Bon, j’avais senti un peu de surprise quand je lui vais demander de me parler de lui mais a priori pas de refus puisqu’il avait commencé peu de temps après. Je suis resté là à l’écouter me parler de sa famille ... Un peu conne sur les bords je dirais, puis de ses conneries et là j’ai réalisé qu’en fait il ne faisait absolument pas le tri et qu’il me déballait juste toute sa vie, comme s’il avait s’agit d’une chose normale. J’aurais presque put rire quand il à dit que ca famille avait peur de lui, qu’est ce que ce serais aujourd’hui qu’il trouve rien de mieux que s’acoquiner avec un croque mitaine ?!
Puis viens le moment ou il parle de son père et là, c’est sorti tout seul comme un réflexe :
-Ah ouai y faut quand même être pourrit pour se faire buté par une bande de pitoyables humains
Je n’ai pas l’habitude de faire le tri de ce qui veut sortir, mais vraiment pas, du coup c’est sorti comme c’est entré et sans se faire prié en plus. Enfin bon, j’ai put constater que j’avais dit un truc qui lui avait pas vraiment plu puisqu’Elias avait de lui-même quitter la pseudo étreinte pour se redresser et prendre un ton emprunter. Comme si ça salissait une mémoire de constater la faiblesse insolente de quelqu’un, dans se monde tu mange ou tu te fais manger j’y peux rien si son père se fait manger.
Bon, bin du coup ils vont être contents les deux zoives, j’vais pouvoir aller bosser. Je me suis relever et rhabiller sous les yeux tout froids d’Elias et suis parti après un simple signe de main. C’est pas moi qui ai tenu a rester, je savais que ca se finirais comme ca … ca se fini toujours comme ca. Puis après ca je suis rentré a la maison, là bas j’ai senti un truc bizarre et persistant, a tout les coups sa maison mal isolé m’a encore plus fatigué que je ne l’étais déjà.