J’aime mon cercueil, retrouver le calme de la tombe chaque soir, perdre toutes les pensées perturbantes que je peux avoir et tous les sentiments de peurs des autres pour enfin pouvoir me recentrer sue moi et moi tout seul, c’est juste le bonheur et même si la mise en place est de mauvais gout celons certain, c’est mon choix a moi et je l’aime autant pour ses vertus que ca forme.

Là, allonger dans le noir, je sens encore plus a quel point mes pouvoirs m manque. C’est rigolo cinq secondes de pouvoir faire des flammes mais maintenant je ne veux plus rien d’autre que mes ombres et ma Nessa, le vide d’une journée passer à dormir dans mon ‘lit’ et le doux plaisir de profité de tout ca en étant qui je sus, qui j’ai toujours été et surtout qui je serais toujours. Enfin bon, ce calme a le don de m’apaise, j’ai tellement l’habitude de cette sensation qu’à force elle se fait d’instinct et quand je m’allonge la dedans, c’est juste pour finir par me reposer, trouver enfin quelques heures de véritable repos.

Je me serais presque attendu à ce qu’il s’endorme tout de suite le Elias, cette douce impression de flotter dans un ciel de coton est tellement douce que s’en est terriblement délicieux et surtout, ca a le don de me fatigué, par contre, dans tout ce calme, je ne m’attendais pas a ce genre de réaction. J’avais put sentir Elias qui gigotais et en ouvrant les yeux, j’étais tombé sur sa tête toute sombre, bien plus perturbante que d’habitude fait l’admettre, mais toute pale et qui me fixais pour dieu sais quel raison.

Je me suis contenter d’arquer un sourcil a sa proposition, non seulement je lui ai rendu ca liberté mais en plus c’est mes pouvoirs que j’ai protégé.

-Fais pas comme si ce mot avait un sens pour toi

S’il s’était fait enfermé avec, j’aurais eut très peu de chance de réussir à les revoir un jour, c’est tout rien de plus …

-Fou moi la paix au meurtrier.

J'ai refermé les yeux, trop lassé de lui pour faire semblant

Lorsque Daeron a ouvert les yeux sur moi, j'étais déjà tout proche de lui. J'arrivais pas à déchiffrer son visage, j'avais pas la moindre idée de ce à quoi il pouvait bien penser en me voyant approcher. Au moins, il m'incendiait pas directement. Sa réaction ne se fit pas attendre après ma proposition, qui n'en était pas vraiment une. C'était plus un signal de « attention, je vais jouer » et si il voulait me repousser il allait falloir faire mieux. Pourtant j'avais tiqué sur le dernier mot lorsqu'il était revenu à la charge. Meurtrier ? Ok, c'est moi qui ai commencé, mais c'était pas une raison pour me le balancer à la gueule à tout bout de champ. Il était probablement vexé encore une fois. Qu'est ce qu'il peut être susceptible ! Je lui ai répondu d'une voix basse, calme.

« J'avoue que j'ai merdé, pour le coup, je suis peut être un meurtrier... »

J'avais pas non plus envie qu'il me répète ça tout le temps. Je me suis encore rapproché jusqu'à me retrouver le torse au dessus de lui, toujours sans que le moindre contact ne nous lie, sauf peut être mes cheveux qui tombaient vers lui, effleurant son torse. J'avoue que c'était très perturbant de ne pas trouver mes boucles rousses que j'aimais tellement. J'avais vraiment l'impression d'avoir changé de corps.

« ...Mais en même temps, il y a que toi qui puisse contrôler tes pouvoirs. »

J'ai laissé ma main se balader à remonter sa jambe. Il m'a envoyé bouler et repoussé, bien entendu. Je m'y attendais, du coup j'en ai pas vraiment fait cas. C'est donc sans plus de cérémonie que je l'ai empoigné et ai commencé à le masser du plat de ma main, avant de plonger mon visage le lécher à travers le tissus de son sous-vêtement. J'ai amorcé un mouvement de va et vient en le tenant entre mon pouce et mon index tandis que ma langue continuait de marquer le tissus de ma salive. Au bout d'un moment, enfin, j'ai baissé le vêtement pour le prendre en bouche et m'en occuper correctement. Je me sentais déjà durcit rien qu'à m'occuper de lui. Là plus question de faim, j'avais juste sacrément envie de jouer.

Oulà, faut il vraiment qu’il ait envie pour s’excuser encore. Alors là franchement c’est de mieux en mieux si j’ai même plus besoin de le pousser a bout pour qu’il cède, quoi que, je risque de m’embêter moi plus tard, quand j’aurais retrouvé le vrai moi. Je sais pas trop si j’ai envie de relâcher la pression, je trouve ca juste excellent de le voir s’excuser encore juste pour que j’accepte son p’tit jeu mais si j’ai bonne mémoire, je l’ai relâcher et pourtant il continu de s’accrocher.

Tsss j’ai bien l’impression qu’il va pas me laisser pioncer là. Je me contente de le regarder prendre place au dessus de moi… franchement, je crois que les mecs d’ici on du mal à comprendre un non. Bien sur, j’ai droit au petit compliment d’usage, censé me mettre de bonne humeur, juste avant qu’il ne commence à caresser ma jambe.

-J’ai l’air si débile ?

Non mais sérieux, si je me laissait avoir pour si peu c’est moi qui devrais avoir honte…J’ai donc tout naturellement repousser sa main, après tout c’est mon jeu a moi ça, puis bien sur, il ne renonce pas non plus a l’idée de rester mon joujou et là je sais pas trop si je dois être fier d’avoir réussi a pervertir son esprit plus qu’il ne l’étais déjà… ou juste soulé qu’il reste malgré tout ce que j’peux dire pour l’envoyé chier.

-Rappel moi de te prendre une poupée gonflable …

Rah pis voilà qu’il s’y remet, j’admire la ténacité, presque autant que je la punirais … Je n’aime pas être poussé a bout, surtout pas là et par lui, cédé a Elias c’est la porte ouverte a toutes les conneries ca après. Même si au fond, je sais trop à quel pointil est doué pour ce qu’il fait.

-Les croques mitaines n’ont pas de période … de chaleur

Il me fais décidément bien chier celui là, même après lui avoir prouver que je pouvais tout aussi bien le tuer sans mes pouvoirs … voilà qu’il se met a jouer a l’aguicheur et ce qui me fait bien sur encore plus chier, c’est que je peux même pas le repousser. Trop doué avec sa bouche pour sa et bien sur ce corps tout chaud réagir en contacte avec la fraicheur du sien… Note a moi-même, faire une petite déco dans le bureau des directeurs … avec le cadavre de leurs personnel.

Bien sur, j’aurais juste put le jeter du lit et j’aurais eut la paix, le truc c’est que ce con était vraiment entrain de faire monté la chaleur et sans même déclencher mes nouveaux pouvoirs, puis avant même que je puisse m’en rendre compte, mon caleçon avait filler dieu sais ou, en revanche, ce que j’ai bien senti c’est le blobfish des ténèbres qui était passer au niveau suivant, me tirant même un frissons alors que je retenais tout bruit voulant quitter mes lèvres. Pas question de lui faire ce plaisir en plus. Ce qui bien sur, ne m’avait pas empêcher de passer la main dans ses cheveux en fermant les yeux, admettons qu’il faut bien un coup d’adieu avec un jouet.

-Putain …

J’ai refermé ma main sur ses cheveux le ramenant d’abord a mo, juste pour le regarder, avec des yeux qui n’étaient de nouveau plus les miens et le remettre a sa place… en dessous !

-Tu m’soul !

Constat amusant, le poiscaille ne peut déjà plus se passer de moi, ce qui en soit est d’autant plus intéressant à savoir, que c’est mon tour de jouer. Par contre, puisque monsieur semble déjà si près, je compte pas faire dans la dentelle, la flemme. Je l’ai jeté sur le ventre et en à peine quelques secondes, j’étais au dessus de lui, juste le temps de me débarrassé de son sous vêtement, manière brutale bien sur mais c’est tellement rigolo, puis j’entrais directement dans le vif du sujet, d’un coup de reins assez bref et rapide.

Là il peut pas se plaindre, il va être pris mais pas question d’y aller doucement, je ne compte pas lui laisser l’option reprendre son souffle, le jeu démarre et moi avec, les balancements se font rapide et profonds alors que je m’assure d’aller tout au fond des choses. Franchement, je suis super content de ce lit, comme il est fait spécial moi, il s’adapte et le cercueil prend en profondeur pour nous évité d’avoir a subit la pollution externe, ce qui l’insonorise au passage et le rend juste excellent.

Enfin bref, j’ai ramené Elias a moi, continuant quand même les mouvements et venant directement l’empoigner, puisque monsieur veut jouer, pas besoin de préparation je suppose, c’est donc rapide et brutal … pile poil comme j’aime !

Si il a l'air débile ? J'ai pas envie de m'engager sur ce terrain là... Par contre le coup de la poupée gonflable m'a bien fait marrer intérieurement, mais j'allais pas le montrer, j'ai pas envie qu'il me repousse sérieusement. D'ailleurs il proteste, mais il me laisse bien faire. Il aura beau dire ce qu'il veut, je sais qu'il apprécie mes traitements, aucun de ses mensonges ne pourra me tromper, j'ai la vérité entre mes lèvres. Il proteste de nouveau, et j'ai un peu de mal à ne pas rire. Les croque-mitaines, peut être, mais moi j'en suis pas un, et je le trouvais plutôt chaud pour ce qu'il insinuait.

Je l'avais sentit frissonner, puis sa main était venue dans mes cheveux, ce qui m'avait doucement sourire sans que je quitte mon activité buccale. Puis je l'ai entendu jurer, et je me suis fait tiré par les cheveux pour remonter. Je doutais absolument pas qu'on allait pas en rester là, donc j'ai suivit le mouvement, mais j'ai été assez surprit de me retrouver face aux même yeux que plus tôt, lorsqu'il m'avait carrément brûlé. Mais je n'ai pas eu le temps de m'inquiéter plus que ça qu'il m'a balancé sur le côté pour réapparaître au-dessus de moi dans mon dos. Je le saoule ? Ça m'a arraché un sourire. Peut être bien oui, mais ça l'empêche pas de continuer.

Mon dernier vêtement disparu bien vite de l'endroit où il était maintenant mal venu, et je n'eus pas à  attendre plus avant de le sentir me prendre brutalement, m'arrachant un léger cri à la fois de plaisir et de douleur. Mon dos se cambre alors que je le sens commencer à bouger, et je ne me prive pas d'exclamer mon plaisir. Je me suis laissé ramener vers lui, me retrouvant ainsi en appuie sur mes genoux et mes mains. Ses coups au fond de moi me faisaient tressauter, me provoquant de longs et délicieux frissons. Finalement le fait de ne pas pouvoir me nourrir de l'échange ne me dérangeait pas tant que ça. C'est pas comme si je me nourrissais en continue chaque fois que je me faisais sauter, mais c'est vrai que ça aurait apporté un petit plus tout simplement délicieux.

Mon bassin reste bien en place pour continuer à en profiter tandis que je m'appuie sur mes avants-bras, abaissant ainsi le haut de mon corps. Je me sentais bien, mais j'avais une sensation qui me dérangeait un peu. Comme l'impression qu'il manquait quelque chose. Je vais pas cacher que dans la situation actuelle, j'avais un peu de mal à réfléchir, alors comprendre ce qui me dérangeait était assez difficile. Et puis d'un coup ça devint clair. Juste une petite chose qui avait toujours été là, à chaque fois que Daeron m'avait sauté, et à laquelle j'avais plus ou moins finit par prendre goût.

J'ai pas vraiment réfléchit ensuite, ça s'est fait d'une façon tout à fait naturelle. Bon, peut être pas parfaite mais moi ça me convenait. Les ombres se sont mises à remuer, venant s'enrouler autour de mon cou, l'enserrant doucement sans pour autant m'étouffer. Mes cuisses et mon torse ensuite se sont fait assaillir. J'étais pas capable de faire des trucs précis comme Daeron, mais rien que le fait de me sentir tenu comme ça me plaisait. Un long gémissement de satisfaction s'est échappé de ma gorge à ce moment-là, alors que j'étais prit d'un vertige. J'ai bien cru que j'allais jouir sur le coup, mais c'était comme une vague qui s'éloigna sans atteindre son but, mais qui reviendra plus tard bien plus puissante.

Bien sur que je me suis laisser faire, quel homme normalement constituer refuserais de faire des trucs aussi amusant. Je suis vieux et grincheux … pas un impuissant, c’est le problème des mecs ca quelques contacts bien placer et voilà que le corps réagit seul. Puis en plus, cette fois j’connais bien l’animal, je l’ai déjà bien pratiqué. Bien sur, quand j’avais donné dans la bestialité s’était un cri pure et simple qu’il m’avait offert et j’avoue que j’ai adoré ca, j’en aurais presque eut des frissons s’était juste excellent !

J’ai poursuivit mes mouvements dans le même genre de rythme, même quand il à changé de position, puisqu’il voulait que je m’occupe de lui c’est fait ! Je m’appliquais d’ailleurs a la tache prenant tout autant de plaisir au travail et a l’action même que possible en rappelant a mon jouet que s’accrocher risquait de lui couter cher, mais je suppose que de toute façon c’est trop tard maintenant pour lui rappeler que je l’ai jeter, il doit bien l’avoir mémorisé a force… Non ?

J’aime beaucoup la nouvelle position, elle est intéressante mais mes pouvoirs me manque un peu là, généralement, ils me servent à lui faire monté la pression jusqu'à explosion pure et simple mais là je vais me faire chier a évité de les utilisés. Puis là, viens un truc que je peux a peine concevoir et que j’aurais jamais pensé voir. Je crois que j’ai un peu trop conditionné Elias, voilà qu’il se met à faire lui-même ce que je m’amuse a pratiqué en règle générale.

D’ailleurs, ca me donne une idée ca. J’ai arrêter notre petit jeu, un peu brutalement je sais mais bon, voilà quoi, puis après avoir poussé le couvercle du cercueil, j’en suis sorti quelques minutes. N’avoir pas mes jouets habituels ne veut pas dire que je n’ai pas les basiques. J’ai donc récupéré tout mon matos avant de retourner le voir. Bien sur, il fallait qu’il se tourne, m’enfin c’est pas bien grave, je vais lui faire découvrir mon monde et je venger un peu au passage.

Envie de jouer maintenant c’est malin, j’ai passer un bandeau autour de ses yeux en me contentant d’un :

-shhht

Puisqu’il découvre mon pouvoir, autant qu’il comprenne a quel point l’ombre peut être bonne partenaire.

-Sois sage et obéis

Je sais pas pourquoi je lui montre, je suppose que ca m’amuse, j’m’en fou. Pas envie qu’il parle non plus, j’ai donc glissé un bâillon boulle dans sa bouche, la flemme de me payé les plaintes, puis je l’ai allongé doucement. Maintenant le jeu commence, je me suis replacer entre ses pates et l’ai plus ou moins forcé à les garder relever pour poser un coude dessus et m’appuyer en le regardant…

-Arrête de te concentré comme un con

Tsss dire que j’ai cédé a ca, bon, ca m’empêche pas de passer des liens autour de ses jambes pour le contraindre à maintenir la position quoi que je face, puis, je me suis re-rapprocher.

-Tu les sens, tout autour de toi… elle t’englobe et sont partout sans être nulle part

J’avoue que là je m’amuse à me placer tout contre lui, venant appuyer mon bassin contre le sien.

-Plus tu voudras les saisir plus elles te fuiront…

Comme moi, nan j’déconne, moi je fuis pas, je prend le taureau !

-Souviens toi seulement qu’elles sont ce qui tu veux qu’elles soient, tes armes, ta peau… ton jouet

J’ai ris en main le mien de joujou et l’ai doucement caressé en m’amusant beaucoup avec.

- Elles sont une prolongation de moi, sert t’en comme tu le ferais pour ton bras, projette ton désir et force ton cerveau à lui faire parvenir. Songe seulement qu’elles sont une part de toi

Une part qui est a moi …. Je la veux !

Suite à cette vague de plaisir qui m'avait soudain assaillit, j'avais un peu de mal à reprendre mes esprits. Tout d'abord je le sentis se retirer, ce qui me provoqua une frustration indescriptible, puis d'un coup, tous ces trucs dans ma tête réapparurent, ce qui me perturba grandement. Je n'ai pu que pousser un grognement mécontent en me rasseyant plus ou moins comme il faut, un peu étourdit. Les ombres s'étaient dispersées puisque j'avais perdu le contrôle, et j'ai pus constater que le cercueil était ouvert, et que j'étais bel et bien seul. Là, j'avoue que j'ai pas comprit. Qu'est ce que j'ai fait encore ? Il est pas content que j'ai utilisé ses pouvoirs ? Puis je l'ai vu revenir avec je sais quoi dans les mains. J'ai pas eu le temps de voir de quoi il s'agissait avant qu'il arrive à ma hauteur. En revanche ce qu'il essaya de me passer, je savais très bien ce que c'était, et j'ai eu un léger mouvement de recul en réflexe.

« Qu'est ce que tu f... »

Il me coupe la parole, m'incitant à me taire pendant que je me retrouvais totalement plongé dans l'obscurité. Étant donné que je peux voir dans le noir, me retrouver aveugle n'est pas une chose qui m'arrive souvent, et c'est pas non plus une des choses que j'apprécie le plus. Je suis donc très légèrement stressé par la situation, d'autant plus que cet état d'esprit perturbait ma perception des choses. Je comprenais pas vraiment où il voulait en venir, il me dit d'être sage et d'obéir, ok, mais c'était légèrement perturbant, parce que je savais jamais vraiment à quoi m'attendre avec lui. Le truc qu'il m'a mit dans la bouche en revanche, je connaissais bien, et c'est justement le genre de chose qui m'excitent à mort.

Je me suis laissé allonger, même si mon corps était très légèrement crispé. Je ne me suis pas débattu pour autant, c'est moi qui avait demandé tout ça. Il a relevé mes jambes et je me suis laissé faire, restant en place sans problème puisqu'il s'appuyait dessus. Et puis en l'entendant, il m'a fallut quelques secondes pour comprendre de quoi il parlait. Sérieusement ? Il voulait m'apprendre à utiliser ses ombres ?! Maintenant ?! J'étais surprit, choqué, mais le bandeau cachait mes expressions. Je l'ai sentit accrocher mes jambes toujours dans la même position, il est venu plus près et j'écoutais avec attention ses conseils, même si c'était assez difficile avec son bassin qui butait contre le mien. Le moindre frôlement de son corps sur le mien faisait crisper mon ventre de désir. J'étais terriblement frustré de ne plus le sentir en moi.

Je fronçais les sourcils sous le bandeau, essayant de comprendre ce qu'il me disait. Comment j'étais sensé les contrôler si elles me fuyaient ?! Ses mots me faisaient frissonner, le moindre de ses gestes me donnait envie de gémir. Puis enfin je crois que je pigeais le truc, vu que je sentais les ombres bouger tout à fait différemment de tout ce que j'avais fait jusque là. C'est d'abord une caresse lente que j'ai fait parcourir mon torse, je voyais rien, mais je le la ressentais aussi bien que je la sentais. Ça m'a déclenché un long frisson, vite suivit d'un deuxième quand l'ombre a caressé mon visage. Elle s'est à nouveau enroulée autour de mon cou, beaucoup mieux cette fois, serrant juste assez pour que la sensation de suffocation se rende bonne. Puis ce furent mes tétons et ma virilité qui se firent assaillir, me faisant trembler de bien être.

Concrètement, je sais pas comment je contrôlais tout ça, mais je pouvais plus m'arrêter, c'était juste trop bon. Le bâillon n'étouffait pas tous mes sons, et comme il me contraignait à garder la bouche ouverte, un filet de salive était déjà en train de couler sur mon menton. Sous le bandeau, mes yeux étaient écarquillés, c'était vraiment très étrange comme sensation. Et puis j'ai étendu les ombres caresser Daeron, le faire goûter une fellation par l'ombre, comme j'avais déjà pu profiter, avec mes techniques. Je profitais encore un instant de cette situation avant de ne plus pouvoir tenir : Je n'en avais pas fait entrer en moi, c'est pas l'envie qui manquait, mais à la base je voulais jouer avec Daeron, pas tout seul. J'ai étendu une ombre passer autour de sa taille et ramener son bassin tout contre moi, comme un message pas très difficile à décoder.

J’aurais vraiment aimer pouvoir sentir la peur, juste histoire de distinguer correctement les choses, savoir si je lui fais peur ou si c’est simplement plutôt de désir de connaître son sort qui fait tendre tout son corps. J’avoue aussi que ca plainte inutile au moment ou je lui ai posé le bandeau m’a amuser, pour une fois qu’il peut faire l’amour  l’aveugle franchement je ne comprends même pas qu’il s’en plaigne, puisque oui, cette fois je ne compte pas le ‘baisé’ simplement, j’aime mieux les termes d'en temps, quand les jeunes n’étaient pas si vulgaires et que s’était la virginité des proies qu’on prenait…. Pas les restes.

Il s’était juste laisser faire le Elias, a priori, il avait encre renoncer a toute volonté pour se contenter e satisfaire mes envies et là j’avoue que j’adore, avec ou sans peur pouvoir garder un tel contrôle sur lui m’amuse et m’excite a la fois. Assis face à lui, je pouvais sentir chaque mouvement de son corps et après quelques mois d’aveuglement, les ombres même incontrôlées, n’étaient plus un problème pour ma perception. Un souffle un peu plus fort, quelques brides de gémissements entraver par mon petit joujou ou même les mouvements de la jambe sur laquelle j’étais appuyer, tout, absolument tout me donnais des indications sur ses ressenti.

J’avais bien sur refermé le cercueil derrière moi, laissant tranquille ses pensées, puis après mes indications, j’aurais presque put en rire. Sentant les mouvements dans l’ombre qui devenait plus dense, j’ai put constater a quel point je l’ai dépravé le pauvre Elias.

-Serais tu donc déjà accro a ce genre de pratique ?

Il semblerait que mes traitements si brutaux selon certains arrivent a manqué a force de n’être pas utiliser, j’imagine facilement qu’il va poursuivre sur cette voix dangereuse, puisque le plaisir n’aide pas a la manipulation, j’attends avec impatience le moment ou il va tenter de les faire participé a l’arrière.

-Quel débauché

Bon, oui je rigole, mais en même temps qi ne rigolerais pas là, il peut bien me traiter de tout ce qu’il veut mais en possèdent mes pouvoirs, il n’en fait pas moins. Puis viens le moment ou il se souvient de ma présence et bien sur j’ai la démonstration du savoir faire de mon élève, il semble plutôt doué dans son genre quand même. J’avais droit à une petite gâterie, récompense de l’apprentissage dont il n’arrivera même pas à se resservir demain, c’est vrais en se basant sur mes indications là maintenant et son profond désir de nous satisfaire, qui je l’avoue encore une fois m’étonne vraiment, c’est facile a faire mais demain, a froid quand son esprit se sera reposer… finiiii.

Enfin bon, là je m’amuse moi, j’ai senti un lien quitter mon copain pour venir s’enrouler autour de moi et m’attiré plus contre lui, jolie réclamation que voilà, mais je ne compte pas faire ca comme ca cette fois, je vais faire les choses bien puisque j’ai l’esprit libre et attrape sa jambe pour le faire retourner une fois de plus, même si cette fois j’y vais un peu moins fort. D’autant qu’être aveugle décuple les autres sens, cette fois mon poisson je compte bien t’apprendre de nouvelles choses.

Puis cette fois, c’est reprise d’un traitement plus doux, j’adore le contraste et vu ce qu’il se fait tout seul avec l’ombre, le mélange risque d’être détonnant. Je suis pas fan de la partie douce, mais c’est pas vraiment moi qui gère les ombres là, du coup je m’adapte. Tout d’abord, j’admire là posture, c’est juste idyllique, il est bloqué à genoux et libre de remonté le haut mais le bas ne bouge pas quoi qu’il fasse c’est un pure plaisir. Puis je me suis remis moi-même sur mes genoux venant presser mon bassin contre son fessier sans pour autant découvrir tout de suite le terrain de jeu, j’ai glisser une mais sur son torse, entre les ombres bien sur, ce qui n’as pas été facile facile, puis je l’ai ramener contre moi venant glisser a son oreille.

-Puisque tu tiens a ce point …

J’ai passer ma langue dans son cou avant de mordiller son oreille et de laisser la main sur son torse revenir a ses tétons chassant les ombres de l’un d’eux pour lui faire plus en douceur de ce coté ce qu’il se faisait façon bête de l’autre.

-À m’appartenir !

Puis l’autre main est retourner découvrir son terrain de jeu situer plein sud et a lancer un petit jeu par là bas aussi, toujours en contraste avec les ombres qu’il faisait courir partout, j’ai poursuivit en glissant ma seconde main dans son dos, pas pour de douces caresses, faut pas rêvé, mais pour des griffures légères, juste assez pour qu’il sente les délices de la violence que mes pouvoirs lui donne tant envie de pratiqué sur les autres. Le sexe est un parfait exutoire alors que je l’achève par quelques mouvements de bassins non intrusifs encore.

-Ma catin

Oui, a moi, puisqu’il insiste pour le rester, autant l’accepter, peu de jouet on sa résistance face a la douleur. Je suis déjà presque sur de mon effet, mais je préfère poursuivre le jeu, j’ai donc attendu un moment que le traitement agisse bien pour finir par revenir le prendre plus ou moins en douceur, vu le traitement partout ailleurs, je doute d’avoir besoin de le faire violement, je sais déjà qu’il sera courbaturé et satisfait d’ici peu mais bien sur, ca ne m’empêchera pas de continuer. J’ai donc repris un vas et viens, alternant douceur d’une main et violence de l’autre, sans oublier bien sur les mordillements dans son cou et sur ses épaules.

Le vide était revenu dans ma tête, j'en déduisais que Daeron avait refermé le cercueil. Quand j'avais commencé à jouer il m'avait laissé faire, même si je sentais un certain amusement de sa part. D'ailleurs il ne tarda pas à le faire remarquer. Oui, je pense que je devenais accro à ça, dans certaines limites bien sûr. Quand il m'a fait attaché et culbuté jusqu'à l'évanouissement ça m'a tout de suite moins plu, mais là, je peux limiter si j'en peux plus au moins...et puis je dois bien avouer que j'aimais qu'il me rabaisse, me maîtrise et me contrôle pendant que je prenais mon pied. Donc débauché, oui, je le suis, au cas où quelqu'un ne l'aurait pas encore comprit.

Je ressentis une frustration intense lorsqu'il refusa de me pénétrer. Il était pourtant tout près, et mon bassin ne pouvait plus s'arrêter de trembler d'envie. Je le sens saisir ma jambe, et je me retrouve à nouveau à quatre pattes. Étant toujours attaché, j'étais obligé de garder la même position pour mes jambes, mais j'avais même pas songé à me libérer, j'aimais trop pour ça. Les ombres avaient suivit le mouvement et continuaient de jouer sur moi, histoire que je meurs pas de frustration. Je l'ai sentit contre moi, mais au lieu de me prendre il préféra aller jouer sur mon torse. Sérieux, si il continuait j'allais juste chialer !

J'ai laissé sa main passer entre les ombres, sans pour  autant être capable d'arrêter de jouer avec. Je me suis sentit ramener contre lui, et c'est vrai que privé de ma vue, je ressentais tout avec beaucoup plus d'intensité. Sa voix me fit violemment frissonner et ses assauts dans mon cou me faisaient gémir. Sa langue était chaude, mais le contraste n'était pas si désagréable. Je n'ai pas cherché à retenir les ombres là où il passait la main, lui laissant champ libre pour jouer avec moi comme il le souhaitait. Ses gestes étaient différents de ce que je me faisais à moi-même, et j'appréciais tout autant. Puis il acheva sa phrase, qui me déclencha un nouveau frisson. Je sais pas si je voulais lui appartenir. Il me semble pas l'avoir dit non plus, mais en entendant ça, j'ai sentit une boule chaude se former dans mon ventre. C'était certainement à cause de la situation.

Puis je l'ai sentit jouer concrètement avec moi, et ça me paraissait vraiment doux par rapport à ce que je me faisais. Ses ongles sont venus attaquer mon dos, assez en légèreté, mais ça me faisait me sentir bien, et je m'étais mis à trembler de plaisir. Et quand je l'ai entendu à nouveau, ça m'a fait un choc. Pour simple et bonne raison que l'entendre dire que j'étais sa catin m'excitait à mort ! Mon corps s'est crispé d'un coup, et je jouis brusquement en poussa un cri bref, mais intense, crispant ma mâchoire sur le bâillon. Je haletais de plaisir, ce qui ne s'arrangea pas lorsque, enfin, je le sentis revenir en moi. Je l'accueillit dans un long gémissement, bien vite suivit d'autres exclamations vocales en le sentant bouger.

Le contraste entre toutes les choses que je pouvais ressentir m'étourdissait totalement, et ses morsures m'électrisaient. J'étais complètement emporté par tout le plaisir que je ressentais. J'ai fait appuyer les ombres entre mes omoplates, de façon à me retrouver complètement courbé le bassin en l'air, gardant une laisse d'ombre autour de mon cou qui continuait à le tirer. J'adorais me sentir immobilisé comme ça, sentir son poids sur moi en même temps que ses coups de reins. Le bâillon ne pouvait plus étouffer tous mes gémissements qui résonnaient dans le cercueil.

Bin en voilà un p’tit poisson bien sage, j’adore ce jeu, il frissonne, il se gémit et se laisse complètement faire. Je m’amuse quand même, pour une fois j’y vais moitié douceur moitié force et c’est un pure délice de constater les effets de chaque geste, un simple mouvement, un frôlement, juste une caresse bien placer lui tire des gémissements tellement adorable que je l’en mangerais bien tout cru.

Puis là, juste après lui avoir soufflé qu’il était ma catin j’ai du e retenir de rire, du coup c’est un sourire qui est resté tracer sur mes lèvres alors que je m’amusais. J’adore franchement, venir juste pasque je le traite comme un chien, d’ailleurs ca me donne une idée pour plus tard. Je vais vraiment m’amuser moi si dès que je le traite mal il réagit comme ca, je vais le torturé et lui faire plaisir à la fois, je crois bien que c’est la première fois qu’un jouet m’offre autant d’option sans me claqué dans les doigts, entre la violence et la douceur, entre le vice et le sexe brute j’ai toutes les options qui peuvent me faire envie et dieu sais à quel point j’en ai encore.

Enfin bon, quoi de plus drôle de que de le prendre de nouveau après qu’il soit venu une fois, je vais prouver qu’avec ou ans pouvoir, je peu l’avoir jusqu’à l’épuisement, je veux qu’il fatigue, qu’il s’endorme sagement et devienne une proie facile, bien sur sous entendu, plus facile qu’il ne l’est déjà.

J’ai continuer encore avec plaisir mo petit jeu, veillant encore et toujours a faire un parfait contraste entre les gestes brutaux des ombres et la légère douceur des miens, tout en poursuivant bien sur mon petit jeu personnel, plus fort, plus loin et aussi (et surtout) plus vite. J’ai pris soin de poursuivre chaque jeu avec application pendent encore un long moment, j’ai fais bien attention de m’appliqué et après ca, le jeu a fini par toucher a sa fin dans une conclusion chaude et délicieusement douce.

Je l’ai juste lâché après ca, détachant au passage ses jambes, juste histoire de le laisser s’endormir e me suis assis à coté reprenant tranquillement mon souffle. Une fois sur qu’il s’était bien endormi, je suis sorti du cercueil, j’ai tranquillement été cherché un caleçon me suis nettoyer avant de prendre un nouveau joujou, j’ai rouvert le cercueil histoire de le lui passer, s’était une ensemble de lien très pratique, j’ai hâte qu’il s’aperçoive de leurs présence dès qu’il fera un mouvement un peu ample mais en attendent, je suis surtout bien amuser et en forme, du coup je suis parti repart. J’ai passé un jogging et ai bouquiner tranquillement dans mon salon.

Les coups de reins de Daeron me portaient toujours plus haut dans le plaisir. Mon jeu avec les ombres se faisait anarchique, et par moment je me crispais de m'être fait mal sans vraiment le vouloir. Le jeu durait encore et encore, j'étais déjà venu une seconde fois, et mon corps à force de se faire maltraiter et apaiser continuellement n'en pouvait plus. Entre le plaisir et la soumission, je savais plus où j'en étais, Daeron me faisait complètement perdre la tête et je n'arrivais plus à retrouver mon souffle. Je venais juste de jouir une troisième fois quand tout s'arrêta.

Complètement étourdit, mais pleinement satisfait, je me suis écroulé sur lit sur le ventre, mes jambes qu'il avait eu l'amabilité de détacher ont pu reposer correctement à leur tour. J'ai juste eu la force de lever une main pour détacher péniblement un côté du bâillon, qui était couvert de ma salive tout comme mon menton et le lit à cet endroit. Tant pis pour le bandeau, j'en pouvais plus, je respirais par la bouche pour retrouver mon souffle, qui ne tarda pas trop à se calmer. Et sans faire le moindre geste de plus, je me suis endormit. Un sommeil profond, où je ne pensais plus à rien, me rendant absolument pas compte que Daeron avait bougé, ni même que le cercueil était à nouveau ouvert. Je pense qu'après les heures que je viens de passer, ça se comprend que j'ai besoin de sommeil.

Néanmoins, j'avais pas imaginé être à ce point insensible pendant que je dormais. Ou alors j'ai fait un mini coma sans m'en rendre compte... toujours est-il que lorsque j'ai ouvert les yeux, la tête dans le cul, et que j'ai levé le bras pour retirer le bandeau toujours en place, j'ai sentit un truc bizarre sur mon corps. J'ai vite dégagé mes yeux et pour constater que j'avais des cordes sur moi. Nan mais c'est quoi ce bordel ?! Je me suis redresser d'un coup, et là, j'ai comprit leur fonction lorsque je les ai sentit se resserrer à une certaine partie de mon anatomie. Sur le coup, je me suis courbé en me crispant, sans savoir comment réagir exactement à ce truc. Sérieusement...pourquoi ?!

Je suis sortit du lit, prenant garde à ne pas faire de geste trop brusque ou trop ample. Du coup, j'ai pas non plus pu me rhabiller. Je suis donc partit tel quel dans le salon où j'ai trouvé Daeron tranquillement installé à bouquiner. Je me suis rapproché de lui en désignant les cordes du doigt.

« J'peux savoir ce que c'est que ça ? »

Ma voix était calme, mais on y lisait très facilement l'agacement. Pas de colère, juste agacé, parce que je voulais enlever ça. Ça faisait trop bizarre quand je bougeais, et j'allais certainement pas passer la journée avec !

J’étais installer tranquille sur mon canapé à bouquiner. Le jeu de la nuit m’avait redonné la pèche mais surtout, je n’avais pas envie de m’endormir, je voulais trop voir sa réaction. Pas besoin de bouger, surtout que Nessa avait fini par venir dans la maison, j’avais replié les jambes sur le canapé et elle s’était sagement posé en dessous, j’imagine qu’elle ne veut pas être trop loin mais ne supporte pas le trop près … je connais bien.

J’ai donc passé un moment là avant d’entendre du bruit derrière, j’ai fais mine de ne pas relever mais j’avoue avec eut une grande envie de sourire en le voyant venir tout près encore nu mais attacher sagement. Franchement, j’adore la soumission dont il est capable parfois, j’aime ce jouet je vais le garder encore un peu finalement.

-Bonjour à toi aussi

J’avoue, là c’est juste pour le plaisir de la torture, j’ai tranquillement fermé mon livre, puis seulement après suis descendu de mon canapé en le laissant près de Nessa avant de baillé.

-Je trouve que tu manque particulièrement de réflexe, j’ai eut beau te tripoter partout… partout, tu n’as même pas grogné au contraire, t’avais un air complètement débile, celui du mec satisfait … une vrai pucelle

Et bien sur, j’ai eut la réaction de mon p’tit poisson qui m’a bien fais sourire alors que je me suis approcher de lui en douceur.

-Bah voilà … tu sais ce que c’est

Par contre, je compte pas le laisser retiré, j’ai donc attraper son bras et l’ai pousser vers le mur avec un air très très pervers et provocateur.

-Tu veux rester à moi ?

Une fois contre mon mur tout froid et couvert d’objets divers en métaux presque tous bosselés, j’ai glissé la main le long de son bras.

-Alors soit sage et garde le

J’ai levé son bras avec un sourire en coin et une grande envie de l’emmerder là de suite. J’ai glissé de nouveau ma main sur sa virilité en l’effleurant du bout des doigts avant de le prendre en main en le serrant juste assez pour qu’il sente une pression mais sans douleur.

-Désobéis et je ne te ferais plus rien pendent un mois, 31 longues journées de 24 heures

J’ai fini par desserrer ma main et tiré sur une des cordes pour le ramener vers le canapé en le poussant dessus.

-Soit bien sage … et …

Faut bien se sacrifier, je me suis agenouillé face a lui pour un petit exemple, très court de récompense, juste de quoi le frustré un peu. Puis, je me sui hisser jusqu'à lui en venant l’effleuré sur chaque parcelle de son corps. Avant de murmurer :

-Tu seras récompensé.

Puis je suis parti vers la chambre me changer, j’ai juste enfilé une chemise, un pantalon blanc et des chaussures légères avant de repartir vers la porte.

-Le soleil est levé, soit sage !

Je suis sorti en rigolant, je sais pas ou j’ais mais je sens que le jeu va me plaire.

Il avait attendu que je vienne près de lui pour poser les yeux sur moi, l'air calme, mais toujours avec cette attitude moqueuse. Comme d'habitude il fait tout pour se foutre de ma gueule. Bonjour...j'avais étrangement l'impression de m'être réveillé en pleine nuit, c'était perturbant, mais j'ai pas relevé. Je l'ai regardé se lever, attendant une explication, et je voyais bien qu'il prenait plaisir à me faire languir. Et quand enfin il prit la parole, ses mots me firent froncer les sourcils en crispant la mâchoire. Je suis un peu ronchon au réveil, à un autre moment de la journée je l'aurais ignoré, ou répliqué je ne sais quelle connerie, mais là, ça m'a juste énervé. J'ai pas réfléchit, et j'ai levé brusquement mon poing avec la ferme intention de lui faire faire connaissance avec son nez, mais j'avais omit un léger détail un peu trop vite. Les cordes se sont resserrées d'un coup, me faisant écarquiller les yeux en lâchant un gémissement pitoyable alors que ma poigne devenait toute faible, et mon bras resta bêtement en place.

Ok, je sais ce que c'est, mais ça n'explique toujours pas ce que ça fait sur moi ! Le temps que je me reprenne, j'amorçais déjà un geste pour tout arracher, mais Daeron a intercepter mon bras avant. Je me suis fait pousser vers le mur derrière moi, mais à ce moment-là, mes yeux ne se détachaient pas de son visage. Rien que son expression, puis ses mots me firent frissonner. Je me retrouve bloqué contre le mur, un peu trop perturbé pour m'être réellement défendu. Sa main parcourait le bras qu'il tenait toujours pendant qu'il m'expliquait les règles de son nouveau jeu. Il m'a fait levé le bras, et les cordes se sont immédiatement mises à tirer sur mes zones sensibles, m'arrachant un nouveau gémissement. Pour rien arranger, Daeron a en plus jugé bon de me prendre en main. Sérieusement ...  Je viens juste me faire sauter, et il recommence à me chauffer !

31 jours... 31 jours ça fait 744h, ça fait un long mois sans pouvoir goûter ni à sa délicieuse énergie, ni à sa non moins délicieuse queue. Il a d'ailleurs relâché la mienne, et la 'menace' était bien passée. Il m'a pourtant tiré par une des cordes, ce qui me provoquait plus moins le même effet, et je me suis retrouvé éjecté sur le canapé. Sous le choc, j'avais fermé les yeux, et lorsque je les avais rouvert, c'était pour le trouver agenouillé en face de moi, me faisant un petite illustration du 'si je suis sage' qui m'arracha un gémissement. Puis il remonta, me provoquant dans chacun de ses gestes, jusqu'à ce que son murmure me provoque un violent frisson, et il laissa en plan. Je suis resté affalé sur le canapé, la tête penchée à fixer le plafond avec les yeux ronds. J'étais pleinement excité. Le temps qu'il fasse l'aller retour dans la chambre pour se changer, je n'avais toujours pas bougé. Il m'indiqua une nouvelle fois de rester sage, précisant bien que de toute façon, le soleil me bloquait à l'intérieur.

Je suis resté immobile encore un moment avant de trouver le courage de me rasseoir correctement... et puis au final je me suis allongé sur le dos, parce qu'avec la trique ça aidait pas ! J'avoue que j'étais assez perplexe, qu'il m'impose un jeu, c'était pas si choquant que ça, mais déjà rien que le fait d'avoir une récompense est bizarre, parce que je ne m'étais pas attendu à autre chose que la menace ! Et puis surtout...il m'avait demandé si je voulais rester à lui. C'est précisément ça qui me perturbait, je savais pas quoi répondre. Je savais pas quoi en penser. Être à lui ? Il m'a eu par l'usure, c'est vrai que j'y ai toujours trouvé mon avantage, mais est ce que pour autant je veux être... à lui ?! Vu sa menace, il ne me proposait pas ça comme un choix, mais je restais particulièrement troublé.

J'ai passé un moment à peser le pour et le contre de la situation, à me demander si je ne devais pas simplement lui désobéir pour qu'il me foute la paix, mais en réalité, je n'avais pas la moindre idée de ce que je voulais ! Donc je suis resté planté là comme un con. Je devais être parfaitement immobile puisque au moindre geste les cordes se resserraient. Je peux pas dire que c'était uniquement désagréable, mais avec ce truc, je vois mal comment je pourrais me satisfaire. Au bout d'un moment, je me suis endormit, pour me réveiller en sursaut parce que j'avais bougé dans mon sommeil. Ça a d'ailleurs été particulièrement violent comme réveil. Donc j'ai décidé de ne plus m'endormir, et j'ai commencé à tourner en rond dans la maison, l'explorant, puisque dans le fond je ne l'avais jamais vraiment fait. De temps à autres je faisais un faux mouvement qui me provoquait un resserrement de plus en plus agréable, mais je ne pouvais pas non plus envisager de rester en place. J'ai aussi passé un bon moment dans sa salle de bain, juste pour le plaisir de sentir de l'eau couler sur ma main. Ça me paraissait totalement différent, et ça me rendait assez triste.

Après un effort particulièrement éprouvant, j'ai aussi réussi à mettre ma longue veste en cuir. Bon, on peut pas dire qu'elle soit utile, mais je préférais ça que continuer de rester à poil, même si je la gardais ouverte. Le temps passait, je m'ennuyait ferme. J'étais au final revenu sur le canapé, alors que ça devenait de plus en plus difficile de trouver une position confortable. Je sais pas quel heure il était exactement mais...j'attendais Daeron... J'vais me gifler pour avoir pensé ça. Putain ça sonne trop niais !

Bon, j’avais pas prévu de promener si longtemps, j’imagine qu’Elias a fini par trouver un moyen de partir et qu’il a viré mon p’tit joujou … dommage, moi qui lui ai rapporté un joli cadeau s’il a désobéis j’vais devoir le punir, pour une fois que j’avais vraiment de quoi le récompenser. Oui, j’ai tendance a le prendre pour un toutou, mais c’est bien ca le principe du dressage, d’abord la douceur, ensuite la violence d’une punition, la douceur de quelques caresses et de nouveau la violence d’une corde qu’on impose pour repasser a la douceur plus ou moins impliqué d’autre chose.

Bref au final je suis rentré a la maison, j’ai même pas fais le grand tour cette foi, j’ai été bien assez retarder mais en arrivant pas très loin de chez moi, j’ai entendu des bruits qui venaient de l’intérieur, une complainte un peu particulière mais que je n’ai put me résoudre a interrompre. Parfois Elias est trop mélodramatique.

J’aurais presque put éclater de rire pour certains passages, comme si j pouvais ignorer le moindre de ces sensations qui sont, en temps normal, les miens. Je sais même pas comment je dois le prendre là, il est rester … moi qui m’attendais a devoir aller le chercher ou juste l’ignoré en punition, même pas besoin, il est rester là, fidèle au poste comme un bon toutou, du cou, j’ai pris le cadeau que j’vais prévu pour lui et me suis amuser un peu a mettre quelques gouttelettes de mon parfum dessus, juste histoire de lui laisse mon odeur jusque dans mes cadeaux.

Enfin bon, je suis quand même rentré à la maison, pas besoin de gueuler que je suis là hein, j’ai ouvert la porte et l’ai refermé derrière moi en entrant tranquillou le cadeau bien cacher dans ma poche. Je me suis approché du canapé et est doucement passé un doigt sur la tête de Nessa avec un sourire amuser.

-Chérie, j’suis rentré

Toujours affalé sur le canapé, avec Nessa qui me regardait fixement pas très loin, je me faisais bien chier. J'ai retrouvé mon portable dans la poche de ma veste, du coup, histoire de passer le temps, et puis aussi de prendre de ses nouvelles, j'ai envoyé un message à Miley. Sa réponse n'a pas tardé, et elle aussi avait l'air de galérer. Au fil de la discussion, j'avais finit par lui expliquer ma situation, même si j'avais pas particulièrement envie de lui donner les détails. Quoi que quand je parle d'avoir une corde sur moi, si j'arrive toujours à écrire un sms, elle doit bien deviner le genre de truc que c'est. Elle se foutait de ma gueule, mais dans le fond j'étais content d'apprendre qu'elle se sentait un peu mieux. Moi aussi ça me soulageait de pouvoir lui parler, jusqu'à ce qu'elle m'annonce que Daeron était mort.

Je suis resté planté le nez sur mon écran, alors que sa lumière me faisait mal aux yeux. J'ai relu ces lignes encore et encore histoire d'être sûr, je pouvais juste pas y croire. Elle me précisa qu'il s'était fait tué pas loin de chez elle, par des anciens jouets à lui qui voulaient se venger. Quand j'ai lu ça, mon sang n'a fait qu'un tour. Je me suis remit debout d'un bond, ignorant la corde qui s'était atrocement serrée, et sans même chercher à m'habiller je me suis précipité sur la porte. C'était très con de ma part. Je n'avais qu'eus le temps de l’entrebâiller avant de sentir la morsure de la lumière sur ma main. J'avais claqué la porte et m'y étais adossé, pour reprendre mon portable, paniqué, demandant à Miley si elle était bien certaine de ce qu'elle avançait, si Daeron était pas juste blessé. Et ce qu'elle me répondit me laissa sur le cul. C'était une blague.

Là j'avoue que j'ai pas su comment réagir. Entre soulagement et colère. Je ne n'avais absolument pas pensé qu'elle avait pu se jouer de moi, pourtant quelques détails auraient pu me mettre la puce à l'oreille. Elle avait plus ses pouvoirs, et m'avait bien dit qu'elle était enfermée chez elle, comment elle aurait pu savoir ce qui s'était passé ? Et puis Daeron ne se ferait pas tuer par d'ancien jouets. Sauf moi, si je le décidais. Nan, j'avais juste tout gobé parce que c'était Miley qui l'avait dit, et que j'avais été trop surprit. Et le pire c'est qu'après elle s'est mise à parler de trucs que je comprenais pas vraiment. Une histoire de sentiments qu'elle voulait vérifier, et puis elle m'a reproché de la prendre pour une conne. Au final on a convenu que je la verrais dès que je pourrais bouger, parce que là je pige rien à ce qu'elle dit, et qu'elle m'a foutu un doute.

Bref, cette discussion achevée, je suis repartit m'installer sur le canapé, mon portable à la main. J'ai regardé la brûlure que j'avais dessus qui commençait à s'effacer, mais restait agréable ni à sentir, ni à regarder. D'ailleurs, en parlant de ce qui est agréable, avec toute cette agitation je me retrouvais considérablement enserré ! Histoire de me changer un peu les idées, j'ai mit de la musique sur mon portable. J'étais allongé, une main pendant dans le vide, l'autre placée dans mes cheveux. Puis laissant la musique défiler, je suis arrivé à une chanson qui m'a bien fait sourire. Elle me faisait penser à Daeron, et elle me donner envie de bouffer et de me faire sauter. Du coup je me suis mis à chanter, balançant doucement la tête au rythme de la musique, puisque c'était la seule chose que je pouvais encore bouger.



J'en pouvais plus. Avoir ces cordages si serrés sur moi m'excitait, me frustrait, me faisait mal. J'étais juste à bout de nerfs, et je n'espérais plus qu'une chose : que Daeron arrive avec ma récompense. Et c'est justement là qu'il arriva. Dès que j'entendis la porte, je m'arrêtais de chanter. Bon, il m'avait probablement entendu avant, mais je m'en foutais pas mal, et je laissais la chanson défiler sur mon portable. Je l'ai vu approcher, et aller caresser Nessa à l'autre bout du canapé, tandis que moi je ne faisais pas le moindre geste. Je pouvais juste plus bouger. J'étais tellement allumé que je ne pouvais plus qu'attendre qu'il vienne s'occuper de moi. Je le fixais, tremblant légèrement, le souffle court. J'étais pas en colère, j'avais même oublié toute ma contrariété entre-temps, J'avais juste sacrément envie de lui grimper dessus et de m'empaler directement sur lui sans faire plus d'histoire.

« Je peux l'enlever maintenant ? »

J’avoue que je m’étais attendu a beaucoup de chose, un accueil violent, mauvais et pleins de réprimande ou même une haine pure et simple, la même que celle de la prison la première fois mais rien ! A mon plus grand étonnement, je n’avais pas eut le moindre petit commentaire, le poisson était resté mais en plus, il était sagement installer à coté de Nessa, j’aurais limite put prendre une photo et l’appeler mes animaux de compagnies. Enfin au fond ce n’est pas plus mal, j’ai put faire ce qui me faisait envie et retrouver Elias en rentrant… pour jouer bien sur !

Ma belle avait finie par me reconnaître puisqu’elle n’avait pas fuit a ma caresse se contentent de rester là, comme elle le faisait toujours, si seulement tous les animaux avaient son froid naturel. J’ai sourit en entendent la question d’Elias, dire qu’il m’a attendu comme ca tout ce temps je trouve ca un peu effrayant mais étrangement, c’est aussi terriblement … excitant.

- Lève-toi

Même pas a attendre pour que mon p’tit joujou s’exécute, je suis vraiment trop fan de ce genre de jeu, il est si obéissant que sa en devient amusant. Je suis tranquillement passer de l’autre coté du canapé, pas besoin de me pressé, il m’a attendu toute la journée, c’est pas comme s’il pouvait pas attendre encore.

- Tu es si … obéissant

Je pourrais me moqué là, d’ailleurs j’en ai l’intention en glissant une main le long d’un de ses bras pour le lever doucement. A l’origine, je voulais en profité et d’ailleurs son bras est lever en grande partie pour ca qu’il était resté lever mais le truc auquel je m’attendais pas s’était la blessure que j’ai vu dessus e m’a contrarié.

-Quoi que…

Jusque là, je l’avais levé un minimum mais le reste du mouvement ce fit plus vif et son bras fut bien relever et ramener a lui alors que j’étais contrarié

-Tu as essayé de fuir …

Je ne suis pas sur pour le jouet, après tout le deal était qu’il garde mon ensemble de corde et vu l’état de son corps ca doit être le cas mais l’idée de le voir sortir comme ca… elle est presque aussi plaisante que fâcheuses. E veux bien le savoir soumis a mon autorité même en dehors de cet endroit … mais pas avec mes jouets et d’autres personnes, c’est pas hygiénique (<= rien trouver d’autre). Bref, après un moment de colère, j’ai fini par lâcher son bras et aller a la chambre pour retiré ma chemise, juste histoire qu’elle soit pas détruite.

Daeron avait simplement sourit à ma question, à laquelle il n'avait pas daigné répondre. Je suppose que je dois prendre ça comme un non. Il m'a ordonné de me lever, et sans même protesté, je l'ai fait. Avec grimace et difficulté, mais je me suis bien retrouvé debout sur mes deux jambes à le regarder approcher lentement. Forcément j'avais qu'une idée en tête, et cette attente m'était très pénible. Il m'avait fait remarqué que j'étais obéissant. Oui, c'est vrai que je l'étais étonnamment plus que d'habitude, et même moi j'en étais surprit. Et pourtant je ne me sentais pas vexé par cette remarque, mais juste terriblement excité.

C'est peut être bizarre à dire, mais le contact de sa peau sur la mienne était délicieux. Rien que cette caresse sur mon bras me mettait dans tous mes états après une si longue attente. Il a commencé à lever mon bras, et je sentais les cordes se serrer doucement, mais il s'est soudain arrêté. Son expression s'est changée, et je n'ai pas comprit pourquoi, je me suis mit à le fixer, inquiet, je voulais pas qu'il soit fâché, surtout si je comprenais pas pourquoi. J'avais tout fait pour le satisfaire !

Il a levé mon bras d'un coup, ce qui m'a fait pousser un gémissement en me crispant. C'était trop serré ! Je le regardais, toujours sans comprendre, jusqu'à ce qu'il dise que j'avais essayé de fuir. C'est là que je me rappelais la blessure sur ma main. Forcément, il l'avait interprété comme ça ! Un frisson glacé avait parcouru mon dos, et je m'étais empressé de protester.

« Non ! »

Daeron me lâcha et partit en direction de sa chambre. J'avais bien fait un pas dans sa direction, mais à cause de ses conneries ça me faisait super mal ! Je voulais pas qu'il s'énerve, je voulais pas qu'il croit que j'ai désobéit. Je voulais pas non plus rater ma récompense pour si peu. C'était la faute de Miley tout ça ! Je rageais totalement, j'avais les nerfs en compotes à cause de ses conneries !

« J'ai pas essayé de fuir ! J'ai juste... oublié que je pouvais pas aller à la lumière... ! »

Je pouvais pas m'expliquer plus ! Il y avait pas moyen que je lui avoue que je voulais sortir pour m'assurer qu'il allait bien !

J’aime toujours cette corde, elle est juste trop géniale, un vrai petit instrument de torture bien dans les normes. J’avoue n’avoir même pas imaginé un seconde qu’il la garderait mais je suis fier, il est déjà mieux dresser que je me pensais, me reste a serré un peu plus la bride et ce sera encore plus rigolo. Bon, bien sur l’idée qu’il tente de se sauver ne me plaît pas, c’est moins plaisant si je peu même pas laisser mon jouet tout seul sans qu’il fuit. La façon dont il c’est opposer a mon hypothèse aurais put me faire sourire alors que j’allais vers la chambre, mais pas envie.

J’avais fini par revenir, m’appuyant contre le cadre de la porte, les bras croisés pour le regarder et qu’il s’explique. Je suppose que mon p’tit jeu doit être assez douloureux avec le temps et le voir se défendre par contre ca me fait sourire. J’ai l’impression qu’il a peur d’avoir gardé mon joujou pour rien, pourtant c’est plaisant a voir, un petit corps tout pal et tout chétif retenu par des cardes toute dure … J’adore.

-Tu as oublié …

Ca par contre j’avoue que ca me fais doucement rire, il tenter de me tuer avec d la lumière mais a oublier, je sais presque sur que c’est un vilain mensonge mais bon, je vais passer la dessus. Pardonnons le petit Elias, pour cette fois, je me sus donc approcher de nouveau déposant un coffret noir sur le canapé et me suis glisser juste derrière Elias.

-C’est pas bien malin !

J’ai glissé la main sur son bras, ramenant sa main plus haut, juste histoire de voir ou il en était de la guérison et l’ai lâché juste quelques secondes après pour glisser le long de son bras et revenir vers son épaule.

-Mais vouloir a se point être à moi… non plus…

Après avoir glissé ma seconde main sur son ventre, sous la corde, je l’ai ramené vers moi et suis venu poser ma tête sur son épaule avec un sourire amusé.

-Je suppose donc que c’est logique

J’ai détaché le lien derrière son coup en à peine un mouvement, libérant son petit corps fragile. Puis j’ai laissé glisser les cordages, j’avoue que j’suis content de mon p’tit jeu, ca a l’air chiant et dur a supporté, c’est comme ca que j’les aime.

- Donne-moi la boîte

Le fait d'avoir oublié n'était absolument pas un mensonge ! C'est juste que sur le coup, j'ai été prit par trop de choses au point d'en oublier ma propre condition. Les cordes me perturbaient tellement que j'en oubliais tous les trucs dans ma tête, du coup comment est-ce que j'aurais pu me rappeler que la lumière pouvait me tuer ? J'y pensais pas à ce moment-là. J'étais toujours planté debout au milieu du salon quand je l'ai vu revenir. Il est resté contre le cadre de la porte à me regarder, et puis s'est finalement mit à sourire. Je savais pas vraiment si c'était bon signe, même si c'est vrai qu'à ce moment là, je préférais qu'il se foute de moi plutôt qu'il ne se mette en colère.

Oublié, oui, j'ai oublié, merde ! Je veux pas m'expliquer plus que ça ! C'est pas naturel pour moi d'éviter la lumière ! Je le quittais pas des yeux, attendant une réaction de sa part. En fait, je stressais réellement. Et si il décidait de me foutre à la porte en fin de compte ? Il est revenu dans ma direction, et c'est vrai que j'appréhendais vachement, suivant ses moindres gestes. Il a posé une boîte sur la canapé, et j'ai pas pu m'empêcher de me demander ce que c'était. Enfin, je peux pas non plus dire que je me suis pris la tête longtemps avec ça, parce dès qu'il est passé derrière moi, je ne pouvais plus me concentrer sur quoi que ce soit d'autre.

J'ai serré les dents en sentant les cordes bouger sur moi pendant qu'il observait ma main, puis il l'a laissé retomber. Sa main est remontée jusqu'à mon épaule, me déclenchant un long frisson qui me fit fermer les yeux. Il a raison, vouloir être à lui c'est même carrément con. Mais je suppose que pour faire tout ça, je voulais vraiment lui appartenir. Pourquoi ? J'en sais rien. Peut être parce que comme ça c'est plus facile de me nourrir, ou je ne sais trop quels autres avantages du même genre. Son autre main est venue se poser sur mon ventre, et un léger gémissement m'a échappé. J'avais l'impression d'être excessivement sensible au moindre de ses touchers, j'avais trop envie.

Sa tête était posée sur mon épaule, et j'étais soulagé d'entendre qu'il n'était pas fâché, d'autant plus lorsque je sentis les cordes se relâcher et elles se mirent à glisser sur moi, me libérant doucement avant de finir au sol. J'ai frissonné en soupirant, ça faisait tellement du bien de pouvoir respirer pleinement après ce calvaire ! Bien sûr, ça ne diminuait en rien mon envie de jouer ! Il me demande la boîte qu'entre temps j'avais oublié, et je m'exécute immédiatement, me penchant pour la récupérer sur le canapé, et la lui tenir de mes deux mains. J'avoue que maintenant j'étais vraiment curieux de savoir ce qu'elle contenait, et j'avais comme l'impression que je n'allais pas tarder à le découvrir.

Humm ce que j’regrette là d’un coup de pas avoir la possibilité de me nourrir de peur, je suis certain que là j’aurais eut tout ce qu’il pourra me falloir pour les quelques mois à venir. J’adore ce sentiment mais étrangement, cette fois il serait presque perturbant, je déteste que ce pouvoir rende son rythme a mon cœur, j’ai juste envie de retrouver les miens, au moins je ne pourrais plus sentir des trucs étranges. Enfin bon, au moins j’arrive a contrôlé ma colère et j’ai réussit a pas me ré-enflammé quand j’ai vu ca blessure, ce qui devrais me rendre tout particulièrement fier je suppose.

Dommage, cette fois je n’ai pas eut droit à un de ses délicieux gémissements qu’il m’offre a chaque fois que je touche cette corde, s’en serais presque triste. Presque bien sur, j’ai quand même eut un frisson, réaction moins intéressante à entendre mais toute aussi forte que celle que j’attendais, enfin je suppose.

Finalement non, le son qui lui échappe quand mes mains se glissent sous les cordent valle tous les frissons du monde, je préfère c‘est tellement mieux ! Je trouve l’idée de l’avoir fait glander toute la journée, impatient que je vienne lui retiré l’entrave qui le frustrait presque autant qu’elle pouvait me plaire, dommage que le jeu s’arrête mais plus serait trop, j’ai envie de le voir avec ma récompense, de sentir ses frissons et ses réactions quand je m’amuserais avec. Il m’obéis, même pas a faire preuve d’autorité qu’il se rend déjà comme un bon jouet trop bien dresser, c’est ennuyeux, vivement demain qu’il retrouve son arrogance.

-Quel bon joujou tu fais

J’ai pris la boite qu’il me donnait, sans pour autant passer devant lui ou le laisser se tourner, j’aime trop l’idée de le faire languir, du coup j’ai posée la boite près de moi et l’ai ouverte tranquillement avant d’en prendre le contenu.

-Bon, je suppose que tu as mérité ta récompense

Je me suis tranquillement replacer derrière lui, lui glissant quelques mots a l’oreille, un simple murmure :

-Ferme les yeux

C’est plus rigolo s’il ne voit pas ce que je lui fais. Pas besoin d’attendre plus, j’ai passé un collier un peu spécial autour de son cou, un beau collier pour toutou avec un Lapis Lazuli sur le devant, bien sur il porte mon odeur et j’adore l’idée de le voir avec alors que je l’attache en douceur autour de son cou.

-Il y a une glace dans la salle de bain… Fais-toi plaisir

Il me fait remarquer que je fais un bon jouet. En même temps, c'est un peu lui qui me pousse à ça ! Je veux ma récompense ! Je veux le sentir jouer concrètement avec moi, pas juste me pousser à bout ! Il a récupéré la boite, que j'ai entendu être ouverte, mais comme il se trouvait toujours dans mon dos, je ne voyais pas de quoi il s'agissait. Je n'ai pas cherché à me retourner pour autant puisqu'il m'annonçait que j'allais avoir me récompense. Un profond soulagement s'était emparé de tout mon être rien qu'en entendant ça, et son murmure à son oreille m'avait fait frissonner et fermer les yeux avant même que ses mots ne prennent un sens dans mon esprit.

Je le sens autour de mon cou, et je n'ai aucun mal à deviner ce qu'il fait, même si j'avoue que ça me surprend... Énormément ! J'ai pas l'habitude de porter des accessoires, et encore moins qu'on m'en offre, parce que c'était bien ce qu'il était était en train de faire, non ? Je restais parfaitement immobile pendant qu'il attachait le collier qui enserrait parfaitement mon cou. En fait, c'était très agréable et confortable à sentir. J'étais assez troublé. Lorsqu'il s'est mit à parler, j'ai rouvert les yeux, et comme il me l'indiquait, je suis partit dans la salle de bain sans plus attendre.

Je suis resté figé devant mon reflet, planté sur le cadeau. J'oubliais le fait d'avoir changé d'apparence pour me concentrer uniquement sur mon cou, où trônait un beau collier sertit d'une pierre d'un superbe bleu. Voir ça me mettait dans tous mes états, je sentais mon ventre fourmiller d'excitation. Y avait pas moyen que j'arrive à m'indigner pour un truc pareil, j'aimais trop ce collier pour ça ! Je sentais aussi son parfum dessus, ça me troublait, mais ça me dérangeait pas à proprement parler. Je l'ai d'abord touché du bout des doigts, avant de me mettre à le parcourir dans les moindres détails. Putain, c'est con, mais j'adore trop !

Je me retrouvais encore plus excité d'un coup ! J'étais revenu me planter devant Daeron, et j'avoue que maintenant j'avais vraiment du mal à rester calme. Je voulais jouer maintenant, ici, tout de suite ! J'ai soulevé un peu mes cheveux, histoire de dévoiler mon cou comme il faut, avec un air provoquant.

« Ça te plaît ? »

Parce que clairement moi oui ! Et dans ma tenue, c'est pas comme si je pouvais le cacher.

Il se laisse un peu trop faire, je n’ai même plus l’habitude moi à force, j’aurais pensé que le dressage serais pas facile mais si. J’ai put passer le collier autour de son cou sans qu’il ne réagisse, pourtant quand je l’ai attaché il aurait dû le sentir mais non, rien, pas d’attaque de grognement ou de colère, j’étais sur que ce genre de truc lui plairait… c’est trop facile.

A peine relâcher, il avait filé vers la salle de bain et j’étais resté seul a ricaner dans mon salon, retournant m’accroupir près de Nessa. J’ai tranquillement caressé ma jolie princesse qui semblait quand même bien calmé par rapport à ce matin, je suppose qu’elle s’y est faite, mis j’aimerais quand même qu’elle ne s’attache pas a la chaleur, j’ai hâte de retrouver ma vrai nature. Pour une fois, j’avas quand même fais dans la dentelle, je suppose que s’était pour marqué le coup de la récompense, surtout qu’après toute une journée de torture j’étais presque certain qu’il finirait par s’énerver si finalement je le privais de surprise.

Je me suis tranquillement relever en le revoyant revenir et là j’ai vraiment, mais vraiment du mal à me retenir de rire. Un bon vieux toutou, tu lui fais plaisir, tu le caresse dans le sens du poil et le voilà qui remue docilement la queue.

-Ça a vraiment une quelconque importance ?

Je ne comprends pas trop ca question, elle est un peu étrange quand même, franchement, qu’es ce que ça peut faire que j’aime ou non ? L’important c’est que la récompense lui convienne a lui, pas forcement a moi. J’ai arqué un sourcil en lui posant cette question mais ai aussi fini par m’approcher de lui et passé les doigts spis la pierre que j’y avait incruster pour finir par sourire et l’attiré à moi complètement.

-S’il ne m’avait pas plu tu ne l’aurais pas autour du cou

Beurk, la discutions tourne mal, normalement, la logique veut qu’on offre le cadeau, il plait on fait l’amour et au matin, plus personne, tout le monde retrouve ça place. Elias est bizarre mais tant pis, on f'ra avec, c’est pas comme si s’était la première fois qu’il avait une attitude étrange. Tant pis pour le lit, ce sera ici et maintenant, Nessa a déjà filé je suppose, si je a connais bien, du coup, j’ai serré mon poiscaille contre moi en lui roulant le patin du siècle, pas envie d’attendre, ca ‘bonne humeur’ risquerais de se faire la malle. De toue façon, c’est pas comme si j’avais pas ce qu’il me fallait ici pour lui faire tout ce qui me faisait envie, mon salon étant l’un des endroits les mieux ‘décoré’, j’ai tout le matériel qui peut me passer par la tête a disposition, souvenir de mes passages en prison.

Une fois ramener contre l’un de mes murs et ai dévoré son cou de mordillements en glissant ma main sur son p’tit bonhomme tout content pour commencer a jouer. Puisqu’il se laisse traiter façon animal, autant y aller a l’ancienne, pas besoin de lit ou d’appuis c’est tellement mieux quand c’est direct, du coup, me restait à appuyer sur ses épaules, juste assez pour le coller au sol et attendre qu’il fasse son œuvre.

- Applique-toi, que je ne regrette pas ce cadeau.

Je l'avais retrouvé accroupi devant le canapé, occupé avec Nessa, qui s'était enfuie je ne sais où dès qu'il avait cessé de lui prêter attention. Il se marrait bien en me voyant revenir, mais franchement, même ça c'était loin de me contrarier ! Ma question en revanche semblait l'avoir surprit. C'était plus par provocation que par réel intérêt que je lui avais posé... même si c'est vrai que dans le fond, je voulais savoir si ça lui plaisait sur moi. Mais bon, je me doute bien qu'il ne me ferait pas porter un truc qui ne lui plaît pas à la base, ce qu'il m'a confirmé après s'être approché de moi, avoir caressé le collier et instant, et m'avoir attiré contre lui. J'étais content de me sentir contre lui, et bizarrement sa réponse m'avait fait plaisir.

J'ai pleinement répondu à son baiser en gémissant de bien être, les mains posées sur son torse. Vu qu'il passe son temps à m'attacher -même si je suis pas forcément contre- j'ai cru comprendre qu'il n'aimait pas que je m'accroche à lui. Sauf que là, j'avais les mains libres, et je savais pas quoi en faire. Qu'il m'embrasse était trop rare pour que je n'en profite pas pleinement ! Je me suis laissé guider jusqu'à sentir un mur, ses mordillements et caresses me provoquant de délicieux frissons et gémissements échaudés. Et puis finalement il m'a appuyé sur les épaules pour que je me retrouve au sol, bien que légèrement contrarié de ne plus recevoir de caresses.

À genoux au sol, je gardais le visage levé vers lui pendant qu'il me disait de m'appliquer, ce qui m'a fait sourire en coin. Genre je suis pas bon d'habitude ? Mais soit, je vais me surpasser cette fois ! Je me suis amusé à l'embrasser à travers ses vêtements, frottant ma bouche et ma joue dessus pour l'exciter. Je me suis ensuite amusé à ouvrir son pantalon sans utiliser mes mains, pour ensuite me mettre à le lécher à travers ses sous-vêtements. Et puis quand j'en ai eu assez de faire comme ça, je me suis débarrassé de ce dernier vêtement pour aller lécher tout son service avant de le prendre en bouche. Directement, j'ai entamé un va et vient rapide et profond, ramenant l'une de mes mains sur sa hanche, l'autre m'aidant à le caresser. J'étais tellement excité que je pouvais pas m'empêcher de gémir pendant que je m'occupais de lui.

Et c’est reparti pour un tour, il se laisse sagement faire le p’tit joujou et même guider en répondent au baisé. Je sais plus vraiment combien de fois je l’ai embrassé en tout, mais je crois bien que c’est l’une des premières fois. J’ai conscience de pas le faire souvent, du coup je le sens tellement appliqué que c’est rigolo, je vais continuer de rendre ses moments rares, c’est comme a qu’ils sont les lus intéressants après tout, plus c’est rare plus c’est précieux et plus ca donne envie de bien faire, enfin j’imagine

Il c’est simplement laisser descendre vers le sol en me regardant, je sais que le jeu démarre doucement mais quand même, il avait mis du temps avant de se lancer et me fit sourire dans son manque total d’inquiétude. Je sais qu’il s’applique, il le fait toujours, c’est vraiment fun de le voir faire, ce joujou est toujours aussi marrant a utiliser, même après les quelques parties déjà passé. Je le sens se frotter a moi et j’au de plus en plus l’impression que ce cadeau lui monte a la tête mais qu’importe, ca reste agréable et je laisse sagement faire, que ce soit ses caresses ou son frotti frotta.

Puis, Elias viens enlever mon vêtement et sans les mains ! Ce qui bien sur me fais bien sourire, presque autant que ca fait monté la chaleur n moi, bien sur, au sens figuré du terme. J’ai laissé une de mes mains se glisser dans ses cheveux pour reprendre quelques caresses pendent qu’il faisait son travail, d’ailleurs, je dois ‘admettre il s’applique bien, limite mieux que d’habitude me tirant quelques soupirs et très vite de courts gémissements qui accompagnent les siens quand enfin il retire mon dernier sous vêtement. Je sens que je pourrais le manger tout cru là mais me contente de profité un moment avant d le ramener vers moi, j’ai passé une main dans sa nuque pour le pousser à se relever et une fois fais, j’ai évité les gants tournant directement mon jouet face au mur en le penchant légèrement vers l’avant.

Il est largement temps que ses petits gémissements trouvent une véritable origine et je compte bien me faire un devoir de leurs en donner une. Une fois placer, je me suis placer tout contre lui, venant directement positionner mon bassin sans pour autant lancer les festivités, j’ai déposer ca et là des mordillements et baisés dans son dos revenant jusqu’à ses épaules en pressant son corps contre le mien t l’ai pousser a tourner la tête pour ne rien raté du spectacle pendent que notre jeu se laçait enfin purement et simplement par une entré en matière très directe, après laquelle, je ne bougeait plus d’un pouce poussant un peu plus son attente dans l’interminable. Immobile pendent quelques longues secondes, je fini par me remettre en mouvement en gardent mon appuis sur lui pour quelques morsures sur ses épaules et surtout, une prise en main de sa virilité.

J'aimais sentir sa main dans mes cheveux, m'accompagnant dans mes mouvements, ses caresses m'encourageant à lui faire du bien. Je dois avouer que ses soupirs et gémissements étaient étonnamment plaisants. Beaucoup plus que je ne m'y attendais, et me faisaient m'appliquer plus encore. Je voulais continuer à entendre ça, le moindre son qu'il faisait me retournait de l'intérieur, et j'avais l'impression que j'allais exploser si je ne touchais pas ! En fin de compte, je n'en ai pas eu le temps avant qu'il ne me fasse me relever d'une pression dans la nuque, et j'en étais de toute façon bien trop heureux pour y résister.

Il m'a retourné, et j'ai donc fait connaissance avec le mur en y posant les mains, légèrement penché en avant. Je l'ai sentit tout contre moi, et je ne pouvais pas m'empêcher de me cambrer, de me frotter contre son bassin. Sa bouche m'arrachait des frissons et gémissements, et je me surprenais à vouloir qu'il me dévore tout entier. Je sais pas si c'est ces longues heures d'attentes ou le cadeau qui me mettait dans cet état. Peut être aussi la peur que Miley m'avait fait. Ou alors je devenais juste accroc à lui. Peut être qu'en fait, c'est simplement tout ça à la fois. Mais mon impatience à le sentir en moi ne faisait que s’accroître, d'habitude, je couche pas plus deux ou trois fois avec le même mec, et je garde toujours une certaine maîtrise de la situation. Du coup, je me sentais perturbé, mais c'était tellement plaisant que je ne pouvais de toute façon pas envisager de m'arrêter.

Il m'a fait tourner la tête, et le regarder faire, même dans cette position ça m'excitait au plus haut point. Je l'ai sentit entrer en moi, ce qui m'a fait pousser un petit cri de plaisir en me cambrant, et puis rien. Il ne bougeait plus. Mon corps s'est crispé, je me suis mis à haleter, gémissant de protestation. J'en pouvais plus, je pouvais sérieusement pas attendre ! Je préférais encore qu'il y aille au point de me faire mal ! Toute ma détresse s'affichait sur mon visage, j'étais juste à bout ! Et enfin, il daigna se mouvoir en moi. Des soupirs de soulagement se mêlaient aux gémissements de plaisir. Je l'avais tellement attendu que ça me paraissait si bon ! Ses morsures me faisaient sursauter, et sa main qui me caressait ne faisait qu'accentuer mon plaisir. Mon bassin bougeait légèrement, l'accompagnant dans ses mouvements, et avec mon souffle accéléré, j'avais un peu plus conscience du collier autour de mon cou, et ça me plaisait terriblement !

La patience est une vertu qui semblait avoir quitté Elias a la seconde ou je lui avais pas le collier, le voilà qui se mettais à se frotter tout seul contre moi, a peine j’eus collé mon bassin au sien que les mouvements ont commencé. J’adore le sentir si impatient, ca m’évite la case préparation je peux directement passer au jeu rigolo.

J’avais eut droit a un délicieux petit cri quand j’ai put entrer en lui et bien sur, a une expression des plus plaisantes quand je n’ai pas bouger. J’aime ces protestations vocales, elles sont trop mignonne c’est adorable, quand a l’expression de son visage, elle me donnais simplement envie de le dévoré alors qu’enfin je me remettais a bouger, j’aurais presque envie d’y aller fort avec lui mais me contente d’être normal pour le moment, j’imagine qu’il a déjà pas mal douillé avec mon p’tit jeu du jour et j’en ai déjà tellement d’autres en tête qu’il va falloir être patient, je sens qu’il va douillé, de toute façon, c’est pas comme s’il allait avoir le choix.

Maintenant que la partie commençait vraiment, j’allais m’amuser, j’y allais de plus en plus fort ne cessant de le travailler pendent que mes vas et viens se faisaient profonds et rapprochés. J’avais assez serrer le collier pour qu’il se fasse sentir sans pour autant étranglé mon joujou, s’aurait été dommage mais surtout, l’avantage de ce genre de chose, c’est que ca a une double utilité. Mais ca j’attends un peu pour l’utiliser, j’ai fini par me séparé de mon joujou et le faire tourner une nouvelle fois pour l’embrasser, puisque c’est rare autant poursuivre sur ma lancer !

J’ai donc embrasser Elias en le reprenant a la brute, contre le mur mais cette fois dans le sens ou je pouvais mordiller ses lèvres, en continuant de le caresser mais surtout en me servant du mur comme appuis pour prendre correctement mon p’tit poisson. J’y allais toujours fort et comptais bien continuer encore et encore jusqu’à ce que mon p’tit joujou soit pleinement récompensé de sa journée d’attente.