(-18) coucou c'est le loup [PV Elias]

Mon 'oui' était sortit par réflexe à sa deuxième question sans que je n'ai ne serait-ce qu'eus le temps d'y penser. Évidemment que Daeron m'avait manqué. Je n'aime pas quand son absence se fait trop longue, j'ai besoin de sentir sa présence. D'un autre côté, je pourrais pas le voir comme ça tous les jours, parce que sinon, mes hanches tiendraient pas le coup bien longtemps. Puis Daeron avait relevé le fait qu'il n'attendait plus mon accord en se moquant de moi, mais j'étais à milles lieux de penser à ça.

Je me remettais à peine de mon plaisir que je sentais son emprise sur tout mon corps, me faisant frémir et me tordre tant et plus. Sa main était ensuite revenue s'en prendre à ma virilité, et je ne demandais rien de mieux qu'à me laisser faire, me laisser totalement aller à tout le plaisir qu'il pouvait me donner. Seulement, je sentis soudain une chose à laquelle je ne m'attendais pas du tout : il retirait mon collier !

Je lui lançais un regard surprit sans comprendre. Pourquoi est ce qu'il faisait ça ? Depuis le temps que je le portais maintenant, je me sens incomplet, réellement nu sans ça. Pendant une seconde, je m'étais même demandé si j'avais fait une connerie pour qu'il le balance plus loin comme ça. Puis sa langue vint passer sur cette zone restée si longtemps à couvert, que je découvrais être soudainement beaucoup plus sensible. J'ai frissonné en me rendant compte qu'il était en train de me marquer, ça faisait longtemps, et j'adorais l'idée ! Puis sa morsure m'a fait sursauter alors qu'un léger cri plus de surprise que de douleur m'avait échappé. En fait, je m'en fichais un peu qu'il décide de me faire mal comme ça si c'était pour qu'il me marque. J'aimais trop garder le souvenir de ses visites.

Je l'avais ensuite laissé manipuler ma jambe pour me mettre sans problème dans la position qu'il souhaitait m'imposer, et à vrai dire, ça m'excitait grave, sans compter que je le sentais venir fouiller au fond de moi, et c'était juste trop bon. Installé sur le côté, j'étais appuyé sur l'un de mes bras replié sous moi, l'autre à côté. Mes cheveux m'étaient totalement retombés sur le visage, et même si ce n'était pas vraiment pratique pour respirer, j'arrivais simplement pas à penser à les écarter tellement les coups de reins de Daeron me secouaient. Vu comme il y va, je sais qu'il me faudra encore un petit temps pour me remettre après coup, mais ça, c'est pas une grande surprise, je commence à avoir l'habitude, alors je ne me préoccupais de rien d'autre que de prendre mon pied, mon corps se crispant délicieusement de plaisir.

Je suis rentré

(-18) coucou c'est le loup [PV Elias] - Page 2 Ecfze12

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

J’adore voir son visage quand je lui retire le collier. Franchement c’est un délice, surtout quand on sait que cet accessoire vient normalement avec une laisse. Je pourrais presque m’amuser à lui faire porter d’ailleurs, une partie accrocher au collier, l’autre autour de son désir, une journée, ou deux. Lorsqu’enfin je finirais par le libéré, je sens que son engin en aura des choses à me dire, au point de frémir à chaque approche d’un membre à moi.

Je m’amusais donc à le marqué et il réagissait à peu près comme je l’avais supposé. J’ai même put mordre pour que la trace reste plus longtemps sans qu’il s’en plaigne, si ce n’est pas pratique tout plein ça. Puis bien sur, le jeu à repris, dans des positions différentes mais toujours des plus intéressantes à observer, il y a longtemps que je n’avais plus vu mon poisson dans autant de postures si plaisantes à regarder.

J’ai fait en sorte de poursuivre jusqu’à épuiser son corps, finissant dans un râle de satisfaction. Puis, je me suis juste allonger dans le lit d’ombre que j’avais fait. J’ai laissé à Elias le soin de se placer, après un moment comme celui-ci, il à bien droit à un peu d’attention. J’ai put enfin me poser un peu, mais pas envie de dormir, plus de lire, j’attends donc qu’il s’endorme un peu et viens doucement l’embrasser, ne le réveillant pas et lui murmurant :

-Ou est ton journal ?

J’ai envie de lecture moi et une fois localisé, j’envoie mes ombres le chercher pour bouquiner un peu tranquillement.

Encore une fois, Daeron me retrancha dans la luxure au point de pousser totalement mon corps à bout, et je n'avais strictement rien à redire tellement il m'avait guidé pour aller enfoncer les portes du plaisir, encore et encore. Quand le jeu s'était achevé, j'étais complètement dans le gaze. Essoufflé, étourdit, je sentais même plus mon corps à part cette délicieuse sensation de flotter. J'avais pas pu empêcher mes yeux de se fermer, même si je luttais contre le sommeil de toutes mes forces. Faut dire, j'avais une très bonne raison de vouloir encore en profiter au maximum : Daeron me garde contre lui en douceur !

Un bon moment passa pendant lequel je ne pensais strictement à rien. J'étais juste vraiment bien comme ça, et lentement, je commençais à somnoler. Juste avant que je ne sombre pour de bon, les lèvres de Daeron sont venues chercher les miennes, me faisant soupirer de bien être. J'ai entendu son murmure, et sans vraiment réfléchir, je me suis mis à grommeler, à moitié endormit :

« Carnet de bord... »

Ça n'a rien à voir avec les p'tits cahiers roses avec le cadenas en forme de cœur. C'est un truc de gonzesse, ça. Pourtant, ça m'a pas empêché de me traîner -assez péniblement- au bord du lit sans même ouvrir les yeux, et ramener vers moi le coffre qui traînait dans la chambre grâce à l'eau sur le sol. En apparence, c'était un gros coffre en bois où je rangeais des babioles. Pourtant, quand je posais la main dessus, une seconde plus tard des runes bleutées apparurent sur le couvercle, en lorsque je l'ouvris, il révéla son vrai contenu. C'est là que je rangeais ce à quoi je tenais, à savoir, ma lance qui m'attendait patiemment, quelques souvenirs de la maison, et un vieux carnet que j'attrapais avant d'abandonner le tout, et revenir vers Daeron.

Pendant tout ce temps, je m'étais pas réellement réveillé. Daeron voulait mon carnet, donc je lui donnais. Si j'avais été clair d'esprit, j'aurais commencé à stresser, à me dire que c'était horriblement embarrassant ! Déjà, il avait lu mes pensées quand j'étais gamin, maintenant il allait savoir tout ce qui pouvait me passer par la tête, ma façon de répertorier les gens, et surtout, il y a beaucoup de choses écrites sur lui ! Mais au lieu d'avoir ce genre de pensées, j'étais simplement revenu me blottir contre lui, posant ma tête sur son torse, et ma main sur son ventre musclé, et je me suis endormit pour de bon.

Mon carnet de bord!:

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

Je me doutais qu’il faudrait à un moment ou un autre qu’il s’endorme, je sais d’ailleurs que c’est là que je dois frapper, j’ai donc sagement attendu. Qu’il décide de se mettre dans l’état propice et comme prévu, il est venu à faire précisément ce que je voulais, il m’a donné son petit livre et je l’ai laissé simplement s’installer en regardant un peu le fameux bouquin.

J’ai bien rigolé sur certains passages, je me suis vraiment amusée moi pour le coup. J’ai put beaucoup apprendre sur mon pauvre petit poisson, je sens que je vais vraiment m’amuser moi maintenant que je sais tout ça. La façon dont il me voie et m’a vu puis surtout ses pensées les plus intimes m’amusent au plus haut point. J’ai passé un petit moment à lire avant de quitter le lit de mon poisson, lui laissant le martelât, pasque je suis gentil avant d’aller prendre une douche et me réinstaller dans son canapé pour reprendre ma lecture… J’attends avec impatience qu’il réussisse à venir jusqu’à moi là.

Lorsque je me suis réveillé, j'ai d'abord sentit que j'étais seul sur le matelas d'ombre de Daeron. Après, j'ai sentit un engourdissement très particulier au creux de mes reins, me signalant que je ferais mieux de ne pas bouger et me rendormir tout de suite... idée qui fut vite contrecarrée par la troisième chose que j'ai sentit : la présence de Daeron dans mon salon. Je pouvais pas rester à traîner au lit comme ça, qui sait dans combien de temps je le reverrais cette fois ! Du coup, c'est en serrant les dents que je me suis redressé, ai posé les pieds par terre, et me suis rendu compte que le mur devenait soudain mon meilleur ami en m'empêchant de m'écrouler. J'ai vraiment le bassin en compote !

Deuxième challenge : ramasser mon collier. Le pauvre traînait toujours par terre plus loin dans ma chambre, et déjà que j'aimais pas ça puisque c'était un cadeau de Daeron, mon cou se sentait aussi désagréablement nu. Ce n'est qu'après l'avoir très péniblement ramassé que j'avais vu mon coffre ouvert à côté du lit, et me suis rappelé comme j'avais tout simplement donné mon carnet de bord à Daeron... et là j'ai pu que prendre mon visage entre mes mains en jurant en italien. Comment je suis sensé lui faire face maintenant ?!

J'ai passé quelques instants de plus dans ma chambre, à essayer de me convaincre que j'étais plus à ça près, mais franchement, je trouvais beaucoup plus embarrassant qu'il ait pu lire mes pensées les plus secrètes que presque tout ce qu'il aurait pu me faire faire ou dire. Bref, je m'étais finalement résolu à retourner dans mon salon, sans prendre la peine de me vêtir, en essayant de cacher au mieux mon état physique, tout en sachant que ça ne lui échapperait pas. Je l'avais trouvé installé dans le canapé, toujours en train de lire, et je savais pas trop comment le prendre... J'ai ravalé une grimace, et essayé de cacher à quel point je me sentais mal à l'aise d'un coup.

« J'imagine ça doit te plaire... »

Si il continue encore de lire. J'ai glissé la main sous ma fontaine centrale au passage, quelques écailles apparaissant brièvement sur mon bras pendant que j'absorbais un peu d'eau, puis je vins rejoindre le canapé, et me posais simplement à genoux devant. Déjà parce qu'il m'était strictement impossible d'envisager de m'asseoir, mais aussi parce que je veux même pas donner le spectacle d'essayer de monter sur le canapé. J'étais donc installé par terre, à sa hauteur, et j'osais même pas regarder où il en était de sa lecture alors j'ai juste posé mes bras et mon front sur le canapé.

« J'espère au moins que tu te marres bien... »

Quitte à mourir de honte, autant qu'il y en ait un qui trouve son compte. J'avais des passages qui me revenaient en tête, le genre de choses que j'aurais voulu qu'il ne sache jamais. Je me souviens notamment de cette nuit il a longtemps où j'avais rêvé de Daeron, je m'étais réveillé dans un tel état que logiquement, j'avais juste voulu me soulager sans être capable d'y arriver seul. J'avais passé le reste de la nuit à me tripoter en pensant à lui et quel point je voulais le tuer pour m'avoir foutu dans un tel état. Non seulement j'avais écrit ça dans mon journal, mais en plus j'avais eu la superbe idée de décrive mon rêve bien dans les détails ! Heureusement que j'avais pas fait pareil chaque fois que c'était arrivé ! Et puis toutes les fois où j'avais été chez lui et que même quand il me laissait en plan, avec son odeur partout autour, ça me rendait dingue. J'ai même écrit que j'avais envie de la garder avec moi en permanence !

Et si ce n'était que ça... non, en plus j'ai raconté à quel point ses humiliations me faisaient mal, mais que je pouvais plus me passer de sa façon de me pousser à bout. Pire, j'y étais devenu complètement accroc ! J'ai raconté mon ressentis par rapport à divers choses qu'il m'a faîtes, par exemple quand il me tenait en laisse, j'adorais ça, quand il me bâillonnait aussi. Comme j'aime autant que je déteste qu'il se moque de moi, que j'adore quand il me contrôle, me rend impuissant, la façon dont il me traite dans ces moments. Quand il commence à m'étouffer lentement, ça m'excite autant que ça me fait flipper, et qu'il m'attache dans les positions les plus humiliantes qu'il soit me fait mourir d'excitation. J'ai parfaitement décrit à quel point j'aime ses ombres, comme j'adore les sentir partout sur et en moi, mais quand c'est lui même qui s'approche, je perds complètement les pédales.

J'ai raconté l'effet que me faisait son énergie, cet appel presque irrésistible, cette dépendance contre laquelle j'ai du mal à lutter, et j'ai bien sûr expliqué à quel point ça, c'était rien comparé à ce que sa personne elle-même me faisait. À quel point sa proximité me rendait dingue, et comme parfois j'avais du mal à garder contenance quand je le voyais alors que j'avais juste envie de venir me mettre à genoux devant lui et le sucer sans même dire un mot. J'ai raconté comme j'ai envie qu'il me possède, j'ai écrit à quel point j'ai envie de me retrouver recouvert de ses marques, et que quelques fois mes sentiments m'étouffent tellement que je sais plus si ça va me tuer, ou si je vais le tuer avec. J'ai parfaitement raconté à quel point j'aimerai qu'il comprenne ce que je ressens, tout en aillant peur que ça le change. Que par moment je ne suis plus sûr que ça me suffise ou non, tout en sachant très bien que je ne pourrais pas lui en demander plus, et que je n'arriverai pas non plus à m'enfuir.

Le rêve d’Élias!:

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

Tiens, mon poisson c’est réveiller, je sais que c’est le cas je le sens bouger, il commence à revenir à lui et j’ai hâte de voir comment il va prendre ma petite lecture. Bien sur je le laisse prendre le temps pour venir me rejoindre dans son salon, je doute que ce soit facile vu la partie qui viens de se jouer mais surtout je sens qu’il n’as aucune envie de venir, ce que je peux comprendre, il voulait déjà pas que je lise ceux d’avant mais avec ça … je crois que je commence à comprendre son truc d’amour.

-C’est assez intéressant, effectivement.

Je continue de lire moi, je veux en lire un peu plus encore, c’est trop intéressant come leçon, puis surtout les petits à coté, ses rêves, ses désirs, ses auto satisfactions en pensant à moi et tout le reste, j’adore lire ce journal.

-Je peux le garder ?

Je veux m’en servir, déjà pour le faire manger à un vampire, juste une page et après je vais m’amuser à le relire de temps en temps, il me fait doucement rire et puis, il explique plutôt bien la façon dont Elias est juste à moi.

-Toi, tu t’es fais Death … J’ai un peu de mal à le concevoir.

J’imagine assez mal la scène vu que la dernière fois qu’il l’a juste toucher il à commencer à faire la gueule, enfin j’attends quand même un peu mieux que ça comme révélation, que la catin du coin se fasse farcir par mon poisson … pas vraiment le gros choc, il sait se rendre adorable quand c’est nécessaire … c’est dégelasse. En revanche, le rêve me fais presque rire, e peux faire ça, tout ça, je peux même aller plus loin, le faire directement en publique, en laissant voir à travers ma bulle pour qui le voudrais mon poisson qui prendrais son pieds à se faire malmener avant de juste prendre son pieds à me sentir agir.

-C’est qui ton « tuteur » ?

Je n’avais jamais pensé au fait que nous avions tous des Shin sur le dos, enfin en ce qui concerne Elias il semble surtout avoir été plus bas mais je n’apprécie pas ce que j’ai lu dans son journal, il n’y a que les mauvais artisans qui accusent leurs outils. Je vais aller lui signaler qu’il faut savoir jouer de la queue si on veut que mon professeur soit un bon moment.

Daeron m'avait tout de suite confirmé qu'il trouvait sa lecture intéressante, d'ailleurs il n'avait pas vraiment arrêté de lire pour autant. Je trouvais même qu'il était un peu trop enthousiaste et ça me faisait me sentir encore plus mal à l'aise. Le front posé sur le cuir du canapé, j'avais fortement envie de m'y enfoncer et d'y disparaître. Je voulais pas savoir où il en était de sa lecture, je voulais même oublier tout ce que j'avais écrit là dedans, au moins un moment, parce que c'était tellement embarrassant que j'avais l'impression d'étouffer. Puis j'ai entendu sa question, et j'ai relevé un regard surprit vers lui, et j'ai mit deux trois secondes avant de pour voir répondre.

« J'en ai besoin... »

Et pour quoi faire en plus ? À quoi ça l'avancerait ?

« Je peux pas te le donner, il y a des choses importantes pour moi dedans. »

Des souvenirs précieux, des infos auxquelles je pense pas toujours... ce carnet est important pour moi. Par contre, j'espérais qu'il allait pas mal prendre mon refus, parce que je crois qu'une certaine partie de mon corps aurait beaucoup de mal à encaisser une nouvelle punition. Et puis si il voulait le garder, ça voulait dire qu'il appréciait, et je savais pas trop ce que je devais en penser... c'est vraiment gênant. Le pire, c'était que je mourrais d'envie de venir m'installer contre lui malgré tout, mais mes reins me suppliaient de ne plus bouger pour le moment. Puis quand il a parlé de Sword j'ai soupiré en faisant la moue, posant mon coude sur le canapé, et ma joue dans ma main.

« C'était pas spécialement prévu... J'ai juste passé mes nerfs dessus. »

Il m'a énervé donc j'ai eu envie de détruire. Quand je détruis, ça me donne envie de baiser, cqfd. Y a pas à chercher plus loin. Enfin, je me doutais bien que j'aurais eu une remarque là dessus, par contre la suivante, pas vraiment. Il s'était pas intéressé à mon précédent tuteur, alors j'étais un petit peu surprit qu'il me demande ça précisément.

« Le frangin du tien. Eirik il s'appelle, prof d'histoire. C'est le frère aîné. »

Pourquoi est-ce qu'il s'intéressait à ça particulièrement ? Ça le contrariait que j'ai joué avec ? Simple curiosité ? Ou alors c'était à cause de ce qu'il m'avait dit ?

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

J’ai bien l’impression de l’avoir surpris mon petit poisson, mais j’aime beaucoup sa tête à ce moment, bien sur que je veux le garder, il y a plein d’info qui pourront me servir, j’aime beaucoup cette lecture en plus, j la trouve passionnante, au moins je saurais quoi faire la prochaine punition, je lui ferais l’amour sous les yeux de tout le monde, absolument tout le monde et quand il sera sur le point de jouir je le laisserais voir à travers la bulle comme tous les élèves sont ravis de leurs cours d’éducation sexuelle.

-C’est vrai ?… Puis tu ne pourrais plus le mettre à jour, se serais dommage…

Tant pis, je reviendrais ici pour le bouquiner, maintenant que je sais ou il est j’ai plus qu’à forcé le coffre ou le poisson à me le donner.

-J’ai lu ça oui

De délicieux souvenirs que je relirais de temps à autre avec amusement. M’enfin, là n’est pas encore la question, je vois bien qu’il à mal et je ne compte pas le laisser poser comme ça pour se soulager, se serais trop facile, j’ai donc passé un bras d’ombre autour de son torse qui m’a forcer à se relever pour s’allonger sur le canapé. Quitte à avoir sa tête sur les genoux, autant que ça ai un intérêt réel.

Pour ce qui est de Sword, je ne suis pas étonner, c’est ce que font pas mal de gens, passer leurs nerfs dessus, après tout il adore ça alors pourquoi se privé ? Mais ça reste étonnant venant d’Elias qui est supposé le détester.

-Bien sur, un Ishirama …

Ce nom lui-même commence à me fatigué, je vais finir par croire qu’ils veulent ^tre décimés ceux là. Jai pas envie de leur prêter mon poisson, aux autre m’en fou un peu mais pas a eux, du coup, je vais devoir intervenir.

-Ne laisse plus ces êtres inférieurs et irrespectueux te toucher.

L’inutilité est de famille j’ai l’impression, entre un qui ne sais pas retenir sa langue et l’autre sa bite –défectueuse soit dit en passant-, ils ne vont pas aller bien loin.

-C’est un ordre.

Jusqu’ici je n’en ai pas donner beaucoup, il à donc tout intérêt à le suivre sans quoi, il sera puni et cette fois, très sévèrement.

Le remettre à jour... en gros, il a l'intention de continuer à lire ce que je pourrais écrire dedans ? Je risque de plus rien mettre de compromettant, rien de personnel, juste des infos. Je pourrais plus jamais écrire comme ça si je sais qu'il y a un risque pour qu'il le lise ! Il ne pourra pas ouvrir le coffre de lui-même, mais je ne doute pas qu'il saura me faire du chantage pour que je lui donne encore de moi-même.

Puis Daeron a visiblement été prit de l'envie de m'embêter. Je voulais rester à genoux par terre, mais apparemment, lui voulait que je vienne m'installer d'une façon moins confortable. Une ombre m'a contraint à me relever, et j'ai serré les dents en ravalant une grimace, puis je me suis laissé guider pour m'allonger sur le canapé, la tête posée sur ses genoux. Autant j'aimais beaucoup être plus près de lui comme ça, autant tout le bas de mon dos était en train de douiller. Pendant quelques secondes j'avais cessé de respirer, avant de souffler longuement. Faut que je mange maintenant.

Vint ensuite le sujet des tuteurs, et je me doute que ça le contrariait de savoir que le frère du sien avait débarqué. Il l'aimait pas, et je pouvais comprendre, et si son frère était différent, il s'était montré très désagréable en fin de compte. Pourtant j'ai été surprit qu'il me dise de ne pas les laisser me toucher. Je m'y attendais déjà pas, mais quand en plus il précisa que c'était un ordre, mon sang s'est glacé d'un coup, avant de se mettre à chauffer l'instant d'après. Il est aussi terrifiant qu'excitant quand il est comme ça, et il n'y avait qu'une chose à répondre à ça...

« Oui... »

Je peux pas chipoter. Par contre, c'est un ordre qui risque d'être relativement délicat à suivre étant donné que mon tuteur a l'air du genre tactile sans te demander ton avis, mais je ferais en sorte de ne pas le laisser me toucher. Déjà parce que j'en ai pas envie, mais aussi et surtout parce que j'ose pas imaginer la punition. J'ai encaissé la douleur pour pouvoir me retourner, me mettant sur le ventre pour ensuite me redresser sur mes bras de chaque côté de ses jambes pour venir plus proche de lui. J'avais envie de blottir mon visage dans son cou, mais pour le moment je me contentais de le regarder droit dans les yeux en lui demandant doucement:

« Tu es fâché ? »

Si il est vraiment en colère contre lui à cause de ce qu'il m'a dit, je crois que je serais vraiment, mais vraiment.. content !

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

Quel dommage qu’il tienne tant à étouffer ses réactions de douleur. J’aurais trouvé intéressant de constater les effets de mon jeu préféré sur sa personne en cette délicieuse matinée, enfin mati-soirée quoi mais quand même, il faudra que je le pousse encore la prochaine fois, qu’il soit juste incapable de le cacher.

Je l’ai laissé prendre place et ai eut la seule réponse possible à mon ordre, de toute façon il n’avait d’autres choix que me dire oui. Quand à son tuteur je sens que je vais finir par aller le voir moi-même s’il empêche mon poisson d’obéir, je vais rapidement régler les choses. Je n’aime pas qu’on se permette d’insulté mes possession mais venant d’un Ishirama ça ne m’étonne plus vraiment, le manque de respect semble être une affaire de famille.

Je n’ai pas fais cas des mouvements d’Elias, pas avant de recevoir sa question et de le regarder dans les yeux. Franchement, il devrait savoir mieux que personne qu’il m’en faut plus, je suis tout au plus irrité par cette famille et je finirais par la faire disparaitre.

-Contre toi ? Non.

Son journal m’amuse, je n’ai donc aucune raison de l’être puis tous les aménagements de sa maison sont plaisants. En revanche je vais vite régler l’histoire des frangins et on aura la paix une bonne fois.

-Je peux te montré si tu le souhaite.

Ais je soufflé en glissant la main le long de son dos, sachant parfaitement qu’il ne pourrait même pas tenir les préliminaires vu ce qui viens de se faire.

-Je suis certains que tu as encore beaucoup de raisons d’être punis.

Daeron n'avait pas réagit quand je m'étais relevé à sa hauteur, et m'avait simplement regardé, avant de me répondre. Je savais qu'il n'était pas en colère contre moi, mais j'avais envie qu'il me dise qu'il était fâché contre mon tuteur. Que lui me trouvait bon, qu'il aimait me garder pour ça... nan, en fait, ce que je rêverai d'entendre, c'est qu'il veut me garder auprès de lui, l'entendre me dire qu'il a envie de moi, besoin de moi... pourtant je sais que c'est le genre de choses que je n'entendrais jamais.

Puis il m'a parlé de me montrer, et sa main est passée dans mon dos. Le frisson qu'elle m'a déclenché m'a fait grimacer en serrant les dents, retenant à moitié un gémissement. C'est cruel, parce qu'autant mon corps se réchauffe, autant mon bassin me crie 'pitié, stop !' Du coup, j'ai trouvé qu'à répondre piteusement :

« Je pense... que je vais te croire sur parole plutôt... »

Je m'étais rapproché un peu de lui, venant poser ma tête sur son épaule, profitant de son parfum, et du froid qu'il dégageait. Pour ce qui est des punitions, j'aurais voulu hausser les épaules, mais je préférais économiser mes mouvements, alors je préférais passer ma main sur son torse. C'est nettement plus agréable en plus. Je lui ai répondu d'un ton un peu vague :

« Tu trouverais toujours une raison si tu voulais me punir. »

Ou pas. Je suis sûr que si ça venait à l'ennuyer, il se prendrait même pas la tête à chercher une explication. J'ai dérivé mon visage le long de son torse, le parsemant de baisers alors que je glissais lentement vers son bassin. Actuellement, je suis un peu hors service, mais ça m'empêche pas d'avoir envie de lui faire plaisir, sans compter que ça l'empêche pas de lire pour autant. Mes lèvres parvenues à la bonne hauteur, j'avais simplement embrassé sa virilité, posant ma joue sur sa cuisse, avant de relever le regard vers lui avec un sourire amusé.

« Et puis tu t'ennuierais si j'étais trop sage... »

Doucement, j'ai commencé à m'amuser à le taquiner avec ma langue. Après tout, il a probablement déjà lu les passages de mon journal disant que j'adorais lui faire ce genre de choses...

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

Je me doutais un peu qu’il ne serait pas prêt à remettre ça, le plaisir dans la douleur ne l’intéresse pas et j’ai fais en sorte qu’il ferme ses portes à tout autre que moi pour un moment. Même s’il le voulait, je refuse qu’il se retrouve encore à être pris par l’autre, le Ishirama. J’ai envie d’être seul à jouer avec lui pour le moment, après tout je viens de revenir, il est donc normal que mon poisson se consacre entièrement à moi et juste à moi, comme Nessa.

-Dommage, te voir ainsi me donnerais envie de recommencer.

Ce n’est pas faux, puis franchement, au bout d’un moment le simple fait de me demander pourquoi je le puni finirais par devenir une raison de le faire. Jusqu’à preuve du contraire je peux encore faire ce qui me lais avec lui. Je l’ai laissé descendre son visage et aurais presque rit de le voir recommencer à me chercher, il oubli un peu que je peux recommencer moi, si lui sera incapable de marcher, moi je pourrais le faire, lui casser les pates arrières de la plus délicieuse des façons.

-Tu ne serais plus toi, si tu étais sage.

Elias est Elias parce que sans même le vouloir il trouve toujours un moyen de provoqué la punition et c’est un jeu que je trouve amusant. Maintenant, c’est aussi une des raisons pour lesquelles je le garde, ça et le fait qu’il soit capable d’enduré des torture détruisant son psyché et lui brisant dans l’œuf tout espoir de s’imposer un jour. Puis de revenir comme il le fait, me faire une petite fellation en douceur et avec application.

-Qui a dit que j’avais besoin d’une raison ?

Il serait presque tentant de le balancer dans la flotte pour qu’il guérisse avant de le recasser.

-Ah, ma petite catin se réveille ? Même si elle ne peut plus marcher elle veut quand même jouer.

Mais c'est qu'il me provoque vraiment en plus ! Si il me dit qu'il a envie de moi, ça va inexorablement me donner envie de jouer, et que mon corps ne soit pas prêt à reprendre la partie immédiatement me frustre plus que je ne voudrais l'avouer. Puis il n'a pas démentit le fait qu'il pourrait me punir sans aucune raison, simplement pour s'amuser. Il y a encore pas mal de choses dans son comportement qui m'échappent, mais je pense que je le connais suffisamment pour savoir ça.

Daeron m'a ensuite totalement laissé faire pendant que je descendais mes lèvres le long de son corps. Pas que j'ai spécialement pensé à le provoquer, simplement, j'en avais envie. En même temps, il traînait à poil devant moi, et absolument tout de lui m'attirait. Je me suis doucement amusé de sa réponse, sans bouger pour autant de là où je m'étais installé. C'est vrai, si j'étais sage, je serais plus moi, et c'est pas pour rien que j'ai quitté l'Italie, là-bas je ne pouvais pas être moi librement.

J'avais finit par le prendre en bouche, c'était pas ce que j'avais prévu de faire à l'origine, en venant me blottir contre son torse... mais disons que mon corps réagissait tout seul face à mes désirs. C'est donc sans vraiment y réfléchir que je m'étais appliqué à ce que je faisais, suçant et léchant son désir avec application. Je ne prenais pas son énergie, même si ce n'était pas l'envie qui manquait, j'avais surtout envie de sentir que je lui faisais du bien, et même si mon propre corps réagissait à ce que je faisais, j'avais pas l'idée de m'occuper de moi. Puis, je n'ai pas pu m'empêcher de frissonner en l'entendant, et relâcher sa virilité pour continuer de m'en occuper avec la main pendant que je lui répondais presque avec une pointe de crainte... oui, parce qu'il en serait capable, je n'en doute pas.

« Je veux pas finir cassé... »

Au point où j'en suis, je suis plus à ça près, je peux très bien lui dire :

« Je peux juste pas m'arrêter quand c'est toi... »

C'est de sa faute aussi, pour être autant... lui ! Ma bouche était revenue à son activité, soupirant chaudement. Non, je peux strictement plus m'arrêter une fois que j'ai commencé à le toucher, toutes mes pensées se brouillent, et j'en perds toute ma logique. J'y peux rien, pour le moment, je veux juste goûter son plaisir.

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

Déjà si en forme de bonne soirée, mon poisson me donne parfois des envies de viol mais je me retiens, je pourrais plus jouer si je le casse encore, plus avant longtemps alors il vaut mieux que j’attende même si là, il me provoque. Je l’ai lassé faire, souriant de l’entendre me répondre qu’il ne peut pas s’arrêter …Je peux effectivement constater ça, j’ai donc laisser une main sur sa tête pendant qu’il reprenait son travail, poursuivant le peu de lecture qu’il me reste en soupirant d’aise.

Puis, après un petit moment, j’ai juste fini par le retourner sur le canapé, venant me mettre au dessus de lui, sans l’empêcher de continuer bien sur et suis venu lui faire précisément la même chose, quitte à jouer autant le faire à deux, puis dans cette position son activité sera plus profonde. D’ailleurs, elle fini même par atteindre son but son activité alors que je me rendais en lui dans un râle étouffer par ma propre activité. Je ne lui laisse pas le choix, de toute façon c’est lui qui m’a chauffé, et il a de la chance que je l’ai pas juste pris à même le sol, d’autant que j’ai encore l’image de ses larmes en tête, son visage délicieusement défait… si bon… que je ne m'en applique que plus à l'oeuvre, travaillant des lèvres et de la langue à lui rendre les honneurs.

Je ne pouvais que constater que Daeron s'amusait de mes réactions et mes initiatives, mais je ne pouvais pas le blâmer, moi aussi je me serais foutu de moi à sa place. Voir quelqu'un qui soit aussi accroc à sa personne, prêt à faire tout et n'importe quoi, se rabaissant encore et encore pour revenir sans cesse, ça doit quand même être particulier, mais même en sachant ça, j'avais aucun moyen, ou même envie de m'arrêter. En fait, je crois que quelque part, ça fait même partie des choses qui me plaisent.

J'ai poursuivit mon activité buccale, sentant sa main se poser sur ma tête. J'aimais qu'il fasse ça, et j'adorais ses soupirs qui me parvenaient de temps à autres. Puis le fait qu'il ait continué à lire pendant un moment m'a amusé, et je dois même dire que ça m'a motivé à m'appliquer d'autant plus, juste pour voir combien de temps il pourrait rester concentré sur mon carnet. Et puis d'un coup, je me suis fait retourner, me retrouvant sur le dos sur le canapé, plissant les yeux en sentant la douleur remonter de mes reins mais... disons que j'avais de quoi me faire oublier très vite la douleur. Déjà parce que je pouvais toujours m'occuper de Daeron, mais aussi parce que lui aussi avait commencé à s'occuper de moi.

J'avais émis un léger gémissement de surprise en le sentant s'enfoncer jusque dans ma gorge, puis un soupir de plaisir quand ses lèvres se sont emparées de moi. Mes mains en ont profité pour venir s'accrocher à ses hanches, allant se perdre dans son dos, pendant que je me plaisais d'autant plus dans cette activité. Les yeux clos, je profitais autant que je donnais, mes soupirs de bien-être étouffés, jusqu'à sentir le fruit de son plaisir jaillir dans ma bouche. J'ai prit soin de ne pas en perdre une goutte, ne cherchant même pas à le faire sortir de ma bouche, je m'étais amusé encore un moment à promener ma langue sur lui, bien trop excité par son plaisir. Je n'ai pas mis très longtemps à venir après lui, relâchant enfin sa virilité en tournant la tête sur le côté pour libérer un long gémissement, ne pouvant pas non plus empêcher mes bras de ses crisper dans son dos, et mes ongles de s'y planter.

Je suis rentré

« “L'événement à venir projette son ombre.” »

Il n’a pas trop tardé à réagir mon poisson après que j’ai lancé le petit jeu en réponse à son attaque, il semblait apprécier, enfin la partie de lui dont je m’occupais appréciais en tout cas, le reste je ne saurais le dire, après tout je ne peux pas le voir dans cette position, et je m’en moque. J’ai joué sur lui jusqu’à me sentir moi même venir entre ses lèvres expertes, souriant de le sentir me nettoyer toujours aussi appliqué et poursuivant mon propre jeu sur sa personne jusqu’à lui rendre la faveur et goutter à nouveau sa semence.

Là, je l’ai relâché, me redressant légèrement en gardant une jambe d’un coté de sa tête et l’autre au sol. Je me suis retiré de sur lui peu de temps après, venant me mettre sur le coté du canapé et m’accroupir près de lui.

- Soigne-toi, je reviendrais vite.

Je suis allé récupéré des vêtements et suis sorti de sa maison pour retourné à la mienne et a mes activités, ma prochaine visite sera pour le cadavre, il va redécouvrir la vie lui.

Après m'avoir mené aux portes du plaisir, Daeron avait finit par me relâcher, et s'éloigner de moi. Autant je concevais qu'on pouvait pas rester indéfiniment planté sur la queue l'un de l'autre, autant je trouvais qu'il partait trop loin. Puis quand j'ai comprit que c'était juste finit pour sa visite, j'ai sentit une pointe de tristesse m'envahir. Oui, j'étais complètement cassé de toute façon, mais ça m'empêchait pas de vouloir passer un peu de temps en sa compagnie. Puis il s'est accroupi près de moi, et en l'entendant, j'ai pas pu m'empêcher de le regarder avec surprise, alors que rapidement, je sentis une chaleur s'intensifier dans ma poitrine et mon palpitant s'emballer.

J'ai pas bougé pendant qu'il se rhabillait, ni quand il a quitté ma maison, j'avais les jambes en compote de toute façon. Après son départ, je suis resté comme un con sur mon canapé, à fixer le plafond en souriant. C'est probablement idiot, mais il m'avait jamais dit ça avant, qu'il reviendrait me voir, et franchement, j'adore ! Au bout d'un moment, j'ai simplement pas pu contrôler mon corps qui s'est remis à chauffer à cause de toutes les pensées qui m'envahissaient, et l'odeur de Daeron encore présente, du coup, voilà que j'étais forcé de m'occuper de ça tout seul. Une fois mon affaire réglée, j'ai péniblement rejoint ma salle de bain histoire de me remettre un peu de ces dernières heures, et me préparer pour une petite chasse. Tant qu'à faire, autant que je sois en forme pour la prochaine fois !

» Coucou! C'est le grand méchant loup! [Pv: Drakhys Andar]
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