la tasse.

La tête dans mes mains et les jambes ramenées vers moi, je me sentais presque déchiré par l’attitude que n’importe qui aurait et l’idée de ne pas avoir a porté de jugement si je faisais ca. Ça aurait surement put durer un mon moment si un bruit dans la chambre n’étais pas venu troublé ma petite bulle. J’ai regardé vers la porte et rien ne c’est arrêter, de nouveaux bruits se sont fait entendre, des sons qui ont fini par me faire lever alors que je l’entendais parler a travers la porte.

Après m’être relever et avoir poussé la tasse, j’ai ouvert la porte sur Heiji qui s’était lever et tentais plus ou moins de tenir debout. Je ne sais pas trop si je dois être surprise de sa force … ou juste lasser d’une telle bêtise.

-Si tu veux te suicider, y a des méthodes bien plus rapides et efficaces

J’ai levé les yeux sur les plantes de la pièce à sa remarque manquant de peu son piètre sourire avant d’avancer vers lui et te l’aider à se lever en soupirant. Je suis presque sure qu’il a rouvert ses blessures alors que je m’étais embêter a les soignées, c’est idiot de bouger dans un tel état mais bon il n’est plus vraiment un gamin, je ne peu donc trop rien lui dire.

-Tu n’es pas faible...

Pas question de faire de balade là, c’est retour au lit. J’ai du l’aider à se déplacer puisqu’il a beau force, son corps réclame le repos, mais bon, au moins il est plus facile a transporter quand il n’est pas complètement endormi. Puis l’aider maintenant m’évite d’avoir a me torturé l’esprit avec des questions.

- Blessé et pas forcement malin, mais pas faible.

Je l’ai plus ou moins contraint a se réinstaller, vidant au mieux mon esprit de ce qu’il avait du emmagasiner plus tôt et sans plus prêter attention reste.

-Reste sage, tes blessures ne guériront jamais si tu continue de t’agiter comme ca.

Me blesser, c’est ce qu’il disait, pourtant je n’ai pas été blessé, je suis triste c’est vrais et je ne peux pas comprendre ce genre d’action mais ce n’est pas pour autant que ca me blesse. Il est mimi le héro des fourmis, il ne pense même pas une seconde que c’est mon passer qui peut m’avoir le plus marqué, il se torture encore un peu plus en s’imposant l’idée que c’est lui qui m’a fait du mal. Je le regardais simplement sans trop savoir quoi dire, il m’a l’air un peu trop affecter pout une simple phrase un peu trop mal tourner pour passer, mais bon c’est aussi ce qui fait que l’homme n’est pas qu’une brute sans cervelle.

J’écoutais simplement en restant près du lit sans bouger ne relèvent pas ce qui méritait de l’être puisqu’ils semblait bien décider a s’accabler de tout les reproches qu’il pourrait trouver, autant ne rien dire et le laisser finir. J’ai du me retenir de rire en l’entendent parler de ma ‘mission’ mais franchement, ce n’est pas ce qui devrait l’intéressé vu son été, mon état est bien secondaire quand on voit le sien. J’aurais put me contenter de partir, sans plus rien dire et le laisser récupéré simplement comme je l’avais envisagé plus tôt. Le laisser juste là seul dormir et offrir aux plantes l’occasion de faire leurs travails mais ca dernière phrase me perturbât.

En a peine quelques mots, il venait de passer du stade chasseur de monstre que je ne pouvais même pas aider au Heiji que je venais de rencontré, le héro des fourmis prêt a se faire roussir le poil pour me protéger d’un petit nuage électrique.

-Ca ira mieux après une bonne nuit de sommeil…

Je l’ai couvert doucement et ai déposé un baiser plein de douceur sur son front avant de rendre aux fleures de ma chambre leurs aspect initial et d’aller a la porte.

-Repose toi et ne te lève plus, tu dois guérir.

Puis je suis repartie en laissant la porte entre ouverte au cas où et j’ai récupéré la tasse que j’ai déposé dans la cuisine avant de m’allonger dans le canapé. J’ai laissé passer un moment avant de finir par m’endormir, fatigué d’avoir user de tant d’énergie.

C'était enfin fini ,enfin pour le moment ,je me sentais seul et apaiser ,même si la douleur était toujours présente ,l'odeur des plantes de la pièce nouvellement refleurie apaisa quelque peut ma douleur. j'était aussi très heureux du fait que malgré tout ce que j'avais dit elle voulais encore que je me sent mieux et apaise mes douleurs. J'allais lui faire ce plaisir et ne plus bouger le temps de me soigner complètement. J’ouvrais les yeux de temps en temps et voyais le soleil se coucher puis doucement la nuit tomber.
Je me demandais combien de temps j’allais bien pouvoir rester ici ,après tout je n'allais pas rester ici éternellement et elle allais certainement devoir expliquer pourquoi je suis la et non pas a l’hôpital...en clair je lui apporte encore des problèmes. Même si sa n'avais pas beaucoup d'importante au final je ne voulais pas la gêner ... mais je commençais surtout a me demander si je ne m'en faisais pas un peut trop, c'est vrais quoi c'est une grande fille et avec des pouvoirs tel que les siens, elle n'avais pas vraiment besoin d'une pauvre andouille incapable de bouger le moindre muscle pour la sauver ...
Et la sauver de quoi ? jusqu'ici c'est ma faute tout ce qui est arrivé...je devrais peut être arrêter de faire quoi que ce soit et après tout ce n'est pas comme si j'avais le choix mais pour le moment j'ai besoin de dormir...

On était déjà le lendemain ou le jour d’après ,je ne savais pas combien de temps j'avais pu dormir ,mais je me sentais mieux ,beaucoup mieux, certes la douleur n'était pas partie ,après tout je reste humain ,enfin en partie ,il serais impensable que je guérisse si vite...

Mon visage s’arrêta sur les fleurs qui était encore fraîche ,et le soleil éclairant la pièce ,mais ce que je voulais surtout voir c'était elle ,je voulais la voir pour la remercier ,la voir pour lui dire que je serais la pour elle ...ce genre de chose. Mais malgré mon attente elle ne vint pas ,elle ne m'avais peut être pas entendue suite a quoi j'ai fini par l'appeler par ton nom.

Après toute une nuit passer sur mon canapé, ce sont les premiers rayons du soleil qui sont venus me réveiller. C’est d’ailleurs seulement au réveille que j’ai réalisé que l’utilisation un peu trop intensive de mes pouvoirs ai à proscrire, je me réveillais a peine mais avec un mal de tête qui s’imposait, faut dire qu’entre les émotions a vif et la manipulation naturelle, rien de lus normal qu’une grosse fatigue.

Après un moment, je me suis levée et suis partie directement voir le blesser qui semblait enfin décider à rester sage. Il dormait bien a priori et changer les pansements ne fut pas vraiment compliqué. Puisqu’il ne s’éveillait pas, je me suis préparée puis suis partie laissant Melian pour le surveiller pendent que je passais ma journée dans la forêt. Je pense qu’il n’y avait pas vraiment eut de souci puisqu’en rentrant, j’ai retrouver ma petite princesse coucher près d lit a dormir bien sagement. J’ai donc continué ce que j’avais à faire, rangeant ma maison. J’ai bien sur préparé a mon invité de quoi manger si il avait faim et lui ai déposé près du lit. Puis j’ai laissé mourir une nouvelle nuit sur mon canapé, pas forcement confortable d’ailleurs.

Enfin bon, cette fois, ce n’est pas le soleil qui est venu m’éveiller mais Melian, elle avait entendu l’appel venant d’Heiji et s’était bien sur assuré que je me réveille en venant me faire des léchouilles et des caresses jusqu’à ce que je me lève. Je ne suis quand même pas allé tout de suite à la chambre. Après avoir passé un pull assez grand pour me couvrir par-dessus mon short débardeur, juste histoire de ne pas non plus me promener si peu couverte … bin oui même chez moi, y a quand même quelqu’un. J’ai pris le temps de lui re préparé une tasse de thé et de m’en faire une même si la mienne n’avait pas les vertus guérisseuses que j’avais essayé d’appliqué a la sienne.

C’est seulement à ce moment que je me suis décider à aller a la chambre pour y trouver un petit Heiji tout sage qui ne s’était pas levé, ce qui n’est pas plus mal.

-Présente !

Cette fois, j’avais mis de vrais pansements sur ses blessures qui d’ailleurs devaient déjà avoir bien récupéré. Puis franchement ca façon de m’appeler me faisait bien rire, je me serais crue en cours quand un prof fait l’appel, mais moi j’ai passer l’âge, je pourrais bien être son arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière […] arrière arrière arrière grand-mère, enfin, en terme d’âge bien sur, c’est théoriquement parlent impossible mais sa aurait put être marrant.

-Comment tu te sens ?

J’ai déposé la tasse a coté du sandwich et me suis assise sur le bord du lit, ne doutant pas vraiment qu’il allait encore s’excuser mais un peu fatigué de tant d’excuse en si peu de temps.

Comment je me sent ,a vrais dire je ne savais pas vraiment quoi lui repondre ,j'avais encore mal mais je ne voulais pas l'inquiéter ,mais je ne veut pas non plus lui mentir... Tu parle d'un diléme ! sa aurais pu etre tellement simple mais je n'osais en aucun cas lui dire.

je veut savoir comment tu va...toi

J'avais trouvé une parade pour ne pas répondre ,bien que cette question aussi était importante ,je ne suis pas stupide au point d'imaginer quelle ai bien dormis ,aprés tout je suis dans son lit.

Tu à du dormir dans un...canapé ou quelque chose dans le genre non ?

j'allais m'excuser mais après tout pourquoi je devais encore m'excuser ,je pense l'avoir déjà fait assez de fois ,mais bon comme on ne change pas une personne en une nuit je tendis la main pour prendre la sienne

Je suis m'excuse...encore ,mais tu a fait beaucoup pour moi...

Je la regarda dans les yeux ,j'était assez heureux dans le fond de la voir , presque comme si elle avais illuminé ma journée par sa simple présence. c'était un peut stupide dans le fond mais c'était vrais ,et puis c'est pas comme si j'avais eut beaucoup de distraction dans le coma

Dit... je te fait ...je peut rester encore ...combien de temps ?

Loin de moi l'idée de partir ,au contraire j'était vraiment bien ici ,mais elle allais sans doute s’inquiéter et elle ne me pardonnera peut être pas ...d’être ici ,cher une autre fille ...peut être oui ,après tout je n'en sais rien elle m'aime ou pas... je me pose encore cette question.

toi par contre...

j'avais laissé échapper une phrase ,seule certes mais elle allais certainement apporter plein de question a son sujet ,je devais rapidement trouver une suite a cette phrase...
l’embarra que j'avais devais se sentir a des kilomètre a la rond et je préféra me retourner et m'enfuis sous les couverture. J'était lâche mais je n'allais certainement pas dire la suite de mes pensée ,pas maintenant et pas devant elle ... elle m'avais aidée ,rien de plus ...

Tu ... m'aime bien...?

c'était une suite logique pour la phrase ,mais elle ne cachais en rien ce que voulais dire a la base ,je le detourne juste ...
J'attend rapidement une réponse d'elle en restant caché sous mes couvertures.

C’est vilain d’éviter la question mais bon, moi ca ne peu qu’aller par rapport à son état de santé je m’en tire plutôt bien. Quand il réalise que j’ai passé la nuit sur le canapé par contre, j’avoue que j’ai envie de rire, ce n’est pas non plus si terrible, j’ai connue pire puis de toute façon, ca n’st pas non plus comme si j’avais vraiment eut le choix. Je me suis donc contenter de sourire en répondent normalement a sa question.

-Ne t’inquiète donc pas de sa, l’important c’est que tu aille mieux.

Un minimum au moins, parce que sans ca je ne saurais même plus comment le soigner, moi à force. Cette fois, pas de sentiment trop violent quand i a pris ma main, une certaine confusion mais rien de plus important donc je suppose que ca va un peu mieux et j’avoue que ca me soulage. Pas que soutenir un héro pour fourmis soit réellement ennuyeux, c’est plus l’idée d’avoir encore mal par ses émotions trop vives commencerais vraiment a faire beaucoup pour une première rencontre.

Puis reviennent encore les excuses qui me font doucement rire. Je ne peux trop rien dire, c’est comme ca c’est tout, je ne pouvais pas le laisser  tristounet dans son coin puis après qu’il se soit blesser pour me protéger je n’allais pas l’abandonner.

-Bon, dans se cas ce n’est pas tant pardon que merci que tu devrais essayer

Je me moquais un peu c’est vrais mais franchement, on ne s’excuse pas parce que quelqu’un est gentil, au contraire n dit merci on explose dans pleins d’émotions toutes douces et on se soigne quand c’est important. Par contre la question suivante me trouble un peu, je ne pense pas l’avoir jeté dehors alors pour le moment la question ne se pose pas vraiment, puis vu son état je ne vais pas le viré.

-Tant que tu en auras besoin

Je n’ai plus trop l’habitude de la vie en communauté mais pour le coup je n’ai rien contre ca présence, si ce n’est qu’il ne devrait pas trop tarder a arranger la situation qui le perturbait tellement. D’un seul coup, on aurait put croire qu’il avait entendu, le voilà qui se referme et se cache sous la couette complètement pour me demander si je l’aime bien.

-Bien sur !

Franchement pour moi la réponse coule de source, nous sommes tous les enfants de la nature alors oui j’essaie d’aimer tout le monde avec une ou deux exceptions mais toujours sans haine. J’ai appris à chasser ce sentiment qui fait mal, c’est pourquoi ca question n’a pas grand sens pour moi.

-J’aime tous les enfants de mère nature.

Je me suis hisser sur le lit et me suis adosser au mur en gardent les jambes plier par-dessus le joli coquons de draps avant de sourire.

-Heiji, tu sais ce qu’est l’empathie ?

Faudrait peut être que je lui explique quand même, c’est un peu ce qui fait de moi celle que je suis.

-Je suis empathe, je peux capter tes sentiments le plus profondément enfouis tout comme je saurais te faire parvenir les miens.

J'avais récupéré ma tasse et regardais le thé en reprenant avec calme, comme toujours.

-Quand j’étais jeune je n’avais aucun contrôle dessus et s’était souvent ce qui me faisait le plus de mal. Parfois la haine des hommes est si violente qu’elle m’en donne l’impression de prendre un poignard en plein cœur. Alors en grandissant quand j’ai développé mon don, j’ai décidé de chasser ses sentiments de ma vie. C’est aussi simple que ça.

Je me doutais bien que ma réponse ne serait pas celle qu’il attendait mais je ne me voyais pas pour autant lui en donner une autre. J’ai toujours préféré être claire et il me semble bien l’avoir été, c’est ce que je pense et ai toujours pensé quoi qu’il arrive j’essaie juste de voir le verre à moitié plein. Sa réaction me ferais presque rire, il est mignon mais ce genre de sentiment n’a trop rien d’étonnant, c’est même normal, on a souvent tendance à développer de l’attachement pour une personne qui nous apporte une certaine forme de sécurité alors ca n’a rien d’étonnant.

Même si au fond ca reste mignon tout pleins, je pourrais être sa grand-mère, avec beaucoup d’arrière devant. En tout cas, j’apprécie l’effort, je sens qu’il tente d’être content même sans le montré et c’est mignon tout plein sa prouve que mon travail n’est pas juste inutile. Il se réinstallât un peu mieux libérant tout juste son visage avant de me demander de lui parlé de moi, ce a quoi je ne répondrais pas non mais toute ma vie ca risque d’être longuet dans le fond.

-Oui, si tu veux

Sa précision par contre me fait rire, je ne peux vraiment pas m’en empêcher cette fois et ai doucement rit en posant la tasse sur mes jambes, après tout on a le temps. Mais j’aimerais quand même savoir un peu plus sur ce qu’il veut savoir, je ne suis pas vraiment biographie.

-Alors, j’ai été recueillit quand j’étais bébé par un couple humain. J’étais très proche d’eux et ils ont fait de moi la femme que je suis aujourd’hui même si leur éducation date.

J’ai soufflé sur mon thé et ai repris toujours tranquillement.

-Puis ils m’ont marié très tôt à un humain qui a vite renié ses vœux après avoir découvert ma nature. Et des hommes ont dispensé leur haine chez moi. Ils ont tué mes proches et ont mis le feu à nos maisons après avoir tué beaucoup de gens. Et je me suis isolée dans la forêt jusqu’à être ramener ici par les directeurs.

Voilà, ma vie version abréger, surtout sans les pires passages.

-Je crois que c’est tout, enfin dans les grandes lignes.

Heureusement que les grandes lignes étaient suffisantes, je n’avais pas particulièrement envie d’entré dans les détails et même si le ‘pour l’instant’ n’était pas forcement de bonne augure, j’appréciais le respect de mon choix. Entré dans les détails c’est retrouver de vieux souvenirs, je préfère me tourner vers l’avenir là et en l’occurrence, l’avenir c’est bien l’éducation de la jeunesse non humaine.

J’essaie généralement d’éviter de trop m’introduire dans la tête des gens, préférant de loin manipuler des animaux et autres dans le genre que d’essayer de faire de même avec les humains, mais là j’aurais voulu savoir a quoi il pouvait bien pensé le p’tit malade a me regarder comme ça. Puis, c’est une phrase étrangement commencer qui quittât ses lèvres, il est assez rare qu’on appel quelqu’un ‘mon amie’, mais bon, au moins avec Heiji, je suis sure de là ou je mets les pieds, puis c’est toujours amusant à entendre.

-Une maitresse … et un empêcheur de tourner en rond, sacré expérience.

C’est un peu étrange pour une école qui se vante de vouloir protéger ses protéger et la paix entre les deux espèce, d’avoir un climat inapproprié a l’amitié, àa doit être assez intéressant a observer, mais le mot d’ordre est de pas trop approcher les élèves, enfin si j’ai bien compris. Je suis pas vraiment sure que l’école soit ce que les deux avaient prévu, mais de ce que j’en ai vu jusqu’ici elle n’a pas l’air trop mal partie, c’est même une belle idée pas forcement bien organiser. Mais les conflits sont souvent le meilleurs moyen de noué des liens solides.

Parlant de lien, voilà que le petit Heiji viens passer ses bras autour de mon cou me laissant éloigner m tasse de peu et sourire doucement en posant une de mes mains sur lui. Bon, je ne l’ai pas vraiment réconforté hier, puis il semble bien tactile, alors autant lui faire le p’tit câlin qu’il réclame.

-Dans ce cas, je serais ravie d’être ton amie

Puis bien sur, il est fatigué, je ne m’attendais pas a ce qu’il retombe si vite mais si, le câlin fini, c’est le lit qui bouge et le blesser du jour deviens d’un coup bien rouge. Au fond, ma première pensée a été la fièvre j’étais assez loin de ses pensées moi, je préfère m’assuré de prendre soin de protéger mon protecteur occasionnel.

-C’est ta ‘maitresse’ qui t’as mis dans l’état ou tu étais l’autre jour ?

C’est donc tout naturellement que j’ai posé ma tasse sur la table de nuit et me suis pencher sur jiji, j’ai juste posé mon front contre le siens pour vérifier ça température et rassurée, j’ai repris la tasse que je lui avais préparé pour qu’il puisse en boire, les plantes dedans devraient lui faire du bien, enfin j’espère que ça aidera.

-Dis m’en plus sur elle, comment elle est ? Et surtuot pourquoi tu l'appel maîtresse, je trouve ça ... soit terriblement méchant, soit vraiment tordu

Tout est toujours si compliqué avec les Hommes, la nature en soit est bien plus simple, un piège mortel est un piège mortelle et une douce et délicate fleure peut en devenir le parfait porteur, cette règle devrais s’appliquer  tous, pourtant l’Homme se cherche mille et une raison d’être malheureux et de ce voilé la face. Heiji semblerais presque pire encore que ca, il se blesse seul pour une pseudo faiblesse, c’est étrange, j’ai beau avoir pris de l’âge, rien ne me parait plus clair et la nature de se êtres me reste étrangère. Comment peut-on juger seul de sa faiblesse ? Si je me retrouve face a une flamme mon don deviens caduque et tous mes sens s’endorme, est ce une raison pour moi de dire que je suis faible ? Ou alors, c’est un point que seuls les hommes peuvent comprendre, une espèce de fierté mal placé.

Bref, toutes ses divagations ne m’avance pas plus et mon petit malade reprend déjà dans un soupire, comme si l’explication de sa relation était difficile. J’aurais presque envie de rire en entendent l’explication, j’avoue que le concept de maitresse qui sauve une vie m’échappe un peu plus encore que tous le reste, toutes ses coutumes ne sont pas e mon temps, pourtant rien ne me permet de l’expliqué, j’ai beau chercher en moi ce qui peut pousser une jeune femme a se faire appeler maitresse, mis a part des penchants assez prononcer pour des jeux pas forcement très saints, rien ne me viens.

-tu as presque l’air plus perdu que moi là, c’est mignon.

Ente les je l’aime, enfin non mais si un peu quand même et les, elle m’a sauvé la vie donc je lui appartiens, sans oublier les repas, j’ai juste mal a la tête. Heiji est amusant quelque part et j’ai beaucoup de mal a ne pas rire, me contentent de sourire en l’écoutant sagement. J’ai profiter du fait qu’il se mette sur le dos pour rapprocher un peu plus sa tasse et l’inciter a voire, pas que j’ai envie de le souler, puis avec des plantes médicinales ca ne sera pas forcement facile, mais j’aimerais quand même que ses blessures finissent par guérir un moment ou un autre.

-J’imagine qu’il n’y a pas de bon chois. Pour moi, tout ce que tu fais entraine des conséquences, alors notre rencontre n’est qu’une suite logique des sentiments fort et très trouble que tu éprouver pour ta maitresse… et dont tu devrais surement lui parlé.

La par contre, je ne m’empêche pas de rire, j’ai l’impression de prendre un siècle, la façon qu’il a d’espéré une réaction de son amie m’amuse, à ce moment je n’aurais même pas eut dans l’idée d’être la raison de son sourire mais rit tout de même doucement.

-Je ne suis pas certaine d’avoir envie d’être l’objet de la jalousie de ta petite… de ta maitresse

Mais là j’ai un mal de tête qui persiste et envie de dormir, donc, puisqu’il est sage cette foi et n’essaie pas de se sauver, je m’allonge simplement près de l’ex assassin, question d’habitude, et d’éducation, je garde une distance entre lui et moi me contentant de fermer les yeux simplement pour me reposer un moment, c’est largement suffisant et même pas besoin de dormir après ca.

S’était tout de même dommage, la jeune fille qu’il avait proclamé maitresse n’aurait même pas l’occasion de connaître ses sentiments pour des histoires un peu stupide de dieu sais quoi. Bon après tout pourquoi pas, ils étaient bien libre de faire comme bon leur semble, mais s’était aussi une triste idée, sans lui dire elle ne saurait le deviner et se trouverais obligatoirement mise a l’écart a un moment ou un autre quand les sentiments deviendraient trop fort. Enfin bon, ce que j’en dis moi, je me contente donc de m’allonger alors qu’il semble bien plonger dans ses pensées et puis quand mes yeux se  ferme, plus rien, j’aurais presque l’impression qu’il est parti.

Bien sur je ne me suis  pas tout de suite endormie, même si j’avoue que l’idée m’avait caressé. Heiji devait être là mais a se moment il était devenu plus calme et la pièce était de nouveau celle qu’elle était depuis que je vivais là, pleine de pièce et vide de monde, ce qui en soit n’était pas particulièrement gênant. Je m’étais fait a la solitude avec le temps et puis Melian n’étais pas loin, il était facile de percevoir son souffle tout près du lit, puisque oui … Melian ronfle, c’est d’ailleurs assez amusant a attendre, mais au moins je sais quand elle dort.

J’attendis sagement un mot ou quelque chose mais rien ne vint et ce calme ambiant fini par faire ressortir la fatigue de ses derniers jours, même si à l’ origine j’avais juste envie de me reposer, là j’allais vraiment finir par m’endormir. La présence auprès de moi était comme un lointain souvenir, un moment ou j’avais vraiment partagé se genre de moment avec quelqu’un et avant de basculer dans le sommeil, j’ai doucement ouvert les yeux sur un Jiji qui semblais me fixer. J’en aurais presque rit a ce moment mais me suis contenter de sourire et de venir me caller tout contre lui et sa chaleur, bin oui, au fond la chaleur est source de bien être.

Je me suis donc loger dans ses bras, venant poser une main sur son torse pour finir par me laisser emporter par Morphée.