Je marche dans les couloir, ou plutôt, je gambade gaiment, j'ai ma chambre, et visiblement, si je regarde pe papier, ..., j’arrête soudainement ma joie, un coloc, j'ai un coloc, ettttttttt meeeeeeeeerde, c'est pas vrais, moi qui avais demander a être seule, et encore un tarer que je vais rencontrer, pffffffff, sont tous fou ses gents, encore un qui vas avoir peur de moi alors que ya aucune raison d'avoir peur, mais c'est pas possible, deja qu'on me regarde bizarre dans le couloir, alors lui, dormir dans la même chambre que moi? je lui donne pas plus de trois jours.

J'arrive devant la porte et l'ouvre, sans frapper entrant en fracas comme toujours en m’écriant.

BONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNJOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURS!

je regarde partout autour de moi pour trouver mon coloc du regard, personne, je soupire, pose ma valise sur un lit et m’assied dessus regardant le papier stipulant que j'ai un coloc, je le froisse et le jette dans un coin, on c'est encore moquer de moi, crétin, même l'administration m'aima pas, pourquoi? je suis normale non?

je met ma valise au sol et l'ouvre, le placard le plus proche se fait ouvrir sans la moindre délicatesse et je range mes tenues dedans (toute les mêmes) puis je me jette sur le lit en ronronnant, c'est plus confortable qu'une branche d'arbre en tout cas, je me roule en boule sur le lit et m’assoupis presque instantanément, ce n'est que dix minutes plus tard que je me réveille en sursaut, la porte s'ouvre, je me dresse ver la personne, garçon ou fille je fait pas gaffe et lui balance mon oreiller a la tronche.

"ET ON FRAPPE AVANT D'ENTRERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR"

Anazel était d’excellente humeur. Il venait de boucler sa première composition solo, et son professeur lui parlait déjà de produire son premier album. Après les cours, il était allé rejoindre Hikaru, ils avaient passé un moment tranquille tous les deux, et il l'avait aidé pour ...cette chose étrange qu'ils appelaient mathématiques. Il avait ensuite rejoint sa chambre en chantonnant dans les couloirs. Il voulait prendre une bonne douche et se changer avant d'aller prendre son repas à la cantine. Il commençait à s'habituer à ce petit train-train quotidien, et ce n'était pas si mal finalement.

Il ouvrit la porte de sa chambre et y pénétra immédiatement, perdu dans ses pensées, quand un cri strident retenti soudain, et qu'un objet non identifié vola dans sa direction. Anazel le rattrapa d'une main avant qu'il ne l'atteigne, et se mit immédiatement à grogner. Quelle indélicatesse ! Quelle vulgarité ! Un acte tellement impolis lui retournait l'estomac ! Certes, il ne s'agissait que d'un tas de plumes enveloppé dans du tissus, mais dirigé vers son magnifique, sublime, incomparable et délicat visage ! Le démon lança violemment le coussin au sol, ce qui n'eut pour effet que d'émettre un petit « pof » étouffé, et se mit à hurler.

« Et on se présente avant de s'introduire chez quelqu'un ! »

Ses yeux avaient prit un vert intense et étaient rivés sur l'intruse. Il fit un immense effort pour se calmer, et en inspectant la pièce il remarqua une valise qui ne lui appartenait pas. Donc, cette fille devait être en train de s'installer. Il avait espéré un colocataire plus attrayant, ou tout du moins plus polis, Anazel détestait les personnes disgracieuses qui poussaient la beuglante à tout bout de champ.

« Qui êtes-vous ? »

Il dit quoi lui? se présenter? avant de s'introduire chez quelqu'un? il se paye ma tronche ou quoi? C'est lui qui débarque dans ma chambre et il me sort sa, quel culot, in hurle, il entre sans frapper, ou l'inverse je m'en fout, et il me fait la morale? il me dit de but ne blanc "qui êtes vous?" Non mais sa vas chier la, et sa vas pas trainer.

QUI JE SUIS? JE SUIS CELLE A QUI ON A ATTRIBUER CETTE CHAMBRE! ET T'A RIEN A FOUTRE LA JE TE SIGNALE! L’INTRUS, C'EST TOIIIIIIIIIIIIII!

Je me lève du lit d'un bond et lui fait face et reprend un peut plus calmement.

Alors t'est bien gentil, tu vas décarrer de ma chambre, ou sinon, je cogne.

Mon masque affiche mon expression, contrariée, en plus, je roupillait, sa faisait du bien quoi, j'ai pas dormie cette nuit en plus, on vas me foutre la paix et fissa, j'accepte pas qu'on me parle comme sa, en plus, je suis gardienne, donc il vas respecter mon autoritée et plus vite que sa, sinon, c'est a coup de lame que sa vas se régler.

3Mais il a pas l'air de l'entendre de cette oreille, il veut rester, soit, alors sa va chier, dans un "chling" métallique, mes lames sorte a mes mains, se qui me rend surement inquiétante, je le désigne avec une d'entre elle, lui arrivant sous la gorge sans le toucher.

Bon, je rekapepete, tu, dégage, ou, je, te, défonce!

Simple clair net et précit, je ne remarque meme pas le lit fait pile dans mon champs de vision, se qui ne me laisse pas douter une seule seconde que c'est mon coloc que je croyait inexistant, sans le savoir, je faisait une connerie.

L'hystérique s'était remise à crier de plus belle. Anazel la trouvait ridicule, et détestait sa façon d'allonger les syllabes. Elle se mit ensuite à le menacer, ce qui ne lui fit ni chaud ni froid, parce qu'à ce moment-là, il observait son masque. Quelle chose disgracieuse ! Elle devait vraiment être laide pour avoir à se cacher avec un truc pareil !

Un bruit caractéristique résonna un instant, et Anazel la regarda froidement. Elle ne croyait quand même pas lui faire peur avec son cure dent ? Anazel n'était pas effrayé, juste énervé. Cette fille débarquait à peine et elle foutait la merde. Elle n'avait rien comprit au principe de l'établissement, et ça l'énervait d'autant plus que lui-même s'était fait "punir" pour moins que ça.

Le démon se mit à respirer lentement, et se massa la tempe. Il avait envie de lui en coller une, mais il n'avait pas envie de foutre du sang partout, c'était trop chiant à nettoyer. Et puis débile comme elle semblait l'être, elle allait sans doute vouloir répliquer, et Anazel finirait par détruire toute la chambre. Lorsqu'il rouvrit les yeux, il tremblait légèrement d'une colère contenue.

« Écoute, t'es peut être pas au courant, mais t'es pas seule dans cette chambre, je vis ici depuis plusieurs mois. »

Sérieusement, comment elle avait pu penser être seule ici? Il y avait des affaires à lui éparpillé partout dans la pièce! Et ça ne faisait aucun doute que la cohabitation allait être des plus difficile. En fait, il allait probablement aller squatter la chambre d'Hikaru, dont la colocataire était heureusement souvent absente. Il ne supporterait pas de voir cette créature disgracieuse dès le réveil, la laideur le mettait de mauvaise humeur.

Il ne semblait pas avoir peur de moi, étrange, une personne différente faut croire, sa vas être marrant, sa promet, on va riiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiigooooooooolerrrrrrrrrrrrrr, mais attend, il viens de dire quoi la? il est dans cette chambre? ho meeeeeeerde boulette, mes bras retombe le long de mon corps, les lames de rétractent, et je le regarde avec un air probablement stupide, je regarda autour de moi, un autre lit fait, des affaires partout, ha oui, peut être, je retourna chercher le papier froisser, me penchant, dévoilant a la vue du démon ma petite culotte rouge mettant plutôt en valeur mes fesses bien rondes et fermes, je me redressa et défroissa le papier et lu le nom.

Heuuuuuuuuuuuuu, Anazel?

je le regardait toujours de mon air stupide, et une fois qu'il eu confirmer j'eu un grand sourire et eclata de rire, de mon pur rire de psychopathe comme dise les autres.

Haaaaaaaaaaaaaaa, mais on c'est pas moquer de moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii alors, donc on est colooooooooooooooc, intéressant, bon certes, t'a un caractère de merde et t'est bordeliiiiiiique, mais sa devrais aller.

Je lui fit un grand sourire avec mon masque et lui tendit une mains que j'avais fait sortir de ma manche, la mains, gauche, car je suis gauchère oui, quoi sa pose un blem? bon revenons, il ne semble pas très enclin a me serrer la mains.

Comme il ne réagit pas, moi je lui prend la main gauche et la secoue énergiquement pus je la relache en riant, bon ben comme premier contact sa passe, je pense qu'on vas s’amuser tout les deux, il me regarde comme si il voulait me tuer, mais c'est pas grave, je suis sur que l'on sera amis, mais, pourquoi je me dit sa?, mon visage prend soudainement une expression triste une demis seconde, suffisamment pour qu'il le remarque, puis mon sourire revient, mais sur mon vrais visage, des larmes de peine coule sur mes joue, comment ai-je pu songer un instant a se qu'il devienne mon amis, persone ne le veut, jamais.

[Évite de faire agir mon perso stp ^^ genre quand tu as dit qu'il réagissait pas, et après le regard qu'il lançait alors qu'entre temps il s'est passé pleins de choses.]

Son hystérique de nouvelle colocataire sembla se calmer un instant et réfléchir. Bonne nouvelle ! Elle semblait capable de réfléchir ! Le démon ne fit pas un geste, c'était déjà trop dur pour ses nerfs comme ça. Cette...chose avait réussit à gâcher sa formidable bonne humeur en une fraction de seconde. Elle fit demi tour, et Anazel en profita pour se masser à nouveau les tempes en fermant les yeux. De ce fait, il ne jeta pas un regard au sous-vêtement exposé. De toute façon, il ne voulait pas la voir, il ne prendrait certainement jamais le moindre plaisir à regarder sa colocataire, et il n'y avait aucun doute qu'il aurait préféré qu'elle n'eut jamais mit les pieds dans sa chambre. Il rouvrit les yeux en entendant son nom, et fit une élégante demi-révérence.

« Lui-même. »

Le masque se mit à sourire et un rire se mit à résonner dans la pièce. Disgracieux lui aussi. Elle semblait donc incapable d’émettre la moindre sonorité agréable à ses oreilles. Un caractère de merde ? Sans doute, il ne le nierait pas, mais son physique le compensait tellement bien ! Et puis, il trouva cette remarque déplacée, parce qu'à côté d'elle, il faisait office d'un ange. Lui au moins, il n'avait jamais agressé un inconnu.... lorsqu'il chasse, ça ne compte pas ! Bordélique ? Aussi, oui, mais c'est parce que ses esclaves ne sont pas encore passé ranger.

Une main apparu soudain et se planta devant lui. Anazel se mit à la fixer, un sourcil levé. En fait, il était en profonde réflexion interne. Pouvait-il la serrer, comme son sens de la politesse lui indiquait de le faire, sans ensuite se sentir souillé ? Il prit apparemment trop de temps, car la main vint chercher la sienne et la secoua vigoureusement. Le démon remarqua ensuite que le masque changea d'expression, mais il ne chercha pas à comprendre pourquoi. Il ne souhaitait pas s'impliquer plus à elle. Ils seraient colocataires, un point c'est tout, et s'il le fallait, Anazel ne se servirait plus de cette pièce que pour déposer ses affaires et passerait toutes ses nuits ailleurs.

Quittant enfin l'entrée de la chambre, Anazel passa derrière elle et s'arrêta au milieu de la pièce. Se tenant bien droit, il replaça ses longs cheveux ébène derrière ses épaules et essaya d'avoir l'air aimable. Politesse, quand tu nous tiens...

« Je peux voir que tu as déjà choisit ton lit. Moi je dors de ce côté, et comme tu as dût le remarquer, il reste une place, mais nous sommes seuls pour le moment. Aussi, comme tu connais mon prénom, pourrais-je savoir le tien ? Et à quelle filière appartiens-tu ? »

Anazel doutait sérieusement qu'elle étudie la musique, mais dans le doute, il préférait s'assurer qu'il n'aurait pas à la croiser lors de ses cours.