Bon, cette école commence à me souler mais vraiment. Non seulement je n’ai aucune envie d’y donner cours mais en plus, je n’ai aucun élève intéressant. Maks n’est pas foutu de rendre ses devoirs en temps et en heure … moi qui l’ai pourtant si gentiment prévenu …. L’autre aux longues quenottes qui a eut la chance insolente de me voir privé du retour de bâton … sans parlé de Sword … je me serais facilement passé du baisé, en revanche, il fait un très bon crachoir.
Après coup, j’étais simplement partie me défoulé, pour ça, rien ne vaut les russes, de l’alcool bien fort et c’est parti pour le fun et les trucs débiles. J’ai bien rigoler là bas, on a jouer a la roulette russe … jeu qui est bien plus marrant quand on met autre chose qu’une balle dans le chargeur, un verre d’alcool, un verre d’autre chose … c’est l’avantage de la roulette russe, on ne vois pas venir ce qui viens … J’y jouerais un jour avec maks … qui sait ce qui finira dans la cartouche.
Le retour de Russie a été … comment dire … puis je vraiment dire long … en fait, j’étais tellement déchiré que quand j’ai eut fini de cuvé, j’étais sur un plage (a priori la Russie avait radicalement changer de climat, ou je n’y étais plus), sur une serviette, près d’un couple (un de chaque coté) et sous une jeunette, rien ne vaut le fun d’une partie a trois … si j’avas les souvenirs de ces moments, je suis certain que je rigolerais bien.
Donc je suis rentré … de cuba… et je suis allé chez moi, j’ai pris une douche, me suis coucher et j’ai fais passer ma méga gueule de bois avec une tonne de traitement et un léger sort de soin. J’ai put dormir cette fois sans être réveillé par un quelconque invité et ai fini par me lever après bien moins de temps que je l’aurais cru… deux peut être trois jours… je me suis lever, suis parti prendre une douche gelée en soufflant :
- J’adore la Russie.
Je fini toujours a des endroits … incongrus …
J’ai pris tout mon temps, suis parti me chercher un thé glacé dans la cuisine et ai attrapé ma tablette qui s’éclairait doucement par moments, j’ai jeté l’objet sur mon lit en prenant une chemise et un jean pour m’habillé, j’ai passé tout ça tranquillement avant d’aller me brosser les dents. J’ai continué ma petite routine, regarder la télé pour voir si j’ai fais pire qu’un plan a trois, fais quelques recherches sur les artistes a la mode en se moment, nettoyer les ailes et quand je n’ai vraiiiment plus rien eut a faire d’autre, je suis allé voir ce que me voulait celui qui m’avait envoyé un message.
Convocation dans le bureau des dirlos, je vais peut être me faire viré !
J’ai pris une ou deux minutes pour passer des chaussures et m’en suis allé a leur rencontre. L’espoir fait vivre ... dommage pour mes élèves, je suis toujours prof. Je comprends toujours pas pourquoi mais bon … j’imagine que je n’ai pas particulièrement le choix… Du coup, je suis parti pour ma maison, juste le temps de prendre mon appel larbin, ça pourrait toujours servir. Après quoi, je me suis envoler et suivant le portail ouvert par les directeurs, et je me suis retrouver devant un labo.
Voilà, ils s’en foutent que je ne donne pas cours normalement, que je donne des devoirs selon mes désirs et des conseils qui ne sont pas toujours très bien saisis… je peux aussi partir pour ou je veux tant que je reviens. Là, ils veulent que je fasse le facteur … comme si j’avais une tête de facteur …
Donc là, je dois m’infiltré dans un laboratoire qui crée des esclaves de plaisir … génial, je n’avais pas encore donné dans l’esclave, ça pourrait être marrant. Je sais que normalement on fait en sorte d’être discret … mais en général, on me demande pas de faire les choses, aussi, je me suis juste servit de la glace comme d’un bélier pour défoncer la porte d’entrée et suis tranquillement parti jusqu’à l’endroit supposer contenir ma cible. Au passage, j’ai peut être un peu ouvert toutes les cellules avec des clés glacées mais rien de bien effrayant.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais je ne suis pas fan de ce genre d’endroit … encore se serait tenu par des démons, ouai … mais des humains … Bref !je suis descendu tranquillement en cryogénisant tous les humains qui passaient tout près de moi, et ai commencé à chantonner tranquillement « sex in the air », puis, je m’en suis tranquillement allé jusque là ou les directeurs m’avaient indiqué sa présence. J’ai un peu enfoncé la porte de ceux qui l’observaient
-Salut !
Et puis les ais congelés.
-C’est pour un retrait.
Tous sauf celui qui avait les clés…
-Merci.
C’est marrant, les humains coopèrent bien mieux quand ils se pensent sur le point de claqué …
-Adieu.
J’ai bien sur gelé le bonhomme et ai shooté dedans pour voir si il allait exploser … même pas drôle, je lui ai tout juste pété une ambe mais elle n’a pas explosé en morceaux. Voilà … encore déçu … j’ai ouvert la porte de ma cible et franchement ! je vais retourner voir Ryan, une vision si charmante me donne envie de redonner dans les liens tout ça. Je me suis glissé près des liens.
-Charmant.
J’ai été jusqu’à ses liens et les ai détachés.
-Salut.
Je pourrais rire mais soyons réaliste, même moi je ne m’abaisserais pas a ce genre de choses. J’ai donc juste été m’accroupir devant lui et ai défait le bâillon et son bandeau sur ses yeux.
- Tu es invité à te joindre aux étudiants de notre école.
J’ai fais bien attention a ne pas lui faire mal et tout calme lui ai soufflé :
-Si tu en as la force, accroche toi.
J’ai passé les bras sous ses jambes, les bras dans son dos et l’ai tiré contre moi, déployant mes ailes pour m’aider à le soulever du sol et me relever. Ensuite, j’ai repassé la porte, enfermant les autres dans leur pièce que j’ai changé en pure glaçon … avec quelques lunetteux dedans.
-C’est quoi ton nom ?
On donne des noms aux créatures avec lesquels on fait ça ? J’ai ramené doucement la créature entre mes bras vers l’entrée, l’ai déposé quelques minutes, j’ai pris une blouse blanche dans une pièce a l’entrée et l’ai couvert avant de le reprendre dans mes bras.
- Le cauchemar s’arrête aujourd’hui, alors quoi que tu vois, ne me lâche pas.
J’ai refermé mes bras autour de lui comme dans sa prison et me suis envoler pour le ramener vers Esperanza… dommage que ce soit si loin soit dit en passant.
Il ne pouvait même plus s'exprimer. Il ne pouvait plus bouger... Bien que son corps tressaillait contre son gré tant il avait besoin que quelqu'un le touche, le délivre de cette torture qu'il me méritait pas. Il n'avait plus de larmes, ses yeux sous le masque le brûlait, il avait froid et faim... Il voulait juste que cela s'arrête enfin, qu'on ait pitié. Pourquoi ses gardiens avaient-ils besoin de ses nouvelles données ? Allaient-ils enfin le tuer ? Épuisé, il se sentit presque tomber dans l'inconscience.
Que cela cesse...
Et puis du bruit... Une voix inconnue. Comment cela, qu'est-ce qui était charmant ? On se mit à le détacher, ce contact, ces mains froides. Tellement mais pas assez. Vivien voulait toujours plus. Il n'avait aucune idée de combien de temps il avait passé sur cette table, il entendit encore cette voix qui le saluait tout en lui retirant son bâillon et son masque. Clignant plusieurs fois des yeux, il aperçut l'homme qui lui parlait... Il était habillé, ce n'était donc pas un esclave. Quelle chance avait-il ! Même s'il n'avait pas réellement été élevé en esclave lui-même.
Il est très mignon. -Bonjour monsieur...
Vivien avait une voix douce mais cassée, autant à cause de ses cris qu'à cause de l'absence d'eau.
-Donc vous ne m'avez pas acheté. Je ne crois pas déjà avoir été en vente en plus...
S'accrocher ? Il avait les membres gourds mais il était tellement avide qu'il sut passer ses bras tremblants autour du cou du blond qui se proposait de l'emmener. De toute façon, ça ne pourrait pas être pire qu'ici alors que cette personne incroyable l'emporte comme il le voulait. Vivien l'avait bien entendu parler d'une école. Il allait enfin pouvoir apprendre comme n'importe qui de normal ? Il aurait une vie normale ?
Est-ce qu'il prendra soin de moi ?
Il écarquilla les yeux de surprise et même de joie en voyant les ailes de son sauveur. Il avait le droit à un ange rien que pour lui. Un ange qui d'ailleurs fit un sacré ménage. Sans doute qu'il aurait dû être horrifié par ce que faisait le blond mais il n'y arrivait pas. Ces humains lui avaient fait bien trop de mal pour qu'il ressente une quelconque envie de les prendre en compassion. Et puis ses tremblements commençaient enfin à se calmer... L'homme avait la peau fraîche, mais il se sentait si brûlant, comme fiévreux si bien que cela était complètement bienvenue. Il soupira même de bien-être.
Je veux rester là longtemps, très longtemps. -Je m'appelle Vivien. Et vous ?
Son sauveur devait avoir un nom aussi superbe que sa silhouette. Il frotta sa joue contre l'épaule de celui-ci avant de paniquer un peu quand l'ange le posa. Non, qu'il ne le laisse pas déjà seul. Vivien finit appuyer contre le mur alors que le blond disparaissait de son champ de vision.
Non, qu'il revienne vite ! S'il vous plait, je serai sage !
Vivien fut plus que soulagé du retour du bel homme. Il se laissa habiller, ayant l'impression d'être une poupée. Il esquissa un sourire tout mignon en entendant la prochaine réplique de l'ange. C'était fini. S'il avait encore eu des larmes, sans doute qu'elles auraient coulé, mais là, il ne pouvait être que profondément soulagé et il repassa ses bras autour du cou de son sauveur sans se faire prier. Vraiment, cet homme pourrait tuer encore et encore, tant qu'il était protégé, ça n'avait pas d'importance.
-Merci... Tellement merci. C'était si bon d'enfin sentir le vent dans mes cheveux. La liberté.
Vivien recommença à frotter sa joue contre l'épaule de l'ange, les yeux à demi-clos. Il aurait pu avoir froid mais cela lui faisait tellement de bien de sortir de l'atmosphère surchauffé du sous-sol qu'il ne se plaignait pas du tout. Et puis il voyait le ciel, les oiseaux, la terre, les arbres... Et encore mieux le visage de son ange qui semblait apprécier de voler. Il aurait aimé avoir la force de sortir ses ailes mais cela aurait été se séparer du corps de son sauveur. Hors de question.
-Comment avez-vous su que j'étais là ? Vous avez senti ma présence ? Quelqu'un avait senti ma détresse ? -J'aime être contre vous... Énormément... C'était bon d'être tout contre quelqu'un comme ça.
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Sujet: Re: Sérieux ... du taf ?! [PV vivien] Sam 26 Nov - 14:28
Tiens, c’est marrant mais vu la mission et la personne a laquelle ils ont décider de confier la mission … je m’attendais presque a ce qu’il y ai de la sécurité mai su lieu de ça, j’ai eut droit a des scientifiques, des esclaves en tout genre, libérés pour ceux qui le désiraient, je n’ai aucune raison de forcer les choses, on ne m’a envoyer chercher qu’un seul bonhomme et je l’ai, les autres se débrouillent, puis, si je dois revenir pour d’autre, il devrait y avoir un peu plus d’intérêt. Après ma première visite et ma facilité a sortir… j’ose espéré qu’il y aura du défis la prochaine fois.
-Acheté ?
J’ai une tête à acheter des gens ? Moi je prends, j’use, je jette, j’enchaine… ce n’est pas malin d’acheter…
-Non.
C’est un peu con … c’est très con mais de voir la petite créature qui semble si fragile se nicher contre moi comme ça, ça me donne pas le courage de lui dire que j’en aurais les moyen, mais absolument pas l’envie… faut que je vois Maks, j’ai envie d’être méchant.
-Personne ne t’achètera, tu es libre maintenant.
Enfin presque, disons qu’il le sera quand il sera a l’école … et habiller …. !bon, il va falloir que je me remette a la muscu, pas qu’il soit lourd ou que j’ai du mal a le porté… c’est juste que ça serait plus facile de tenir quelqu’un qui se tiens si fort contre moi …
-Appel moi Sael.
Me voilà mal barré, j’aurais put lui dire appel moi maitre mais je suis sur à 99% qu’il l’aurait fait et je n’ai aucune envie que qui que ce soit face ça … c’est ridicule et j’ai bien assez confiance en moi pour n’en avoir pas besoin. En plus, moi qui suis un vrai glaçon, je sens la température du bonhomme monté à mesure que j’avance dans le labo … j’adore le contraste oui …. Mais seulement dans certains moments et là ça n’est pas vraiment le moment pour ça quoi … ni la personne, je rectifie donc, c’est Drade qui va me servir.
-Ne bouge pas.
Je n’ai aucune envie de courir après son petit cul tout nu pendant une plombe, j’ai donc fait vite pour l’habiller sommairement et l’ai repris contre moi. Je me serais presque attendu a un mouvement de recule quand je suis revenu a lui mais … rien … au contraire, il c’est accrocher de nouveau a moi comme si j’étais sa seule chance de fuir … la porte est grande ouverte. Enfin bref, on ne peut pas dire que les étudiants normaux ont ce genre de réactions pour moi mais je suppose qu’il a vécu des choses terribles et qu’il n’a pas envie d’être seul, ça s’améliorera une fois dans l’école.
-Ne me remercie pas
Je n’ai fais qu’exécuté les ordres, pour une fois, oui j’en conviens mais je n’ai fais que ça, et puis … je n’ai rien fait d’exceptionnel, ni de difficile…
-Et arrête de me vouvoyer… s’il te plaît.
Pourquoi s’il te plaît … ras fais chier, je déteste les petites créatures fragiles …
-Ceux qui ont créé le refuge ou je t’emmène…
Je crois bien que c’est une première mais en tenant le bonhomme, et alors que nous passions enfin la porte … j’ai l’étrange impression de comprendre a quoi leur sert leur fameuse école. Je n’ai pas très envie de me donner la peine de me pencher sur le cas des élèves que j’ai rencontré jusqu’ici … pas plus que je ne le fais déjà mais … je comprends mieux pourquoi … quelque part … loin…
- M’ont expliqué ou je te trouverais.
En gros ça c’est fait comme ça. Je volais en espérant que le chemin se fasse plus court, parce que … bin parce qu’il me déteste pas encore … ce qui est un record quand on sait qu’en général j’arrive a me faire haïr assez rapidement.
-Je vais passer par chez moi avant de te ramener chez les directeurs.
Je ne vais pas lui faire traverser l’école a poil sous une blouse … par contre je vais noter l’idée pour la prochaine fois que je vais voir maks… J’étais bien dans mon idée de torture … tellement que quand il a continué sur autre chose j’ai faillit le lâcher et le laisser tombé … faut être suicidaire pour me sortir des trucs comme ça en plein ciel !
-Tu q…
Merde… m’a pris de court là. J’en ai même fini par ne plus avancer, il me ferait presque partir en sucette là …
-Tu étais là bas depuis quand ?
On va changer de sujet un …
- Tu va pouvoir t’habiller un peu mieux quand tu seras chez moi.
Un peu plus chaudement… d’ailleurs je commence a avoir trop chaud je pense, j’ai une drôle d’impression dans le cou et sur le visage… je vais me payer un coup de chaleur … quand on sait qui se suis … c’est risible.
Son sauveur était donc bien un vrai sauveur. Il n'était pas venu pour l'acheter et il l'aidait même de bon cœur pour le faire partir d'ici. C'était bon de rencontrer enfin quelqu'un de gentil dans son existence jusqu'ici rempli de scientifiques qui voulaient toujours plus de données et de quelques esclaves qui l'avaient brutalisé parce qu'ils ne comprenaient pas son besoin de contact. Libre... Il adorait la saveur de ce mot. Il ne dirait jamais assez merci.
-C'est un très joli prénom. Saël. Aussi beau que lui mais je sentais que je ne devais pas trop en dire.
Bien sûr qu'il fallait qu'il le remercie. L'ange faisait beaucoup pour lui. Sauf qu'il ne le savait pas. Il se sentait tellement mieux maintenant qu'il avait eu les mains de cet homme sur son corps et qu'il le gardait dans son étreinte comme s'il ne voulait pas perdre Vivien. Le demi-elfe était au paradis, d'une certaine façon, cela faisait un si long moment que l'on avait affamé de contact et le blond lui en offrait tellement qu'il avait juste envie d'en profiter encore et encore.
J'espère que le vol sera long, très long. -Tu aurais pu désobéir et me laisser là alors si, tu mérites des mercis. Mais je te promets de dire aussi merci aux messieurs qui t'ont envoyé.
Parce qu'il avait bien appris une chose, c'était que la politesse et le respect lui permettaient de ne pas trop souffrir en plus d'avoir des câlins plus facilement parfois. Et puis être violent, il ne savait pas faire, on lui avait fait trop de mal, on l'avait trop habitué à courber l'échine pour qu'il sache se défendre physiquement. Il ferait peut-être bien d'apprendre puisqu'on lui proposait une bonne éducation dans une école. Parce que même s'il était naïf, il n'était pas idiot. Il avait même beaucoup étudié quand on le laissait tranquille dans sa "chambre".
Je savais que le monde était vaste, mais je n'aurais jamais cru que ce soit à ce point. -Tu vas même me donner des vêtements... Tu es vraiment un ange. Personne ne saurait me convaincre du contraire après ça.
Si bien qu'il se débrouilla pour faire un bisou sur la mâchoire de Saël, incapable dans sa position de toucher sa joue. Toujours bien accroché à lui, il ne comptait réellement pas le lâcher. Pourquoi et comment aurait-il envie de laisser cet homme qui avait fait tout ce chemin pour lui ? Personne n'avait jamais fait autant. Et pourtant, il avait attendu. Alors quand la question de son sauveur tomba.
-Je suis né là où tu m'as trouvé. J'ai toujours été leur expérience. Ils cherchaient à faire des meilleurs esclaves sexuels alors ils m'ont créé. Je ne vais pas lui mentir alors qu'il a tout vu. Et puis, je n'ai pas honte. -Ça ne me dérange pas d'être tout nu mais je suppose que c'est mieux pour tout le monde.
Son sauveur venait de rougir. C'était tellement mignon. Que pouvait-il faire pour que ça continue ? Vivien le trouvait admirable, si bien qu'il aurait voulu le voir sourire et même plus. Mais il avait déjà fait un bisou alors... Il en referait un quand ils auraient atterri. Observant autour de lui, il demanda.
-Que fais-tu dans l'école ? Tu es le défenseur ?
Cela lui paraîtrait logique.
-Pourrais-je souvent te voir ? Je suis sûr qu'il me manquera si je ne le revois pas.
Il ne pouvait que l'espérer, ce serait horrible de perdre aussi vite le première repère qu'il se faisait en étant libre. Il se retint de serrer l'ange encore plus fort pour ne pas l'étrangler avec cette envie d'arrêter le temps pour que l'instant dure toujours. Sauf qu'il n'avait pas la force de le rendre éternel. Et puis son sauveur lui en voudrait de lui faire des choses pareilles.
-Ils m'ont même donné des ailes. Mais je n'ai jamais appris à voler. Ils m'ont fait tellement de choses... Je ne saurais tout dire. Et je n'avais pas envie de le rendre triste.
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Sujet: Re: Sérieux ... du taf ?! [PV vivien] Sam 26 Nov - 19:16
Un très joli prénom … j’ai déjà fait ce compliment beaucoup de fois… vraiment, mais je ne vois pas en quoi mon nom a moi est beau … enfin bref, je ne vais pas rester là-dessus, mieux vaut que j’évite, il me souffle tout ce qui lui viens …
-Finalement évite.
Il y a de grandes chances qu’ils se sentent plus pissés si il se met a les remercier pour avoir fait leur travail, j’ai soupirer de nouveau en lui jetant rapidement un coup d’œil puis ai de nouveau rivé mes yeux sur la destination … fallait qu’il se mette a me regarder… pouvait pas regarder en bas…
-Je suis un Néphilim … je suis à moitié démon …
Et puis je ne vais pas le laisser tout nu, j’ai bien compris que pour lui ça n’est pas ce qu’il y a de plus terrible mais pour certains élèves ça pourrait sonner comme une invitation, voir pire … autant tout de suite le jeter au milieu d’un volcan, il aura plus de chance de s’en sortir. Je crois d’ailleurs qu’il a eut la même idée que moi, ou c’est juste une pulsion suicidaire, mon petit protéger a décider que je devais le lâcher une bonne fois et j’ai faillit le faire… c’est quoi cette manie … qui donne autant de douceur a quelqu’un d’inconnu ?!
-Tu es bien innocent toi …
Pour un esclave de plaisir …
-Je vois … la vie à pas du être rose tous les jours …
Je suppose que je ne doive pas le lâcher, si je vais ça en plus, je ne pourrais plus jamais me regarder dans un miroir et si ça n’est pas le cas de tout le monde, moi je m’aime.
-Je suis …
Comment dire … même moi j’ai envie de rire quand je dis ça mais bon …
-Je suis un professeur, je donne juste mes cours d’une façon …. Particulière.
D’ailleurs ils ne comprennent pas souvent qu’ils sont entrain de travailler ce qu’ils avaient du mal a travailler a la base. Maksimilian devait apprendre a lire derrière les masques et met du temps a le faire, Drakhys voudra me prouver qu’elle est meilleure que j’aurais jamais put le pensé et finira par s’amélioré a force de persévéré. Aurélia refuse d’être proche de monstres, ou plutôt elle en a peur, alors je m’arrange avec ceux qui en ont le don, je fais en sorte qu’une plante rare ou un objet particulier soit toujours a sa disposition, quand aux autres, je leurs donne des devoirs de manières diverses.
- souvent… je ne sais pas …
Ça semble pas être une très bonne idée en fait … au contraire … il est trop mignon … c’est dangereux.
-Je t’apprendrais si tu y tiens…
Je ne saurais dire pourquoi mais il me donne envie de ne pas être réellement méchant avec lui …
-Si ça te soulage … tu pourras m’en parlé, ne te force pas bien sur …
J’arrive enfin, je vois ma maison … merci, bientôt libre… il me fera faire des conneries ce p’tit con…
-on arrive, tu vois en bas, c’est l’île qui sera ta maison, enfin … la presqu’ile.
J’ai commencé à descendre doucement pour aller me poser sur le bord de ma fenêtre de chambre, la chambre blanche.
-là c’est ma maison, tu vas t’assoir sur le lit cinq minutes, je te donne de quoi t’habiller…
J’avais déposé mon petit paquet sur le lit et ... et je me suis retiré … mais a priori j’ai du oublier un détail…
-Euh … tu …
Je pourrais juste pousser sur mes jambes pour me retiré mais je sens venir la chute sur le lit et pas sur que ce soit une bonne idée…
-Je vais avoir du mal a te trouver des vêtements si tu ne me lâche pas… tu sais ?
Par contre, son sauveur changeait très vite d'avis. Alors, devait-il remercier le chef de son ange ou pas ? Hum, sans doute qu'il le ferait quand même, pour être poli et aimable. Reconnaissant, il ne savait pas trop puisque cela pouvait faire un peu traquenard à la fin... Mais il voulait croire en Saël alors il arrêta de penser au bout du voyage, contemplant autant le paysage que le blond. Que cela semblait troublé. Vivien ne comprenait pas trop pourquoi.
C'était donc pour cela qu'il avait les ailes bicolores. Est-ce pour cela que moi aussi, j'ai des ailes noires et blanches ? -Oh, c'est pour cela que tu es si féroce au combat. Ta glace est superbe, d'ailleurs...
Cependant, la remarque suivante de Saël le laissa un peu perdu. Qu'avait-il fait de si innocent ? Vivien ne se trouvait pas si innocent que cela, il avait appris énormément de choses sur le sexe dans les sous-sols. Il était considéré comme utilisé donc, il avait même moins de valeur que les esclaves de l'étage qui attendaient d'être achetés. Ou plutôt libérés eux aussi. Pensant que l'ange attendait une réponse à ce qu'il venait d'énoncer, le demi-elfe chercha à être le plus clair possible.
-Je sais pourtant faire des fellations et je sais ce que c'est que d'avoir des jouets dans les fesses. Ça baisse ma valeur sur le marché mais je ne suis plus à vendre alors ce n'est pas grave. Libre, libre ! J'avais cette envie de sauter partout et de lui faire encore des bisous mais bon... -Donc, je ne suis plus innocent, pas vrai ?
Vivien se rendit compte ensuite que ce qu'il venait de dire pouvait être un peu choquant mais il avait appris à prendre sa situation avec une telle philosophie... Il fallait dire qu'il valait mieux pour lui de relativiser que de faire une dépression. Parce que quand il était plus faible, il était encore plus mis sous examen par l'équipe scientifique. Qui n'existait plus. Dedans, il devait y avoir sa mère... Ou peut-être pas, il se savait demi-elfe mais il n'avait aucune idée de l'autre partie de son patrimoine génétique. Surtout qu'ils avaient des ailes...
En fait, je suis juste quelque chose d'étrange...
Alors il se fit plus attentif à ce que lui disait Saël, ça lui changeait bien les idées. Un professeur ? Donc il le verrait en classe, c'était chouette, ça ! Il le verrait souvent, malgré ce que pensait le blond, il viendrait à tous ses cours ! Il n'avait plus qu'à souhaiter par contre que ça ne soit pas une matière barbante. Il risquait de sécher l'enseignement de chimie et de sciences par contre. Il en savait bien assez et même trop à ce sujet selon lui.
Il voulait même être mon confident, vraiment ? Non, il en avait déjà fait beaucoup, je ne veux pas l'embêter de trop... -Je veux bien apprendre à voler avec toi. Je ferai de mon mieux, merci.
Sous eux, l'école se déployait complètement, laissant Vivien songeur. Il allait se perdre dans un lieu aussi grand. Il y avait même une plage et une forêt ! Il tiqua en apercevant le cimetière, ce n'était pas ainsi qu'il avait imaginé une école, même de créatures... A quoi pouvait-il bien servir ? Et puis Saël atterrit et le posa sur le lit. Le demi-elfe était conscient qu'il devait lâcher le blond mais... Il n'avait vraiment pas envie de lâcher son pauvre sauveur qui devait être affligé d'avoir un tel collant autour de lui.
-Oui, je sais. Mais après, parce que je sais que tu vas vouloir me laisser tout seul...
Du coup, il se débrouilla pour faire tomber le blond sur lui, enroula une de ses jambes sur sa hanche et cacha son visage contre le torse de Saël alors qu'ils finissaient sur le côté.
-Juste encore un peu, s'il te plait. J'ai tellement manqué de contact et tu es tellement doux... J'en ai besoin, sans, je finis par avoir tellement mal... Et je ne mens pas.
Il devrait avoir peur d'être dans un lit, même avec son sauveur mais en ce qui concernait le sexe, il avait appris à ne pas être farouche. Vu comment il avait été examiné sous tous les angles.
-Ils seront vraiment à moi, ces vêtements ? Comme un souvenir ?